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when the sun goes down :: leo

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Mer 3 Juil 2024 - 9:00


Leandro Valarese
Leandro Valarese

HELLHOUND

le clair
Surnom : Il préfère la concision ; Leo et pas une syllabe de plus – on dit que seule sa mère avait jadis l’autorisation d’user des longueurs de son vrai prénom.
Age : trente-sept piges bien tassées.
Adresse : la communauté italienne d'un Midtown jamais quitté, briques rouges et crasseuses qui deviennent bastion de misère, territoire enclavé.
Labeur : clébard des Pobre, croc acéré de la mâchoire qui broie le monde jusqu’aux ruines.
Coeur : solitaire jusqu’à preuve du contraire, chérissant l’indépendance procurée par la presbytie du cœur.

I think you should know
you're his favourite worst nightmare


when the sun goes down :: leo 3cd2840098df94fa08546f6958ab477f

gray · beth · lottie

when the sun goes down :: leo Vbbq

Pseudo : eigengrau.
Pronom : elle/she
Fc : niels schneider.
Crédits : av / self

Multicompte : vera w. (millie brady), ronan a. (matt hitt).

Préférences rp : • 800-2000 mots en fonction du type de rp.
• dialogues uniquement en fr.
• utilisation de la 3e personne du singulier.


l'obscur

https://peace-of-mind.forumactif.com/t659-when-the-sun-goes-down https://peace-of-mind.forumactif.com/t667-leandro-valarese-bad-seed https://www.pinterest.fr/eigen_grau/leandro-valarese/ https://open.spotify.com/playlist/4XlI9JZX0D9hywbI3i27Yt?si=6ca7f0818c5b41c4
tw. petite criminalité, trafic et consommation de stupéfiants, mention de violences conjugales et de sexisme, règlements de compte, violence physique, deuil d'un proche, prison et monde carcéral, PTSD.



leandro valarese
moodboard ♦ playlist

identité

Leandro sur les papiers officiels, mais il préfère la concision ; Leo et pas une syllabe de plus – on dit que seule sa mère a encore l’autorisation d’user des longueurs de son vrai prénom. Quant à la famille Valarese, ils sont connus dans le coin pour avoir réussi à n’être restés personne sur plusieurs générations. Ratés en tous genres, tour à tour prolos, merdeux, essuyant défaites et malchance aux jeux, Valarese c’est un nom couleur de suie, parfum magouilles et voyous finis, planqués depuis des décennies entre les briques crasseuses de Midtown.

âge


trente-sept ans, enfant du début du mois d'avril. Depuis quelques temps, il observe le poids des ans déposer ses marques partout ; autour de ses yeux, dans les ridules creusées, ou bien dans les articulations qui se font douloureuses le soir – souvenirs d’une jeunesse passée à s'éclater les côtes et les jointures. Pas assez philosophe pour accepter son sort avec sérénité, il parait que ces constatations tendent à le rendre amer et taciturne : que les nuits deviennent blanches à cause des idées noires, et qu’il devient pour la première fois de sa vie inquiet à l’idée de la perdre un jour.

berceau

Né dans ce qu’il reste de la communauté italienne de Midtown, famille aux fières origines ritales que l’on brandit en étendard chaque fois que l’occasion en est donnée. Récit classique d’une fratrie émigrée y’a des décennies et débarquée à Clifton, qui a essayé péniblement de faire son trou dans une Amérique bouillonnante : échec, puisque le fric manque toujours, et que les trafics deviennent habitude au fil des années. On planque des doses de crack dans les calzones vendues par la madre, et les mômes s’occupent de livrer à vélo cette came qui en finit plus de faire crever le monde : peu importe, qu'ils se disent, tant qu’ils survivent.  

besogne

Clébard des Pobre, recruté à peine pubère sous les recommandations d’un cousin déjà embourbé dans ce merdier. Il fait d’abord le coursier, l’éclaireur, parfois la sentinelle pour les deals un peu sensibles ; il court pas mal pendant des années, jusqu’au moment où il apprend à cogner. Là, tout change : Leo devient celui qu’on envoie casser la gueules des mauvais payeurs, leur coller un flingue entre les deux yeux ou leur fracasser la tempe à la crosse. Du chiot, il devient l’un des crocs acérés de la mâchoire qui broie le monde jusqu’aux ruines. Violente poésie avortée par un passage en taule ; maintenant, il prétend qu’il se range un peu, et qu’il ne donne plus tant que ça dans l'exécution de châtiments arbitraires. Feignez de le croire. Loyauté envers les siens toujours présente, mais un peu émoussée.

coeur

solitaire jusqu’à preuve du contraire, chérissant les étreintes monnayées et l’indépendance procurée par la presbytie du cœur. Quelques histoires au compteur, qui ont plus facilement le goût des discordes ou des passions cendrées, que celui des contes de fées. L'amour comme une religion : maudite peut-être, dont il a fini par se dire athée, et abandonner toute dévotion.

le clair

La loyauté morbide, attachée à la famille de sang et de cœur ; tous ces êtres qui gravitent aux alentours et qu’il maintient coûte que coûte dans le sillon de son existence. Pour eux, Leo se ferait volontiers généreux, se prendrait une balle ou se couperait un doigt, parce que c’est ce que font ces gars-là : trop méfiants pour accorder leur confiance aux inconnus, ils préfèrent la vouer coûte que coûte à l’entourage déjà construit, et n'offrir que d'âpres humeurs aux autres.

l'obscur

L’âme qui vacille sans cesse entre la rage d'exister, et la peur de manquer, inscrite dans ses tripes ; la moralité reste bancale, suivant sans cesse le flot du fric qu'on lui fait miroiter – bien que ces dernières années l'aient un brin dissuadé d'en faire une habitude systématique. La colère collée au corps depuis le berceau, dont il peine à se débarrasser : voilà ce qu'il considère comme son addiction la plus crasse, qu'il combat avec le désespoir des acharnés.

les entailles

La pommette saillante et le regard de traviole, il a la dégaine des bestioles déchues, des petits cons qui s’essaient à l’art délicat de la rédemption. Paraitrait qu’il y a quelques années à peine, il se plaisait à trimbaler sa belle gueule de bars en bars, effectuant le petit miracle de se faire démonter la tronche sans avoir à lever le petit doigt ; il était jamais le premier à cogner, Leo, mais il avait la provocation tellement facile qu’il était pas rare qu’il finisse par se faire démolir le nez à coups de poings – juste pour le plaisir de déglinguer ce que Dieu lui avait donné. Le pire ? Il en riait. Et ça les rendait dingue, eux, les bêtes affamées de coups, les acharnés de la suture. Ça leur donnait encore plus envie de le voir finir sur le bitume. 
Aujourd’hui, on saurait plus trop lui donner un âge, avec sa gueule d’ange massacrée – et puis on oserait pas de toute façon ; pas qu’il soit encore du genre à faire de l’agressivité une habitude – car sûrement plus calme et discret que la plupart de ses congénères – mais plutôt qu’il a pris l’habitude de décourager les autres d’en arriver là.
Plus vraiment de sang sur les mains : son genre, ça serait plutôt d’en avoir sur les dents.

pseudo. eigengrau. âge. 26 pour quelques semaines encore personnage. inventé + prélien des Pobre Diablo. fc. niels schneider. multicomptes. black cat vera, et sweet ronan. crédits. lune (av) muralliann (icons)




favourite worst nightmare.



199710 y.o. • Ils sont entassés dans cette petite maison pavillonnaire de Midtown, trois gamins turbulents aux mines revêches, gavroches, merdeux prolétaires, gamins bruyants et sectaires, ça se voit qu'ils ont été élevés dans l'idée qu'ils n'avaient pas à l'être. Éduqués, je veux dire. Parce que y'a que les bourgeois qui peuvent se payer le luxe de donner de l'attention à leurs gamins, de les refourguer à des professeurs particuliers, les caser dans des écoles privées. De toute manière, l'époque plébiscite la brutalité, et c'est au moins un truc que leur abruti de père a compris ; étant donné le milieu duquel ils venaient, ses rejetons ne survivraient qu'à la condition qu'ils le pigent aussi.
Leo est celui du milieu, ni le premier ni le dernier, celui qui porte les vieilles fringues de son ainé pour pas gâcher, qu'on laisse grandir un peu tout seul parce que de toute façon, qui a du temps à consacrer à ses gamins, quand on cumule deux jobs sur la journée ? Il traine dans la rue, sèche l'école pour jouer aux grands, se fiche des raclées qu'il pourrait prendre. Mauvaise graine dès le début, on pourrait le dire ; à croire qu'il avait décidé dès le début de tout gâcher, ou qu'il avait réussi à comprendre très tôt que rien ne l'attendait avec un nom comme le sien. Pourtant, il est observateur, le gamin ; il pige vite les enjeux du monde qui l'entoure, apprend à être méfiant avec ceux qui paraissent lui tendre la main.
La générosité n'existe pas, je ne sais pas ce qu'on a pu vous raconter.

Des trois mioches, il est sans doute le plus silencieux. Il l'a toujours été. Mais c'est pas forcément pour ça qu'il s'est payé la place de petit chouchou familial, parce qu'il a beau s'abstenir de gueuler dans la baraque comme son frère a l'habitude de le faire, il est celui qui se fait le plus souvent convoquer par le directeur de son école. Et ça, croyez-bien que ça emmerde ses parents, d'être obligés de quitter le travail pour aller récupérer un mioche qui n'a même pas la politesse de répondre quand on l'engueule. Je crois que c'est ce qui insupporte le plus les figures d'autorités autour de lui ; ce regard qu'il avait toujours eu l'habitude de poser sur eux lorsqu'ils s'évertuaient à le sermonner. Placide et noir, l'indifférence érigée comme une gloire. On aurait voulu le gifler, juste pour lui faire payer de ne pas sangloter, ou au moins de mentir en disant qu'il était désolé. Non, Leo se contentait d'attendre que ça passe, il prenait son mal en patience. Le regard droit, désincarné, ils prenaient tous ça pour de l'insolence.

199811 y.o. • À cette époque, leur oncle Joe passait souvent à la maison pour le café.
Joe, c'était le genre de fils de pute qui l'ouvrait toujours pour ne rien dire, étalant pendant des heures des opinions vaseuses et consensuelles auxquelles personne n'en avait rien à carrer. Surtout que si le bonhomme en question avait eu une quelconque conscience politique ou rien qu'un gramme de libre-pensée, ça se saurait, et il se contenterait pas de ressasser en boucle les conneries qu'il entendait au JT. Encore qu'il était pas le pire. Y'avait des gars avec lesquels trainait son père qui frappaient sur leur femme et qui en riaient le jour d'après comme de la meilleure blague de l'année ; faut dire qu'elles sont sacrément connes aussi, et après elles voudraient plus d'égalité ? Ces gars là, ils étaient à gerber. Parce que voilà, ça arrive à tout le monde d'être violent, de se laisser aller à un petit coup d'sang. La vraie connerie, c'est quand ça devenait sélectif. Juste les femmes. Juste les gosses. Là, les gars devenaient de vraies ordures, pas juste des petits connards du dimanche. Des pourritures qui jouent aux durs pour oublier qu'ils ont un bide à bière et une tronche ravagée par l'alcool, un boulot de merde et des gosses qui n'en ont rien à taper d'eux, qu'ils ont raté leur vie, mais que les quarante ans qu'il leur restaient seraient sûrement les plus humiliants, les plus douloureux à encaisser. Qu'ils n'étaient rien, sans leurs putain de poings.
L'époque plébiscite la brutalité, eux aussi l'avaient pigé.

200013 y.o. • La première fois qu’il a fait connaissance avec la violence, il avait treize ans. Ça faisait un moment que la tranquillité du quartier s’était envolée ; à l’aube du nouveau millénaire, les politicards se foutaient pas mal que les écoles soient surchargées, les salaires miséreux, ou que les routes doivent être réparées. On s’en foutait pas mal de leur dignité. Alors on avait foutu des grilles devant les portes, histoire d’éviter de se retrouver avec des serrures forcées et des économies volées. Y’avait d’abord eu les bagnoles qui brûlent, sortes de grandes torches dans la nuit qu’on retrouvait le matin, calcinées et noires comme des fleurs flétries. Puis c’était les coups de feu, qui étaient devenus pluie. Le fils Santos, il astiquait parfois les voitures du voisinage pour se faire un peu de blé avant qu’on ait la drôle d’idée de les réduire en fleurs ; et c’est comme ça qu’il s’était fait abattre un matin, juste devant ses yeux à lui. Un instant, il agitait la main depuis le trottoir d’en face pour lui faire signe – il se rappelle. Il se rappelle, parce qu'il s'était dit qu'il accepterait peut-être de lui prêter son skate pour qu'ils fassent quelques figures, l'après-midi. Mais l’instant d’après y’a une bagnole qui passe, s’arrête, et le descend sans chichis. Repart. Il se rappelle.

Santos était en train de crever sur le trottoir, et tout ce qu’il avait réussi à se dire c’est qu’avec tout ce rouge, il ressemblait à un coquelicot.

200821 y.o. • Il a la gueule qui frôle le bitume, les paumes qui brûlent mais l'oeil grand ouvert. Le sol est si proche que lorsqu'il halète, son propre souffle lui revient immédiatement.
Il a l'odeur âcre du sang.
Leo crache avec hargne, quelques gouttelettes carmines se projettent sur le macadam. Mais la vue de cette couleur ne le tétanise pas : elle l'électrise. Y'a un sourire qui tord sa belle gueule, un sale rictus de grand malade, et s'il pouvait se voir, putain il est certain qu'il se ferait lui-même peur, avec ses dents rougies et son oeil au beurre noir.


Ça faisait un moment qu'il était devenu chien galeux pour le compte des Pobre, vulgaire chair à canon, barbaque à broyer. Mais tout ça, il avait eu l’audace d’y prendre goût. S’accoutumer à la mort et sa continuelle présence, nouer un pacte avec la violence. A tel point que même lorsqu’il a vaguement pris du gallon et eu le choix de se ranger dans un rôle qui l'exposerait un peu moins, il n'a pas cessé de retourner dans la rue qui broyait sa carcasse décharnée. Goût du sang ou penchant indécent ? On ne saurait le dire, mais il s'est forgé une petite réputation Leo, de cette mauvaise graine qui traîne dans les bas fonds, qui exécute le pire sans poser de question. Et on peut pas dire que jusqu'à ce qu'il goûte à la taule, le vice ne se soit arrangé : il a gardé les crocs bien retroussés jusqu'à ce qu'on pense à les lui limer.

201225 y.o. • Le loup. Plus que celui qu'il est, c’est ce qu’il est. Plus qu’un surnom, il en a fait l’allégorie pour justifier ses pétages de plombs. Une excuse à la violence, aux nuits carbonisées, chairs abandonnées, traces dans le nez, nez fracturés, réveils défoncés, sépulture d’une existence qu’il ne finit pas de profaner par tous les moyens qu’il trouve.
Aujourd'hui, il se fait croire qu'il les méprise tous ; la faute à un énième règlement de comptes. La vérité, c’est qu'il se rappelle même plus la raison qu'il avait trouvé pour leur fracasser le nez, cette fois-là. Il se rappelle même plus pourquoi il est en colère contre le monde entier, à part peut-être que ça l’a tellement usé de voir les gens canner sur les trottoirs qu’il a fini par trouver ça normal. Vendeur de coquelicots et de coquards, Leo devient dangereux, loup carnassier à bien des égards ; le rouge sous les ongles et le blanc dans le nez, il fait comme s'il avait des principes, le crack ? T’es malade, jamais j’y toucherai. Mais plus qu’à la came, c’est de l’inconscience de lui-même, qu'il n’arrive pas à décrocher : de la légèreté de l’être, de la nonchalance de soi, de la formidable violence qui consiste à pouvoir détruire, et puis en rire. Flinguer les autres au passage, dégueuler sur ceux qui veulent bien faire avec la condescendance de ceux qui sont trop lâches pour encore essayer. Loup solitaire, au service d'une meute qui ne demande qu'à l'épuiser.

201427 y.o. • « On a essayé de te joindre, enfoiré. Papa a contacté Ittorno, il a dit qu’il savait pas où t’étais, encore moins où tu créchais en ce moment, et on a fini par croire que t’avais quitté la ville. J'suppose que t'étais encore casé avec ces timbrés que tu considères comme tes potes, ou à te défoncer dans une de leurs piaules miteuses. Non, ta gueule, laisse-moi parler : t'es un putain de merdeux, t'entends ? J'veux plus entendre parler de toi, Leo, parce que t’aurais dû être là. T'as qu'à crever de tristesse, ça te fera les pieds : parce qu'elle est morte, et que tu la reverras pas. »

201528 y.o. • Il a laissé les bleus et la blanche au placard, revirement soudain à s’en faire tourner la tête, à faire croire à un genre d’illumination divine. C’était ce que lui avait dit Luis, lorsqu'il avait refusé une trace pour la première fois : il te prend quoi, Leo ? T’as vu Jésus, ou quoi ?

Jésus, ou lui. Bêtement.
Ça avait pris le temps. Se voir comme il était vraiment, borderline, raclure des profondeurs, marquis des trottoirs écroulés, ange blond aux jointures et aux narines écorchées. Un jour il s’était vu, et il s’était fait flipper. Ça avait pris du temps, mais il avait recommencé à parler à son père, à ses frères. Et puis peut-être qu'il était toujours en colère, Leo, toujours cloué par cette rage substantielle qui ne le laissait jamais en paix ; mais il a fini par piger que s'il continuait à être loup affamé, c'était lui qui finirait par se faire bouffer.
Alors il a fait profil bas, rien qu'un peu ; sans lâcher les autres, il a commencé à prendre de la distance avec le goudron. De toute façon, sa sale réputation faisait bien l'affaire, même en se payant le luxe d'une semi-rédemption.

201831 y.o. • Toni. Bouffée par les néons, obsession seule connue des frustrations. Toni. Un carré qui frôle la mâchoire, féminité ourlée et revêche, la beauté comme un cri de bacchante. Massacrante.

La première fois qu'il l'a vue, Toni, il s'est demandé ce qu'une nana comme ça pouvait bien foutre ici, au milieu de la crasse et des putes. Elle n’avait pas la dégaine, elle était trop – ou pas assez. À en faire peur, la démarche comme une danse, chantante ou charnelle : dès la première note, il n'avait aucune chance. Il se rappelle : l'air détaché, elle avait rajusté la mèche de cheveux qui était venue caresser sa pommette, à l’exacte seconde où elle l’avait traité d’enculé. Ses ongles rouges hémoglobine jouaient avec mépris dans sa chevelure trop lisse ; elle lui a dit d'aller se faire foutre, mais il a refusé. Juste par principe. Alors elle a décidé qu’elle le détestait, et lui aussi.
C’était un bon début. 



Elle allait détruire sa vie, mais il n'en avait aucune idée. Jusqu'à présent, les femmes c'était un passe-temps, une curiosité, des peaux à parcourir et caresser, des bras avachis sur l'oreiller, des mélopées rauques dans la nuit, des compagnies pour tromper l'ennui. Qu’il payait parfois avec cynisme, juste pour assassiner le romantisme noir des amours perdues, jamais trouvées. Les femmes, il lui arrivait de les désirer ; mais il les désirait toutes de la même façon, de manière accidentelle, comme si elles n'avaient été qu'un pluriel. Toni avait éclipsé les autres d'un sourire mordant – le premier qu’elle lui avait offert. 


Façon cri de bacchante.

201932 y.o. • Ils l’ont coffré au saut du lit, genre six heures du mat à peine passées, avant même le premier café. Le premier flic a pas fait dans la dentelle pour lui passer les bijoux au poignet – une clef de bras rapide pour lui coller la gueule contre l’évier de la cuisine. Ça avait réouvert l’écorchure à l’arcade qu’il s’était fait deux jours avant, et qui avait pas encore eu le temps de cicatriser ; alors il a rapidement eu la gueule en sang, et il s’est demandé s’ils l’avaient fait exprès – histoire qu’il ait un peu plus la tronche de l’emploi, et qu’il se fonde dans le décor, une fois au trou.

Il se rappelle qu’il a pas eu peur, qu’il s’est contenté d'attendre que ça passe, de prendre son mal en patience alors qu’on l’emmenait en taule.
Le regard droit, désincarné, ils ont tous pris ça pour de l'insolence.

Il avait pas mal de potes qui avaient fait un tour dans ce trou de malheur ; celui dans lequel on foutait les raclures dans son genre, pas les types importants. Ils en revenaient tous en disant que c’était l’enfer au delà des terres, que survivre était une horreur de chaque instant. Leo, il les avait toujours écoutés avec un dédain distant, en se disant que ça pouvait pas être si pire. Qu’il suffisait de serrer les dents.
Il aurait dû les écouter vraiment ; parce que la taule, c’était un putain de mouroir. Le berceau de la violence à l’état pur, pas celles qu’on trouvait dans la rue, mais la vraie. Celle qui était utilisée lorsqu’il ne restait plus rien à défendre ou à espérer, puisque la vie elle-même s’était faite liberticide. La violence, seulement préférée au suicide.
Là-bas, on pouvait pas commencer la journée en étant sûr qu’on en verrait la fin, ou en tout cas qu’on finirait pas assommé entre les murs crasseux de l’infirmerie. On y perdait ses sens un à un, aussi : la vue, à force de se faire boxer les globes oculaires et d’enchainer les coquards, l’odorat en respirant les odeurs de merde humaine toute la journée. Puis le goût, pour la terre qu’on leur faisait grailler, l’ouïe à cause de tous ceux qui gueulaient à la mort, lorsque venait la nuit. Enfin, le toucher. Le toucher qui n’était plus ; parce que là-bas, on ne faisait que cogner. Corps devenu insensible ou hypersensible, il ne sait plus trop – le toucher maudit, comme une maladie.

Il a vu un paquet d’horreurs. Des types qui ne cherchaient qu’à le buter, des potes de cellule qui ne reviennent pas de la promenade, des gueules massacrées, éclatées au sol. Il ne compte plus les peurs qu’il a au compteur. Un peu anesthésié, sûrement. Il paraît que c’est un mécanisme de survie bien connu : s’infliger soi-même cette desinhibition partielle, pour être en mesure de continuer à regarder la terreur en face, à tutoyer le malheur. Ou alors seulement la nuit, au gré des songes morbides qui le hantent et qui reviennent, comme de terribles ritournelles. La nuit, les hurlements lui vrillent les oreilles, mais juste en rêve. Peut-être que c’est pire. Ou peut-être que le pire n’a plus de visage, après tout ce temps.

Et puis un jour, Luis est venu au parloir pour lui dire :

« C’est cette pute qui t’a vendu, tu sais ? »

202437 y.o. • Ittorno a eu le temps de faire deux mômes, quand il était au trou ; mais entre les deux, il a quitté Chiara pour une autre fille. Il a dû lui dire son nom, mais il a pas pensé à le retenir. Son père a pris sa retraite, aussi ; maintenant, il passe la plupart de son temps le cul collé au canapé, devant la télé. Il marmonne en italien quand on lui pose une question, fait croire à des problèmes de surdité pour s’éviter l’ennui de répondre. 
Au fond, y’a pas grand chose qui a changé. 



Les bagnoles brûlent toujours, finissent en fleurs séchées le long des routes. Les petites frappes se font fleuristes de quartier, collectionnent les coquelicots du bout des doigts. Rien ne bouge. Mais lui, il a l’impression que le monde qu’il connaissait avant est sans dessus-dessous.

On lui a volé un petit bout de lui, là-bas, et il le sait très bien. La taule faisait pas que vous prendre des années : elle prenait des morceaux d’existence entiers, des fragments d’âme à collectionner pour les mêler aux graviers. Légende urbaine, la seule à laquelle il acceptera de croire : il le sait, il l’a vécu. Il sursaute pour des conneries, se réveille en hurlant la nuit. Il manque de fracasser ceux qui le bousculent sans faire gaffe, juste parce qu’il a intégré qu’à chaque seconde, on pouvait vouloir le planter. Il a les mains qui tremblent, quand il les laisse immobiles ; et surtout, il ne sait plus trop combien de colère il a en lui. Pour tous ceux qui étaient restés dehors tout ce temps, pour le monde qui avait fait de lui une bête déchaînée, puis enchainée, enfermée dans une cage minuscule avec d’autres bêtes, plus carnassières encore. Pour les monstres qu’il y avait croisé, pour les crocs qui l’avaient mordu ; pour l’époque surtout, qui plébiscitait la brutalité. 



Pour elle, qui l’avait vendu.

Elle avait détruit sa vie, sans même qu’il ait pensé à se méfier. Jusqu'à présent, les femmes c'était un passe-temps, une curiosité, des peaux à parcourir et caresser, des bras avachis sur l'oreiller, des mélopées rauques dans la nuit, des compagnies pour tromper l'ennui. Les femmes, il lui arrivait de les détester ; mais il les détestait toutes de la même façon, de manière accidentelle, comme si elles n'avaient été qu'un pluriel. Toni avait éclipsé les autres d'un aveu mordant – le premier qu’elle leur avait offert.

Façon cri de bacchante, ou poigne de fer.


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Mer 3 Juil 2024 - 9:26


Boyd Doherty
Boyd Doherty

p e a c e o f m i n d

le clair
Surnom : Dans la vie de tous les jours, au job, c'est Doherty. Inspecteur Doherty quand ce ne sont pas ses collègues. Et son seul prénom quand l'insigne est posée dans un coin.
Age : Plein milieu de la trentaine, légère bascule vers la quarantaine à la veille de l'Hiver.
Adresse : Il loue un appartement en plein centre-ville.
Labeur : Inspecteur de police.
Coeur : Fiancé à Emma depuis quelques mois. Mais le temps est à l'orage et il ne faudrait pas qu'une éclaircie vienne d'ailleurs.
Berceau : Portland, OREGON.
DREAM TEAM

when the sun goes down :: leo Xkb0

Pseudo : Revenge.
Pronom : elle
Fc : Aaron Taylor Johnson
Crédits : adastra

Multicompte : Jean

Préférences rp : * rp à la 3e personne du singulier
* 600-1500 mots
* dialogues en français/anglais, pas de préférence, expressions anglophones.

l'obscur

https://peace-of-mind.forumactif.com/t462-boyd-fire-walk-with-me https://pin.it/5vgFFqQX2
Valarese c’est un nom couleur de suie, parfum magouilles et voyous finis

A peine arrivée à ce point dans ma lecture et je sais que cette fiche va encore être une pépite. loved Jamais déçue quand ta plume s'en mêle ! Hâte d'en découvrir plus sur ton Leo, il va être chouette ce personnage, je le pressens pray
Bienvenue à nouveau à la maison :luve:


Leandro Valarese aime ce message

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Mer 3 Juil 2024 - 9:36


Invité
Anonymous

Invité

le clair
l'obscur

Euh aled ??? rip Faudrait arrêter de faire des persos aussi géniaux svp, je suis jamais prête quand il s'agit de me prendre ton talent en pleine face comme ça de bon matin omg Ta plume reste un gros coup de coeur pour moi (envie de me rouler dans la beauté de tes mots) love J'attends la suite avec impatience fire Re-bienvenue par ici **


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Mer 3 Juil 2024 - 13:55


Adelina Foster
Adelina Foster

f r e e s o u l

le clair
Surnom : Ad' • Adi • Lina • Queen of the Wind
Age : 25 ans, née un soir de novembre.
Adresse : Généreusement logée chez Sierra - le temps de trouver son chez elle, ou de rentrer à New York.
Labeur : Bien qu'elle soit une touche-à-tout, elle a trouvé un job au Wild Coyote Saloon en tant que... Coyote.
Coeur : Il hurle d'être aimé plus que tout, mais se barricade continuellement.
Berceau : Pour Lina, l'Amérique est son foyer, mais le mystère de ses origines mexicaines  a toujours plané comme une ombre sur son existence. Débarquée de New York, elle s'adapte à Clifton depuis quelques semaines maintenant.
when the sun goes down :: leo Tgpp

Pseudo : shadows.
Pronom : elle.
Fc : Jenna Ortega.
Crédits : alittlebitofrain.

Multicompte : andrea - violet

Préférences rp : - 15 lignes minimum, donner matière à répondre.
- dialogue en gras
- RP en "je" ou "il/elle"
- RP en français, avec expressions en espagnol et/ou en anglais
- réponses privilégiées à mes scénarios, parfois selon mon mood

l'obscur

https://peace-of-mind.forumactif.com/t44-adelina-munoz-o-the-que https://peace-of-mind.forumactif.com/t58-adelina-munoz https://www.pinterest.fr/noemiednls/adelina-vibes/
Le voilàaaaaaaa puppyeyes
Bienvenue avec cette nouvelle bouille, j'aime beaucoup ce qui se dessine et j'aimais déjà ce qui se tramait en coulisse hehe
Hâte de me poser pour lire tout ça <3


Ronan Adair aime ce message



How can I forget


When i never even got to choose to forgive you for myself
I never had the chance to comprehend
Cuz you shoved your apologies down my throat
Everything I've ever forgiven you for was to save you,
It was not for myself




(c) Abby - Forgive & Forget
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Mer 3 Juil 2024 - 15:06


Clyde Saracen
Clyde Saracen

E N F A N T S A U V A G E

le clair
Age : 27 ans. Né un soir de novembre, le 25. Sagittaire ascendant lion, de ce que Sierra lui a raconté.
Adresse : squatte un bout de matelas chez Jean depuis que son mobil-home a été détruit par la tornade.
Labeur : Se perd dans les méandres des moteurs rugissants et des pièces défectueuses pour le Red Feather Garage. Petites mains des Bloody Eagles, la veste aux couleurs du club perpétuellement sur le dos.
Coeur : Navigue sur un océan de désirs éphémères.
Berceau : Enfant du Texas, les vastes plaines brûlées comme seuls décors de sa vie.
« thriving on chaos »

when the sun goes down :: leo Beth-Tig-Clyde

« sunshine mixed with a little hurricane »

when the sun goes down :: leo Sv7d

Pseudo : adastra
Pronom : elle
Fc : ash stymest
Crédits : sfs

Multicompte : hailey alston

Préférences rp : rp en français et à la troisième personne du singulier ✪ entre 600 et 1000 mots, je m'adapte facilement mais je vais rarement au-delà ✪ dialogues en steelblue ✪ aucun soucis à ce que la personne en face utilise une autre langue pour les dialogue du moment que c'est maîtrisé ✪ réponses sous 2 à 15 jours en fonction de l'irl, toujours dans l'ordre logique sauf exception en cas de rp commun que je peux faire passer en priorité.

l'obscur

https://peace-of-mind.forumactif.com/t51-clyde-sarancen#72 https://peace-of-mind.forumactif.com/t54-clyde-sarancen#78 https://www.pinterest.fr/aadastraa/clyde/ https://open.spotify.com/playlist/7MTWl86xu7s5LiLoBDKPlN?si=149575e687f141bb
Déjà tu t'appelles Léo. Ensuite j'ai adoré le moodboard. Et pour finir tes mots qui sont toujours du miel pour mon petit cœur.. bheart Tu nous sors encore un banger, un personnage tout en nuance, une pépite de plus quoi. puppyeyes Tu connais la maison, fais comme chez toi. wheart


Leandro Valarese aime ce message



I'll be your blue eyed bandit if you'll be my renegade


I count a thousand tumbleweeds roll by me everyday
I'd like to grow a rose and stow it in that desert sage
Like a message in a bottle floating down the open plains
Where the Llano Estacado rises up to meet the sky
I ain't crying, that's west Texas in my eye
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Mer 3 Juil 2024 - 16:56


Invité
Anonymous

Invité

le clair
l'obscur

envie de caner
Santos était en train de crever sur le trottoir, et tout ce qu’il avait réussi à se dire c’est qu’avec tout ce rouge, il ressemblait à un coquelicot.
fuck mais ce talent ?????? rip
toujours subjuguée par ta plume, merci pour les pépites star
bienvenue, encore, et toujours, à la maison wheart


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Mer 3 Juil 2024 - 17:07


Leandro Valarese
Leandro Valarese

HELLHOUND

le clair
Surnom : Il préfère la concision ; Leo et pas une syllabe de plus – on dit que seule sa mère avait jadis l’autorisation d’user des longueurs de son vrai prénom.
Age : trente-sept piges bien tassées.
Adresse : la communauté italienne d'un Midtown jamais quitté, briques rouges et crasseuses qui deviennent bastion de misère, territoire enclavé.
Labeur : clébard des Pobre, croc acéré de la mâchoire qui broie le monde jusqu’aux ruines.
Coeur : solitaire jusqu’à preuve du contraire, chérissant l’indépendance procurée par la presbytie du cœur.

I think you should know
you're his favourite worst nightmare


when the sun goes down :: leo 3cd2840098df94fa08546f6958ab477f

gray · beth · lottie

when the sun goes down :: leo Vbbq

Pseudo : eigengrau.
Pronom : elle/she
Fc : niels schneider.
Crédits : av / self

Multicompte : vera w. (millie brady), ronan a. (matt hitt).

Préférences rp : • 800-2000 mots en fonction du type de rp.
• dialogues uniquement en fr.
• utilisation de la 3e personne du singulier.


l'obscur

https://peace-of-mind.forumactif.com/t659-when-the-sun-goes-down https://peace-of-mind.forumactif.com/t667-leandro-valarese-bad-seed https://www.pinterest.fr/eigen_grau/leandro-valarese/ https://open.spotify.com/playlist/4XlI9JZX0D9hywbI3i27Yt?si=6ca7f0818c5b41c4
@Boyd Doherty tes mots me remplissent de Boydheur omg plus sérieusement, ravie que Leo te plaise, et j'espère que ça sera aussi le cas de la suite wheart

@Maxine Danes mais merci ?? dead jsais plus où me foutre c'est fini, t'es adorable smug  j'espère qu'on trouvera l'occase de se trouver un petit lien et de se croiser en rp un de ces jours loved

@Adelina Foster merci pour tes mots **

@Clyde Saracen trop trop mims, et merci encore d'avoir pris le temps de répondre à mes 10000 questions pour le construire love2

@Gatlin Stanfield c'est TOI qui dit ça avec tous tes personnages masterclass ?? l'hôpital la charité je sais pas faites quelque chose
merci kitty, hâte qu'on se concocte un petit lien de plus star


Clyde Saracen et Jean Lowe aiment ce message

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Mer 3 Juil 2024 - 18:09


Invité
Anonymous

Invité

le clair
l'obscur

j'l'adopte au refuge on a dit !
(cte plume grrrr je-)

rere-bienvenue !


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Mer 3 Juil 2024 - 22:57


Angel Medina
Angel Medina

EL S E R P I E N T E

le clair
Surnom : Foutez-lui une chemise repassée sur le dos et on lui filerait le bon dieu sans confession, à Angel. El Serpiente le suit telle une ombre, puisqu'il a de ces sourires insidieux capables de convaincre Eve de croquer dans la pomme. Et si on lui refuse : il peut toujours mordre.
Age : trente-sept ans. Il paraît qu'avec l'âge vient la sagesse, puis les mômes, la bonne femme et la maison de banlieue. Dieu soit loué, Angel est épargné pour le moment.
Adresse : Un appartement à Midtown, de ces trous à rats où les cafards et les rats sont des animaux de compagnie. Il aime appeler ça un loft, même si ce n'est qu'une grande pièce aménagée que son proprio n'a pas le droit de louer. Il ne s'en plaindra pas : c'est compliqué de se faire descendre par une fenêtre du troisième étage.
Labeur : Présentez-vous au el garaje del mago et demandez le meilleur mécano, il y a de grandes chances qu'on vous pointe Angel. Il bichonnera votre monture ou votre caisse, sans distinction, et il paraît qu'il est doué pour fidéliser la clientèle. Sergent d'armes des Pobre Diablo à temps plein et cette deuxième casquette est plus lucrative.
Coeur : Encore faudrait-il en avoir un, non ? Organe en berne, palpitant en rade, aorte en miettes. Après l'avoir expérimenté, Angel peut décréter que l'amour n'est pas pour lui.
Berceau : Texas, baby. Gosse de Laredo, jamais vraiment intégré. Juste un gamin de plus avec des parents à chier. Clifton est le berceau de sa renaissance, l'endroit où il a ouvert les yeux pour la première fois et pousser son premier cri : en appuyant sur la détente.
Pseudo : kacsa
Pronom : she/her
Fc : manny montana
Crédits : shadows

Multicompte : evangeline bird - jackson graves - dallas behrendt

Préférences rp : Troisième personne
☽ De 500 à 3000 mots, laissons-nous porter.
dialogue en français ou en anglais, venez comme vous êtes.

l'obscur

https://peace-of-mind.forumactif.com/t298-angel-medina-guilty-as https://peace-of-mind.forumactif.com/t301-angel-medina-old-habits-die-screaming#3293 https://www.pinterest.fr/irenesmilau/angel/ https://open.spotify.com/playlist/7hmN2PlP5OuD9fe0bIZh8R?si=6be2cbfbbba54b0b
Bienvenue à Clifton

Leandro a quelque chose de tragique, une destinée merdique qu'il embrasse avec sa gueule cassée. star Cette fiche met une claque ! Ta plume est toujours aussi juste et incisive - tu nous régales avec tes idées folles et tes personnages dingues  :moon: Encore bienvenue chez toi, il me tarde de te stalker avec ce nouveau bébé et de te (re)mettre un pobre dans les pattes. star

✪ Se recenser : La première étape et sans doute la plus essentielle sera de te recenser pour le mois en cours grâce à ta fiche de présentation.
✪ Remplir son profil : Nous te conseillons de bien compléter ton profil et ajouter les liens menant vers ta fiche de présentation, moodboard, suivi personnage etc.
✪ Créer des liens : Tu peux ensuite créer ton casier judiciaire qui va te permettre de suivre l'évolution de ton personnage et créer des liens.
✪ Les petits plus du forum : Pour finir, nous t'invitons à te pencher sur le système de points du forum qui offre quelques petites choses qui pourront peut-être t'intéresser.

Bon jeu.


Ronan Adair aime ce message



the matador
They call him the matador. He settles all the scores. He kills in plain sight with a blade and a smile. Well, he'll settle things in the sun. Plays God like the chosen one.
(c) 0tsana


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Jeu 4 Juil 2024 - 0:53


Invité
Anonymous

Invité

le clair
l'obscur

je passe après la guerre
mais ce personnage **
ta plume est tellement belle, inspirante, bref tellement de choses à en dire. doublecoeurs
compte sur moi pour suivre ses aventures et re chez toi, surtout. wheart


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