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the albatross - evie

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Mar 7 Mai 2024 - 17:20


Willow Sutterland
Willow Sutterland

p e a c e o f m i n d

le clair
Surnom : cielo sous la langue des Pobre qui l'adorent, parce qu'elle est arrivée comme l'ange qu'on a déchu. Entre leurs lèvres, le prénom de son ex fiancé sonne comme une insulte, quand son prénom résonne tendrement.
Age : virevolte autour du quart de siècle, willow se languit de vieillir. elle veut gommer le passé, s'établir comme une femme accomplie. self made woman, ses vingt-six ans rayonnent sur son visage de poupée, dont on demande encore la carte d'identité
Adresse : midtown pour pied à terre, son appartement à quelques minutes de la station service a beau être minuscule, il lui ressemble en tout point : mélangeant le clair et l'obscur avec application.
Labeur : il lui a au moins laissé ça en disparaissant : leg de la station service pour combler son coeur blessé. Si d'autres l'auraient démolis, willow en fait son empire romain, d'essence et de cigarette, au détour de quelques blanchiments d'argent pour son second foyer.
Coeur : émois adulescent, high school sweetheart, le fiancé l'a atrophié de l'organe le plus essentiel pour s'établir loin du gang qui l'étouffait. Pablo n'avait pas l'étoffe d'un Pobre, il n'en avait que la fiancée. Willow a été abandonné, pour le mieux, verrouillant l'accès à son palpitant, préférant se noyer dans la luxure à défaut de susurrer des mots doux. Qu'ils échouent à la faire toucher les étoiles, elle n'en aura plus les membres brisés.
Berceau : enfance dorée, tout s'est effondré quand les soupçons de fraude se sont abattus sur le paternel. fuite obligée de la grande ville, willow n'a pour seul souvenir de san francisco une carte postale oubliée dans une boite de ferraille. elle ne voit que le sable du désert pour avenir, sans craindre l'ennui.
Pseudo : clem
Pronom : elle / she / her
Fc : dove cameron
Crédits : selfmade (avatar)

Multicompte : nell forsyth, la terrible (ft. angèle) & abigail ritter, la perdue (ft. phoebe tonkin)

Préférences rp : 1ère ou 3ème personne, je m'adapte à mon partenaire, nombre de lignes variable, mais toujours quelques répliques pour faire réagir. Rythme assez rapide, tant que l'inspiration me frappe. Grosse tendance à oublier de répondre en pv, pas de méchanceté, j'ai juste un problème avec les notifications, je dois les retirer dès que je reçois un message et parfois j'oublie de répondre si je n'ai pas eu le temps en lisant le message, vous pouvez me relancer je suis jamais vexée !

l'obscur

https://peace-of-mind.forumactif.com/t330-willow-sutterland-seri
tw. gang, détournement de fonds, mensonges, vulgarités




the albatross
((atmosphere))

J’ai entendu dire qu’elle est bien, précise CeCe en tapant sur son clavier.

Willow a toujours été si admirative de cette femme. Elle porte sur ses épaules tant de responsabilité, que la brune ne comprend pas comment elle peut rester sereine et bienveillante. A sa place, elle aurait déjà mille fois explosé, éclat de verre éparpillé par la pression et l’ambition. Comme elle aimait sa vie simple et ses habitudes dessinées. Elle n’est que bénévole à Y2C mais considère cet endroit avec beaucoup d’affection. Si elle l’avait connu étant adolescente, elle aurait peut être évitée de sombrer dans les bras de Pablo. Bien qu’au fond, il lui a offert plus qu’il ne lui a pris, depuis qu’elle est proche des Pobre Diablo. Penser au gang la fait un peu culpabiliser. Au fond, elle ment à CeCe, elle rompt sa promesse : si elle n’est pas dans le gang, elle sert les intérêts de celui ci. Sans y être forcée, volontaire à tout instant, si le secret venait à tomber, elle perdrait l’une de ses plus proches amies.

Si elle a 85 ans, ça marchera jamais…

Willow n’est pas contre solliciter la nouvelle bibliothécaire… Mais si c’est pour avoir une ancienne qui ne comprend rien aux problèmes du public qu’ils accueillent, c’est une mission vouée à l’échec.

Vas-y, tu verras par toi-même. Je savais pas que t’aimais pas les vieux… taquine CeCe en levant les yeux de son écran pour provoquer la brune.

J’aime les vieux ! Putain, non, je veux dire j’ai rien contre les vieux, ok, ils ont servis la société, ils ont été utiles… Willow fait une pause dans son discours, passant sa main dans ses cheveux lachés. CeCe a le don de la piéger sans méchanceté. Je me casse, je dis de la merde et c’est ta faute !

C’est ça, à la prochaine Sugar Baby !

Willow quitte le bureau en bougonnant, sachant pertinemment que le surnom va rester… Longtemps.

______

Est ce que Willow a déjà mis les pieds dans une bibliothèque ? Probablement. Est ce qu’elle souvient quand ? Absolument pas. Sa démarche manque presque d’assurance, elle se souvient de ne pas parler trop fort, l’odeur de vieux livres lui chatouille les narires, elle qui préfère la compagnie de l’encre et du fusain. Mais ce n’est pas aussi désagréable qu’elle pensait. Elle s’approche du bureau, où une femme trie les livres avec application. Apparemment, sa proie au déambulateur n’est pas là, c’est bien sa veine. Willow toussotte, et d’une voix presque imperceptible, elle prononce.

Hum… Bonjour ? Je cherche Madame Bird.

Qu'est ce qu'elle ferait pas pour CeCe...

avec  @Evangeline Bird


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Mer 8 Mai 2024 - 11:03


Evangeline Bird
Evangeline Bird

F L Y I N GBIRD

le clair
Surnom : Personne n'a la patience de prononcer son prénom entièrement à chaque fois. Les abréviations les plus courantes sont Eve ou Evie. Un seul l'a appelée Birdy, il y a bien longtemps. Anciennement Evangeline Glover, elle a repris son nom de jeune fille son mari tout juste enterré.
Age : Trente-cinq ans. Ce n'est pas si vieux, mais plus très jeune lorsqu'on a rien accompli de sa vie. Le temps est une drôle de machine à la mécanique mal huilée, puisque les huit dernières années semblent ne pas avoir existé.
Adresse : La vieille maison de famille, dans le quartier de White Oak. La cabane dans l'arbre est laissée à l'abandon mais, malgré ses soixante-huit printemps, Papa continue de fleurir le jardin et la balancelle sous le porche supporte encore leurs poids.
Labeur : La culpabilité est un acide tenace et Evangeline sent son âme être rongée de l'intérieur. Le silence est devenu insupportable. Le comble pour une bibliothécaire, n'est-ce pas ? Le seul boulot qu'elle a été capable de trouver dans la précipitation, certaine de perdre les pédales si elle n'a pas de quoi s'occuper.
Coeur : Il bat. Elle croit. Il se fait discret, depuis des années et elle se surprend parfois à presser deux doigts sur sa carotide pour s'assurer être vivante. Veuve et ce n'est pas lui, qu'elle pleure, mais les années perdues, la vie à côté de laquelle elle est passée. Evangeline l'a juré : on ne l'y reprendra plus. Jamais. Plutôt crever.
Berceau : Clifton, Texas. Toujours Clifton et on a beau la fuir, cette maudite ville, on y revient avec la même force qu'un boomerang. L'atterrissage est douloureux, Evangeline s'étouffe encore avec la poussière qu'elle a mordue. Sa maison, son seul refuge.
the albatross - evie Dlju

Tell me I'm despicable
Say it's unforgivable

the albatross - evie 8950ebe40e71787b1836e3ae96d35ce3076bcebb

You said you were gonna grow up
Then you were gonna come find me

Pseudo : kacsa
Pronom : she/her
Fc : taylor swift
Crédits : poets-dept - tumblr

Multicompte : le méchant Angel et le grognon Jax

Préférences rp : Troisième personne
✹ De 500 à 3000 mots, laissons-nous porter.
✹ dialogue en français ou en anglais, venez comme vous êtes.

l'obscur

https://peace-of-mind.forumactif.com/t332-evangeline-bird-splend https://peace-of-mind.forumactif.com/t335-evangeline-bird-and-in-plain-sight-you-hid-but-you-are-what-you-did https://www.pinterest.fr/irenesmilau/evangeline/
tw. mention de meurtre et santé mentale.




the albatross
((atmosphere))


La mort la suit à la trace. La salope se terre dans son ombre, murmure à son oreille et file se planquer dès qu’Evangeline s’essaie à la regarder en face. Ce petit jeu dure et s’étire, mènera à la folie si la blonde ne fait rien pour aller mieux. Ce n’est pas faute d’essayer, pourtant. Traîner sa carcasse en dehors de la sécurité de sa chambre de gamine est un effort. Sourire épuise ses ressources et elle craint que ses rictus ne sonnent faux. Qu’est-elle devenue, si ce n’est le fantôme de celle qu’elle était ? Gregory est mort, mais il l’a tuée en premier. Il l’a décortiquée, démantelée, démontée, désassemblée jusqu’à ce qu’il n’en reste rien d’autre que des pièces usées et fragiles. Il l’a piétinée, écrasée, brisée, broyée jusqu’à ce qu’elle ne soit que poussière. Jusqu’à être certain qu’elle ne puisse plus se reconstruire, ni se retrouver.

Alors, à défaut d’avoir les plans pour se construire, Evangeline se jette dans un autre type de construction. Les piles de romans, des tours de Pise livresques qui menacent de s’écrouler à chaque fois qu’elle en ajoute un nouveau au sommet. La bibliothèque est calme, les après-midis. A vrai dire, elle est calme tout le temps. Les lieux ne sont pas aussi attractifs qu’elle l’aurait pensé et, peu encline à rester sur sa chaise toute la journée, Eve s’est mise en tête de ranger. Les livres rendus, les livres oubliés sur les tables ou rangés dans les mauvais rayonnages. De quoi occuper son après-midi et bien des autres : le fardeau étalé devant elle ne représente qu’une maigre partie de sa besogne.

Franz Kafka au milieu des livres d’astronomie ? La tranche accumule une couche de poussière que la bibliothécaire chasse d’un chiffon humide. Un regard sur la quatrième de couverture plus tard, l’ouvrage est déposé sur une pile moins garnie que ses consoeurs - les bouquins qu’elle compte emprunter. Si ce boulot a des avantages, celui de ne pas être limitée sur le nombre de livres empruntés est une aubaine. La nouvelle insomniaque ne sait plus quoi faire pour animer ses nuits et, après avoir passé la première semaine à cuisiner des centaines de biscuits, elle s’est rabattue sur une activité qui ne la force pas à acheter une dizaine de kilogrammes de farine.

Bonjour ? Le livre vient de parler ? Eve manque de sursauter et elle penche sur le côté, la grande perche. Au-delà de sa tour de bouquins se cache une jeune femme qu’elle n’a pas vu entrer - ni entendue, mais la moquette étouffe radicalement les couinements des semelles. « Mademoiselle. » rectifie-t-elle rapidement, le mot lancé sans qu’elle ne puisse le retenir. Pitié, qu’on ne lui rappelle pas son mariage désastreux. « Mademoiselle Bird. Evangeline. » Peut-être serait-il préférable de faire une phrase construite, si elle souhaite se faire comprendre de la brune. Eve fait un pas sur le côté, repousse sa besogne, puis désigne le pin’s ridicule embroché sur son chemisier. Une plaque dorée avec son prénom - aussi désuète que l’endroit. « C’est moi. Bonjour. » Et elle n’aime pas que l’on connaisse son nom. Elle n’aime pas qu’on l’interpelle, non plus, ces dernières semaines. Qui est-elle ? Journaliste ? Pas policière de toute évidence. De la famille de Gregory ? Pitié, pas ça. « En quoi puis-je vous aider ? Vous avez besoin d’un renseignement ? Comme vous le voyez, j’essaie de remettre un peu d’ordres donc vous ne trouverez plus de philosophes au milieu des livres pour enfants. »

avec  @Willow Sutterland


Willow Sutterland aime ce message

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Mer 22 Mai 2024 - 13:11


Willow Sutterland
Willow Sutterland

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Surnom : cielo sous la langue des Pobre qui l'adorent, parce qu'elle est arrivée comme l'ange qu'on a déchu. Entre leurs lèvres, le prénom de son ex fiancé sonne comme une insulte, quand son prénom résonne tendrement.
Age : virevolte autour du quart de siècle, willow se languit de vieillir. elle veut gommer le passé, s'établir comme une femme accomplie. self made woman, ses vingt-six ans rayonnent sur son visage de poupée, dont on demande encore la carte d'identité
Adresse : midtown pour pied à terre, son appartement à quelques minutes de la station service a beau être minuscule, il lui ressemble en tout point : mélangeant le clair et l'obscur avec application.
Labeur : il lui a au moins laissé ça en disparaissant : leg de la station service pour combler son coeur blessé. Si d'autres l'auraient démolis, willow en fait son empire romain, d'essence et de cigarette, au détour de quelques blanchiments d'argent pour son second foyer.
Coeur : émois adulescent, high school sweetheart, le fiancé l'a atrophié de l'organe le plus essentiel pour s'établir loin du gang qui l'étouffait. Pablo n'avait pas l'étoffe d'un Pobre, il n'en avait que la fiancée. Willow a été abandonné, pour le mieux, verrouillant l'accès à son palpitant, préférant se noyer dans la luxure à défaut de susurrer des mots doux. Qu'ils échouent à la faire toucher les étoiles, elle n'en aura plus les membres brisés.
Berceau : enfance dorée, tout s'est effondré quand les soupçons de fraude se sont abattus sur le paternel. fuite obligée de la grande ville, willow n'a pour seul souvenir de san francisco une carte postale oubliée dans une boite de ferraille. elle ne voit que le sable du désert pour avenir, sans craindre l'ennui.
Pseudo : clem
Pronom : elle / she / her
Fc : dove cameron
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Multicompte : nell forsyth, la terrible (ft. angèle) & abigail ritter, la perdue (ft. phoebe tonkin)

Préférences rp : 1ère ou 3ème personne, je m'adapte à mon partenaire, nombre de lignes variable, mais toujours quelques répliques pour faire réagir. Rythme assez rapide, tant que l'inspiration me frappe. Grosse tendance à oublier de répondre en pv, pas de méchanceté, j'ai juste un problème avec les notifications, je dois les retirer dès que je reçois un message et parfois j'oublie de répondre si je n'ai pas eu le temps en lisant le message, vous pouvez me relancer je suis jamais vexée !

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the albatross
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CeCe est la plus grande traitre que la Terre aie porté. Il n’y avait pas d’autres mots pour la décrire puisqu’au lieu de lui dire que Madame Birl était une trentenaire et pas une octogénaire, elle a préféré laissé planer le doute. Elle est charmante, un peu à l’image que Willow portait quand elle était encore dans les jupes des Sutterland. Le regard un brin éteint, qu’attendre d’autre d’une femme ensevelie de livres. Willow n’a jamais été friante des études, elle n’est pas de celles qui brillent par leur intelligence. Non, Willow a été forgé dans la colère, le ressentiment de ne pas être assez parfaite. On n’a jamais attendu d’elle qu’elle cite Shakespeare, entre les lignes, c’était le son d’un “sois belle et tais-toi” qui se fredonnait contre sa tempe.

Pardon, on m’a pas dit que… Vous êtes vachement jeune, putain. Elle abandonne la bienséance en lui faisant un sourire approbateur. Je crois que la dernière fois que je suis venue ici, la grand-mère au comptoir était au bord de mourir, étouffe-t-elle d’un rire sans joie. Paix à son âme, j’veux pas que là-haut, on prenne ça pour une insulte ! précise Willow en regardant le plafond, dans un signe blasphématoire.

L’odeur des vieux livres ne lui convient définitivement pas. Elle préfère passer ton temps à crayonner, à libérer ce qui est tapi au fond de son être. C’est sa forme de créativité préférée, son attachement à la liberté. L’imaginaire n’a jamais été stimulé avec les mots, car ils ne sont écho qu’aux monstres qui se cachent contre son coeur. Pour toujours abimée par le passé, incapable d’être confronté aux histoires miroirs sous ses yeux. Elles prennent une couleur jais, ou carmin, parfois teintés de gris quand la nuance des sentiments n’est pas binaire. Et quand elle a besoin de se mentir, c’est un bleu Klein qui couvre ses dessins.

Avec leurs petites mains ils risquent de tout déchirer, et Willow joue de ses mains pour imiter les enfants, avant de les ranger dans ses poches et s’insulter. Le fait que Birdo soit jeune l’a tellement perturbée qu’elle se rend ridicule. Pas qu’on ait besoin d’eux, à part pour sortir des phrases toutes faites, ils ont jamais fait grand chose, derrière leur bureau, roule des yeux la brune, avant de reprendre ses paroles précipitamment, voyant qu’elle avait un peu insulté la bibliothécaire. Pardon, je voulais pas insulter les philosophes, je suis pas très portée lecture, mais c’est très bien que d’autres le soit ! Insiste la jeune femme en passant ses ongles entres les mèches de ses cheveux libres. Je viens parce que je suis bénévole dans un centre pour jeunes et on cherche des volontaires pour proposer de nouvelles activités. Moi, je suis naze avec les bouquins, mais toi, tu as l’air de te noyer dedans, donc ça devait être facile de convaincre ces sales têtes qu’il y a des trucs interessants à lire…

Pourquoi a-t-elle fait un laïus aussi long sur les philosophes ? Pourquoi s’est-elle enfoncée à ce point dans ses paroles sans réussir à stopper les mots qui coulaient de sa bouche ? Willow est un enfer lorsqu’elle angoisse, et la vue de livres qu’elle ne maitrise pas lui fout des sueurs froides. Rappel papier qu’elle n’est pas assez, une pauvre nana incapable de faire mieux que sa station service. Si elle déborde de fierté d’être sa propre patronne, elle est souvent renvoyée aux réussites de ses ainés, tous comblés d’un métier plus valorisé.

Bon, pas ce genre de brique, hein, mais doit bien y’avoir des mangas ou des histoires qui se rapprochent de leur vie. Un truc qui leur parle, pas écrit par un gros bourge, demande-t-elle avec un manque de délicatesse qui fait sa signature en désignant le pavé en face d'elle. Bref, c’est pas moi qui saurait leur vendre ce que tu fais, mais toi t’es surement capable de les convaincre qu’ils peuvent mieux réussir leur vie, et que ça passe aussi sur la culture. Moi, je m’arrête au dessin. Elle fait une pause nécessaire pour reprendre son souffle. J’suis Willow, au fait. Enchanté Evie. Elle ne s’encombre pas des pirouettes et s’enfonce dans la familiarité avec facilité.

Après tout, si sa mission est complète, elles se fréquenteront régulièrement, autant chasser les jolies termes aux rubans parfaits pour la fraicheur de la sincérité.

avec  @Evangeline Bird


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Jeu 23 Mai 2024 - 20:36


Evangeline Bird
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Surnom : Personne n'a la patience de prononcer son prénom entièrement à chaque fois. Les abréviations les plus courantes sont Eve ou Evie. Un seul l'a appelée Birdy, il y a bien longtemps. Anciennement Evangeline Glover, elle a repris son nom de jeune fille son mari tout juste enterré.
Age : Trente-cinq ans. Ce n'est pas si vieux, mais plus très jeune lorsqu'on a rien accompli de sa vie. Le temps est une drôle de machine à la mécanique mal huilée, puisque les huit dernières années semblent ne pas avoir existé.
Adresse : La vieille maison de famille, dans le quartier de White Oak. La cabane dans l'arbre est laissée à l'abandon mais, malgré ses soixante-huit printemps, Papa continue de fleurir le jardin et la balancelle sous le porche supporte encore leurs poids.
Labeur : La culpabilité est un acide tenace et Evangeline sent son âme être rongée de l'intérieur. Le silence est devenu insupportable. Le comble pour une bibliothécaire, n'est-ce pas ? Le seul boulot qu'elle a été capable de trouver dans la précipitation, certaine de perdre les pédales si elle n'a pas de quoi s'occuper.
Coeur : Il bat. Elle croit. Il se fait discret, depuis des années et elle se surprend parfois à presser deux doigts sur sa carotide pour s'assurer être vivante. Veuve et ce n'est pas lui, qu'elle pleure, mais les années perdues, la vie à côté de laquelle elle est passée. Evangeline l'a juré : on ne l'y reprendra plus. Jamais. Plutôt crever.
Berceau : Clifton, Texas. Toujours Clifton et on a beau la fuir, cette maudite ville, on y revient avec la même force qu'un boomerang. L'atterrissage est douloureux, Evangeline s'étouffe encore avec la poussière qu'elle a mordue. Sa maison, son seul refuge.
the albatross - evie Dlju

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✹ De 500 à 3000 mots, laissons-nous porter.
✹ dialogue en français ou en anglais, venez comme vous êtes.

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Clifton est une petite ville et, comme Gregory aimait le rappeler : peuplée de crétins sans avenir. Une bourgade texane, loin des grandes mégalopoles de la côte ou d’une métropole comme New-York. Les familles issues de la région travaillent le bétail ou la terre, les espérances ne sont pas des plus élevées et rares sont les âmes qui s’en échappent. Evangeline l’aime, cependant, sa petite Clifton et ses bâtiments qui ne bougent plus depuis plusieurs générations. Elle aime connaître le moindre recoin des avenues, les nids de poule jamais réparés et surtout, reconnaître les visages qui passent la porte de la bibliothèque. Gregory Glover avait cependant raison sur une chose : les crétins sans avenir n’aiment pas les bouquins et rares sont les âmes qui passent à l’intérieur - si ce n’est pour demander à utiliser les toilettes. Pas d’envie pressante pour la brunette qui campe devant la surcharge de travail et si mademoiselle Bird a le sourire doux, ses mains s’activent. Elle a dû mal, désormais, à regarder ses congénères dans les yeux. Elle craint de croiser leurs regards et d’y lire les interrogations, les jugements, la pitié - ou la suspicion.

Vachement jeune balance la jeune fille et Evangeline souffle un rire. Trop jeune pour croupir ici, mais pas assez pour ne pas avoir déjà gâché sa vie. Quel âge a-t-elle, la demoiselle ? A peine majeure, avec ses joues rondes et son teint de porcelaine. L’insouciance d’un âge auquel Eve voudrait courir, revenir, comme elle aimerait à nouveau se jeter dans les bras de Marcus. Comme elle aimerait ne jamais être partie de cette foutue ville. « Madame Bradford, et je crains qu’elle ne nous ait quitté, malheureusement. » La vieille dame qui prenait autrefois la place sur ce fauteuil usé. Une amoureuse des livres et sûrement a-t-elle toujours fait partie des murs. N’était-ce pas elle, la vieille marâtre qui les avait chassé en les menaçant de sa canne, quand Eve était trop occupée à bécoter son biker pour s’intéresser aux bouquins ? Toujours là, jusqu’à sa mort - et Evangeline craint que ce soit désormais sa destinée.

« J’aimerais éviter de trouver du chocolat fondu entre deux pensées de Nietzsche. » plaisante-t-elle dans un sourire mutin, tandis qu’elle dépose deux piles sur un chariot. Cette antiquité a les roues qui grincent mais s’avère bien pratique lorsqu’il s’agit de pousser une demi tonne de livres entre les rayons. Les philosophes n’ont plus autant d’admirateurs qu’aux siècles derniers et si Evangeline étudie leurs pensées en vue de décrocher un jour un diplôme, elle ne pense pas de bons moments entre les pages. Ils sont insipides et pessimistes, cruellement réalistes, elle qui leur préfère les tourments énamourés de romans à l’eau de rose et autres oeuvres d’aventure. La lecture en échappatoire, et non pas en ancrage à un monde assez pourri en l’état. Il est amusant de voir qu’une jeune fille craint de les vexer, dans leurs tombes poussiéreuses. Tout comme il est agréable de ne pas subir l’éternel silence de cette bibliothèque où peu d’habitants se pressent.

Une solitude qui pourrait bien toucher à sa fin puisqu’entre deux tirades sans fin, la brune s’explique. Une association pour les jeunes esprits et quel dommage que cela n’ait pas existé lorsqu’elle était elle-même une gamine paumée. « Je ne savais pas qu’un tel centre avait ouvert à Clifton. Vous êtes installés depuis longtemps ? » Certainement pas assez pour avoir fait participer Madame Bradford - mais celle-ci n’était pas fan des jeunes esprits et de leurs voix trop haut perchées, de leur turbulence et de leur fougue. Elle aurait chassé la belle ingénue à coups de Kafka et Victor Hugo, l’assommant de ces pavés de mille pages qu’aucun adolescent n’envisagerait de feuilleter jusqu’au bout. « Et on parle de jeunes… Jeunes comment ? » Puisqu’ils ne doivent pas être très vieux si une lycéenne les conseille en dessin. A moins que la certaine Willow, qui se présente en beaucoup de mots, ne fasse plus jeune que ce qu’elle n’est. « Enchantée, Willow. C’est très joli, comme prénom. » Et elle se souvient d’un livre qui pourrait lui plaire, de ces briques qu’elle détesterait certainement, et Evie pince les lèvres en lui tendant la main. Ce n’est pas elle qui veut être assommée de recommandations mais les gamins qu’elle représente. « Ravie de vous rencontrer. » annonce-t-elle en lui serrant la main. Puis elle pivote, regarde autour d’elle comme si elle découvrait son lieu de travail pour la première fois. « Et vous souhaiteriez utiliser les locaux ? Car il me faudrait un accord de monsieur le maire, puisque la bibliothèque appartient à la ville. On pourrait pousser quelques rayonnages… » Elle réfléchit à voix haute, se demande avec quelle force elle pourrait créer un groupe de paroles. Un groupe de lecture et si l’idée la séduit, elle entend encore la douce voix de Marcus ricaner à son oreille combien elle agit comme une grand-mère. Elle chasse cette pensée d’un sourire lorsqu’elle revient à Willow. « Et il faudrait que je commande d’autres exemplaires de certains ouvrages, si vous voulez que vos jeunes puissent les lire. Mais il faudrait que je fasse une liste. » L’enthousiasme est contagieux et elle salive devant autant de responsabilités : tant de choses à gérer, pour s’empêcher de penser et toujours pouvoir s’occuper l’esprit. « Excusez-moi, non, excuse-moi. » rectifie-t-elle. « Je donnerai un coup de main avec plaisir, il faut juste que je demande à ma direction dans quelle mesure je peux commander des livres, ou accueillir du public. Il faudrait aussi que… Pardon, je me disperse. C’est une excellente idée, c’est gentil de me le proposer. Vous leur proposez autre chose ? Que la lecture et le dessin, je veux dire. Et tu acceptes les moins jeunes, à tes cours de dessin ? »


avec  @Willow Sutterland


Willow Sutterland aime ce message




And it was written. I got cursed like Eve got bitten. Oh, was it punishment ? Pad around when I get home. I guess a lesser woman would've lost hope. A greater woman wouldn't beg but I looked to the sky and said : Please, I've been on my knees, change the prophecy. Don't want money just someone who wants my company. Let it once be me
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Ven 21 Juin 2024 - 18:32


Willow Sutterland
Willow Sutterland

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Surnom : cielo sous la langue des Pobre qui l'adorent, parce qu'elle est arrivée comme l'ange qu'on a déchu. Entre leurs lèvres, le prénom de son ex fiancé sonne comme une insulte, quand son prénom résonne tendrement.
Age : virevolte autour du quart de siècle, willow se languit de vieillir. elle veut gommer le passé, s'établir comme une femme accomplie. self made woman, ses vingt-six ans rayonnent sur son visage de poupée, dont on demande encore la carte d'identité
Adresse : midtown pour pied à terre, son appartement à quelques minutes de la station service a beau être minuscule, il lui ressemble en tout point : mélangeant le clair et l'obscur avec application.
Labeur : il lui a au moins laissé ça en disparaissant : leg de la station service pour combler son coeur blessé. Si d'autres l'auraient démolis, willow en fait son empire romain, d'essence et de cigarette, au détour de quelques blanchiments d'argent pour son second foyer.
Coeur : émois adulescent, high school sweetheart, le fiancé l'a atrophié de l'organe le plus essentiel pour s'établir loin du gang qui l'étouffait. Pablo n'avait pas l'étoffe d'un Pobre, il n'en avait que la fiancée. Willow a été abandonné, pour le mieux, verrouillant l'accès à son palpitant, préférant se noyer dans la luxure à défaut de susurrer des mots doux. Qu'ils échouent à la faire toucher les étoiles, elle n'en aura plus les membres brisés.
Berceau : enfance dorée, tout s'est effondré quand les soupçons de fraude se sont abattus sur le paternel. fuite obligée de la grande ville, willow n'a pour seul souvenir de san francisco une carte postale oubliée dans une boite de ferraille. elle ne voit que le sable du désert pour avenir, sans craindre l'ennui.
Pseudo : clem
Pronom : elle / she / her
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Préférences rp : 1ère ou 3ème personne, je m'adapte à mon partenaire, nombre de lignes variable, mais toujours quelques répliques pour faire réagir. Rythme assez rapide, tant que l'inspiration me frappe. Grosse tendance à oublier de répondre en pv, pas de méchanceté, j'ai juste un problème avec les notifications, je dois les retirer dès que je reçois un message et parfois j'oublie de répondre si je n'ai pas eu le temps en lisant le message, vous pouvez me relancer je suis jamais vexée !

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the albatross
((atmosphere))


La blonde est si polie qu’elle lui rappelle Grace, sa soeur qui danse pour faire tomber la pluie à la télévision. Elle semble plus intelligente que Miss Météo, mais elle a dû grandir dans une belle maison, faire de belles études, et sa candeur la rend plus attachante que la cadette des Sutterland. Evangeline a surement bénéficier d’un foyer plus tendre que le sien, ses yeux refletent une tendresse qui n’anime aucun regard de sa famille. Et, instantanément, Willow distingue ce que CeCe cherche : la patience, la voix enchanteresse, le calme olympien, un vrai contraste dans l’équipe alambiqué formé par l’équipe du centre. C’est nécessaire, de voir la bibliothécaire les rejoindre, elle est la pièce manquante à l’équilibre qu’il cherche.

C’est probablement pour cela que la brune est si soulagé que l’antiquité qui tenait le comptoir se soit envolé vers d’autres cieux. Il fallait laisser sa place à un ange aux iris tristes, mais qui ne le serait pas en restant enfermer ici ?

Ah, paix à son âme alors. Willow lève la tête vers le plafond, en guise de respect, bien qu’elle n’en ait pas grand chose à faire. Ce n’est pas comme si elle allait regretter une inconnue.

Et Evangeline fait un trait d’humour que Willow n’est pas sûre de comprendre, mais elle se force un peu à rire, pour prétendre que Nietsche n’a aucun secret pour son esprit nourri de lecture de magasines. Dans ce genre de cas, il y a deux issus : soit elle a fait le bon choix, et peut paraître plus intelligente qu’elle ne l’est, soit elle se ridiculise. Heureusement, elle est en petit comité et peut prendre le risque. Peut être est-ce elle qui mériterait de s’assoir devant la savante pour apprendre une chose ou deux ? Après tout, les jeunes ont le temps de se tromper, Willow, elle, collectionne la bêtise avec application. Ses décisions sont le théâtre de ses erreurs, et Dieu sait qu’elles sont nombreuses. Si bien qu’elle laisse échapper un vrai rire lorsqu’on lui parle du centre comme si c’était le sien, comme si elle était assez douée pour porter sur ses frêles épaules la responsabilité de gamins en pagaille, quand ses bras trempent jusqu’aux coudes dans les sales affaires des Pobre. Elle, elle n’est bonne qu’à s’occuper de l’essence, et voir le monde cramer autour de sa carcasse.

C’est pas le mien, moi je gère juste la station service, j’suis bénévole là bas. Mais je crois que ca fait un peu plus de dix ans. Ca m’aurait servi, d’y aller, adolescente. J’aurais peut être eu de meilleures fréquentations…

Et Willow ne s’épanche pas sur le reste de son histoire, pas besoin de faire pleurer les chaumières en évoquant son passé cabossé. Le futur est plus serein, plus stable que ne le fut le début de son existence. C’est probablement pour cette raison qu’elle s’applique à rendre le monde meilleur pour ceux qui n’ont pas les armes. Ses actions sont si faibles, dans un univers baignant dans le sang des Hommes plein de rage, mais elles ont le mérite d’exister et de lui permettre des nuits tranquilles, ou presque.

Ils ont entre quinze et vingt-cinq ans, mais la plupart sont encore au lycée. Ils peuvent être ingrats parfois, mais la majorité est vraiment sympa. Elle se veut rassurante, Willow, si elle veut accomplir sa mission.

Pas la peine de la faire fuir en parlant de ce sale Grant, qui fait de sa vie un enfer dès que possible, même si Willow comprend qu’il a une famille merdique, elle ne supporte plus ce petit con. Heureusement, le reste des gamins remonte le niveau, et lui donne envie à chaque fois d’avancer les projets, de construire de nouveaux ateliers, de trouver de nouvelles idées. Ca lui permet de s’évader du quotidien répétitif de la station, et c’est bienvenu, sinon elle finirait par boire du gazoil.

Ca pourrait être sympa de venir un peu dans les locaux, c’est comme des renards, faut les apprivoiser pour les convaincre de notre amitié, rit-elle, fière de sa comparaison. Alors, si tu viens, ils voudront te revoir et eux, feront le déplacement. Je sais pas si c’est possible, sinon ici, comme tu veux !

A vrai dire, l’organisation, c’est pas son volet, et c’est probablement celui qui l’ennuie le plus. CeCe s’en charge à merveille, on lui a dit de convaincre la bibliothécaire, et elle pressent qu’elle y arrivera, encore quelques mots pour l’emporter sur le chemin de la salvation.

J’aimerais juste qu’ils aient plus de chance que moi. La station service, c’est sympa, mais c’est pas l’avenir que je souhaite à tous. Grogne la brune entre ses lèvres.

Willow s’en mord la langue. Si on était venu l’aider, si on lui avait tendu la main, si on lui avait dit qu’un autre avenir était possible, au delà des frontières de Clifton et d’un amour atrophié, elle aurait eu l’opportunité de devenir quelqu’un. Quelqu’un qui ne regarde pas son compte en banque en tremblant, qui n’attend pas des autres des sourires complaisants. Peut être même aurait-elle eu la force de se défaire du regard de ses parents. Mais il s’agit d’une cause plus grande qu’elle. Elle griffonne son téléphone sur un bloc note, avec son nom souligné au crayon à papier.

Prends le temps de t’organiser, je te laisse mon numéro et tu me tiens au courant quand on peut faire ça. Je te présenterais CeCe, la directrice, je suis sûre qu’elle te plaira. précise-t-elle avec un sourire franc.

Et à peine pense-t-elle au centre, que danse les images d’ados joyeux et de bruits à en détruire les oreilles. Il n’y a pas plus bel endroit que Y2C pour retrouver foi en l’humanité. Et à travers les cils de son interlocutrice, Willow suppose que cette joie de vivre saura lui offrir un second souffle. Après tout, ils ont tous besoin de réparer les dégats d’un passé, et quoi de mieux que l’espoir d’une génération sauvée ?

Un peu de tout, de la musique, de la danse, on discute aussi, du monde et des changements qu’on aimerait voir… Willow essaie d'être exhaustive, mais c'est délicat parce que les projets changent au gré du vent. Les adolescents ne sont pas connus pour leur cadre. On essaie d’écouter leurs envies, aussi. C’est pas évident, mais ça évite qu’ils plongent dans des gangs… Et Willow sent son coeur se tordre. Je sais pas si tu connais le coin, mais… C’est pas l’endroit le plus évident pour grandir, finit-elle par conclure.

avec  @Evangeline Bird


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