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SMOKEY AND THE BANDIT

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Sam 20 Avr 2024 - 23:37


Adelina Foster
Adelina Foster

f r e e s o u l

le clair
Surnom : Ad' • Adi • Lina • Queen of the Wind
Age : 25 ans, née un soir de novembre.
Adresse : Généreusement logée chez Sierra - le temps de trouver son chez elle, ou de rentrer à New York.
Labeur : Bien qu'elle soit une touche-à-tout, elle a trouvé un job au Wild Coyote Saloon en tant que... Coyote.
Coeur : Il hurle d'être aimé plus que tout, mais se barricade continuellement.
Berceau : Pour Lina, l'Amérique est son foyer, mais le mystère de ses origines mexicaines  a toujours plané comme une ombre sur son existence. Débarquée de New York, elle s'adapte à Clifton depuis quelques semaines maintenant.
SMOKEY AND THE BANDIT Tgpp

Pseudo : shadows.
Pronom : elle.
Fc : Jenna Ortega.
Crédits : myself.

Multicompte : Andrea Bird - le pompier.

Préférences rp : - 15 lignes minimum, donner matière à répondre.
- dialogue en gras
- RP en "je" ou "il/elle"
- RP en français, avec expressions en espagnol et/ou en anglais

l'obscur

https://peace-of-mind.forumactif.com/t44-adelina-munoz-o-the-que https://peace-of-mind.forumactif.com/t58-adelina-munoz https://www.pinterest.fr/noemiednls/adelina-vibes/
courses. excès de vitesse. garde-à-vue.



smokey and the bandit
- atmosphere -

" C'est ta caisse ? " qu'il me demande. Voilà plusieurs minutes que je le vois tourner autour. Assise tranquillement sur mon siège, à manger un sandwich en deux/deux avant de prendre mon poste au Coyote Saloon. Je trouve ça sidérant, ces mecs - oui, ce sont SOUVENT des mecs - qui bavent devant ma Camaro, avant de poser les yeux sur moi, et de me regarder de haut. Comme si j'avais pu la voler. Comme si j'étais incapable de posséder ce bijou. Et pire encore, comme s'il était possible que je la conduise. " Hum... Attends voir, je suis assise à l'intérieur, et j'ai les clés sur le contact. Je suppose que ça doit répondre à ta question, " je rétorque, tout en sourire et tout en sarcasme. " L'prend pas mal, une caisse de c'genre, ça va pas avec... une fille de ton genre, " qu'il ose continuer. SERIOUSLY ? " Et si tu développais un peu ? " C'est qu'il me couperait l'appétit avec ses remarques sexistes. Les femmes n'ont donc pas le droit d'acquérir de belles bagnoles ? Pas le droit d'aimer les belles bagnoles ? Pas le droit de s'y connaître en bagnoles ? Pas le droit de conduire de belles bagnoles ? Il doit voir dans mon regard, noir, qu'il a fait mouche parce qu'il lève les mains en l'air, mais son sourire ne le quitte pas pour autant. Bon, c'est sûr que je ne suis PAS effrayante. Pas assise ainsi, en train de manger sur le pouce, en mode Coyote avant l'heure. Mais mes cours avec Alby commencent à faire effet ! Je suis sûre que je serais capable de lui péter le nez... Et de me péter le poignet dans le même temps, mais bon. " Allez, c'est le genre de caisse qui a besoin d'un homme, tu vois. Elle a besoin de ronronner, de se dégourdir les jambes. " Tu m'en diras tant. " Et t'es une fille. " Comme si cela suffisait à son argumentaire. " Femme. " Je rectifie, avec un sourire tout ce qu'il y a de plus... froid. Cordial, si on veut. " C'est la tienne ? " je lui renvoie sa question, pointant du doigt sa Cadillac - qui elle, pour le coup, mériterait bien mieux que Lui. Il acquiesce tout fier. " Tu sais la conduire ? J'veux dire... comme un homme ? je provoque un peu. Je titille un peu. Et ça fonctionne, comme souvent avec ce genre de "mecs". " J'te propose vingt billets. Le tour du centre-ville. " Je ne suis même pas sûre de comprendre pourquoi je lui propose ça, pourquoi je prends à coeur ses propos ridicules. Je ne le connais pas. Je n'ai pas l'intention de mieux le connaître. Mais c'est plus fort que moi. Je me dois de lui fermer son clapet, et lui apprendre la leçon de sa vie. " Monte à 50, poupée, " qu'il sourit, acceptant par la même mon défi. Lorsqu'il se place à côté de moi au feu, rouge, je me tourne vers lui. " Tu m'appelles encore une fois poupée, j'te castrerai si fort et si bien qu'on pourra t'appeler Madame. " Sourire. Et le feu passe au vert.

Bien sûr que je démarre en trombe. Bien sûr que je suis devant. Bien sûr que je gagne. Bien sûr que je suis plus rapide. Bien sûr que je suis meilleure pilote. Bien sûr que je le fais râler. Bien sûr que je jubile. Bien sûr que c'est dangereux, nous sommes en plein centre-ville un début d'après-midi. Bien sûr qu'il y a de l'inconscience. Mais bien sûr que je sais ce que je fais - je l'ai tellement fait à New York, dans des rues plus bondées encore. Mais New York, je connais. Par coeur. Ici, je découvre. Chaque jour. Je passe un feu rouge et manque à deux doigts de me faire percuter. Cette adrénaline ! Bordel, ce palpitant ! Tout ce que j'aime. Il a freiné, et il a abandonné. Je souris, toute fière. Prête à l'attendre au prochain feu - histoire de récupérer mes 50 dollars, ouais j'y crois un peu. Et bien sûr que mon sourire s'évanouit. Bien sûr que mon palpitant cogne plus fort. Bien sûr que ma fierté laisse place à la frustration. C'est le shérif qui se trouve face à ma voiture. Face à moi. Je ne le connais pas, mais le chapeau, et l'insigne que je vois étinceler sur son uniforme ne trompent pas. Je tente un sourire, le genre auquel on ne peut rien refuser - n'est-ce pas ? Un petit coucou aussi, le genre innocent. Mais quelque chose me dit que ça ne fonctionnera pas cette fois. Un klaxonne, et un sourire de l'autre c*nn*rd qui passe à côté, et je jurerai que de la fumée sort de mes narines !

" Bonjour, Mr le Shérif. C'est une belle journée, vous ne trouvez pas ? " Sur un malentendu, il n'aura peut-être rien vu.



avec @oisín baxter





I wanted everything I never had, like the love that comes with life
I wore Ambien and I hated it, but I survived. I had wanted to go
to a place where all the demons go, where the wind don't change,
and nothing in the ground can ever grow, no hope, just lies,
and you're taught to cry in your pillow, but I'll survive.
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Dim 21 Avr 2024 - 5:45


Oisín Baxter
Oisín Baxter

p e a c e o f m i n d

le clair
Surnom : Osh, surnom réservé aux proches, à la famille. Bax, y'en a pas vraiment, sans doute trop vieux pour ces conneries.
Age : 54 ans, né en début d'année, enfant de Janvier.
Adresse : Assez confortable petite maison à White Oak, anciennement animée de la vive voix d'une famille unie aujourd'hui dans le silence d'un couple qui ne se voit presque plus, qui fait chambre à part.
Labeur : Shérif en ville depuis tellement d'années que ce n'est plus compté.
Coeur : Marié mais encore pour combien de temps ?
Berceau : Clifton, ville qui a eu le premier soupir, qui aura le dernier regard.
Pseudo : Eclipse
Pronom : Il/Iel • They/Them
Fc : Matthew Lillard
Crédits : Nell <3

Multicompte : theodore (s. arlaud)

Préférences rp : Je m'adapte à ma.on partenaire !
Je fais entre 500 et 800 mots environs, généralement, mes dialogues sont en français ( mais je n'ai aucun soucis pour l'anglais ! )
Venez comme vous êtes !

l'obscur

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courses | excès de vitesse | garde à vue | vulgarité



smokey and the bandit
- atmosphere -

C’était pourtant une bonne journée. C’est quoi une bonne journée à Clifton ? Va pas croire que ça va être tranquille, Osh’, tu sais que ça va forcément être la merde à un moment ou un autre. Le petit déjeuner s’est bien passé. Il a eu des nouvelles de son enfant devenu un adulte de presque trente ans. Tu sais, comme Saracen. Le même âge. Long soupir. La matinée tranquille. Bien trop tranquille. Trop calme. Et il le sait, le Shérif Baxter, que lorsque c’est bien trop calme, c’est qu’il y a une connerie qui se prépare quelque part. Cela relève de l’habitude à ce stade. Bien triste l’habitude mon lapin. Le regard clair venant se perdre sur le fond de la tasse. Combien de café est-ce que le corps a déjà encaissé. Bonne question. Il a perdu le compte, le cinquantenaire. Tasse joyeusement estampillé d’un commentaire, not the worst dad. Pas le pire père. Celle offerte par le fruit des entrailles. C’est clair. Pas le pire. Pas le meilleur non plus. Mais il fait de son mieux. Un silence dans la station. Jamais de bon augure, le silence. Surtout dans un lieu de franche mais fausse camaraderie. C’est le silence qui attire de prime abord l’attention. Tasse laissée sur le bord du bureau. Tout juste assez pour se souvenir de se resservir, pas assez pour qu’elle tombe et se brise. Ce serait con de péter l’un des seuls cadeaux qui te reste d’ton chiard. Mains dans les poches, la curiosité pousse à sortir, d’abord le regard puis le reste du corps. "Qu’est-ce qui s’passe encore ?" Il retient le bande de zgegs. Parce qu’il reste poli, du mieux qu’il le peut, avec ses hommes. Ce serait d’autant plus con de se mettre ses agents à dos, même s’il sait, même s’il se doute que la moitié - histoire d’être un peu objectif - est pourri. Il ne faut pas se faire de fausses idées. Y’a des regards qui ne trompent pas. Il y a aussi des regards de merlan fris. Les plus récents, les bleus, les petits nouveaux qui ne comprennent pas vraiment ce qui se passe. Ah. La jeunesse. C’est beau, l'insouciance de la jeunesse. Pas de réponse. Invité à aller voir par lui-même. Comme quoi, on est jamais mieux servi que par soi-même. Découverte de l’air extérieur, du vrombissement du moteur de deux caisses qui passent à une vitesse défiant toute loi de la décence - et surtout le putain de code de la route. Enfin deux caisses. Oisín n’en voit qu’une seule passée. Une Camaro un peu trop belle pour ce genre de courses stupidement dangereuse. Une chance, pour lui, pas pour la demoiselle au volant, elle décide de s’arrêter sagement au prochain feu. Le grisonnant se demande, le temps d’une fraction de seconde, si elle a eu un éclat de conscience ou si c’est la fin de sa course - ou bien si, à tout hasard, elle ne serait pas à court de carburant. C’est que ça consomme une bagnole pareille. Il n’a même pas pris la peine de relever la vitesse, c’est flagrant. Le regard en arrière, personne qui ne bouge son gros fiak de sa chaise. Evidemment. Lui, il est sorti de son bureau, forcément, on laisse le vieillard encore en service aller réprimander les petits jeunes. Un long soupir s’échappe de ses lèvres alors qu’il enfile le chapeau sur le sommet de son crâne avant de sortir de la station afin de venir à la rencontre de la Camaro en infraction.

Démarche lente, elle s’est prise un élan de conscience, sans doute. Arrêtée au feu, la démarche toute aussi lente. L’air sévère au visage - allez savoir s’il est réel ou faussement sévère, le vieux en âge d’être grand-père - il prend la liberté de se poster devant la voiture. Histoire de bloquer définitivement cette belle Camaro qui n’est pas faite pour ce genre de sévices. Et au volant ? Une petite gamine. Une enfant qui doit avoir, à vu de nez, la vingtaine. Pas plus. Une enfant encore toute jeune qui s’amuse à faire de la merde. Mais quel jeune ici, Osh’, ne s’amuse pas à faire de la merde sur son temps libre. T’es à Clifton, pas à Disneyland. Jeune demoiselle qui tente un signe de la main, qui tente un sourire tendre. Et ça marche. Presque. Tu te laisses avoir ? Non. Plus fourbe que ça, lui aussi il a eu 20 ans, malgré le fait qu’il occupe une place importante dans l’ordre, il en a fait, lui aussi, des conneries. Il sait juste qu’hurler - à l’image de son prédécesseur - cela ne sert à rien. Surtout sur les gosses. Il approche, le klaxon pourrait presque le faire sursauter. Un regard, voiture qui passe. Pourquoi cette situation pue ? Parce que c’est le cas mon chou. Elle engage la conversation de sa petite voix, de son petit sourire. Sur un malentendu, sa conversation sur le beau temps pourra peut-être passer. "Si je demande si vous savez à combien vous étiez vous allez me répondre seule, n’est-ce pas mademoiselle ?" Un petit trait d’humour, histoire de faire passer la pilule dure à avaler que non, son petit sourire, son petit signe gentil de la main, cela ne passe pas, encore moins la tentative de le lancer sur un sujet complètement trivial.


Ft. @adelina foster


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Sam 27 Avr 2024 - 21:50


Adelina Foster
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Labeur : Bien qu'elle soit une touche-à-tout, elle a trouvé un job au Wild Coyote Saloon en tant que... Coyote.
Coeur : Il hurle d'être aimé plus que tout, mais se barricade continuellement.
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Ce n'est pas comme si je n'avais JAMAIS été arrêtée dans le passé. Quand on baigne dans des activités douteuses, faut bien accepter les risques encourus. Et s'attendre à devenir pote avec certains hommes et femmes en uniformes. Ou pas. Quoiqu'il en soit, j'ai déjà été arrêtée. J'ai déjà été interrogée. J'ai déjà payé des amendes - bon, d'accord, maman a déjà payé mes amendes. Kristin a déjà payé mes amendes. Et Jayson et Clara ont déjà payé mes amendes. Et j'ai déjà dormi dans une cellule glauque. Et non, je ne suis pas particulièrement fière de ces souvenirs. Et non, ce ne sont pas des souvenirs que je chéris non plus. Je me gifle intérieurement. Quelle idiote de m'être oubliée de la sorte. Quelle erreur de débutante, Adelina Foster. Munoz. Me donner en spectacle en plein jour. Laisser ma fierté prendre le contrôle pour clouer le bec à un homme... qui n'en vaut clairement pas la peine. Ouais, ma grande, tu l'as bien mérité cette confrontation - reconnait la partie raisonnable de moi-même. La partie moins raisonnable me tape la tête contre le capot de ma Camaro. Je garde mon sourire, encore pleine d'espoir que ce soit un malentendu, observant le Shérif de Clifton - dont j'ai tellement entendu parler - se rapprocher dangereusement de moi. Non, ce n'est définitivement pas le voisin qui l'intéresse, puisque je suis la seule au feu. Comme par hasard !

"Si je demande si vous savez à combien vous étiez vous allez me répondre seule, n’est-ce pas mademoiselle ?" Oh bah merde alors, elle est bonne celle-ci ! Je ne l'avais encore jamais sortie, mais je la note dans un coin de ma tête. Merci pour la répartie, Mr le Shérif ! " Hum... je n'oserais pas mentir, Mr le Shérif... " je réponds, les joues roses, offrant mon regard le plus chaleureux. " Si j'vous dit que j'suis en retard pour mon travail, et que je ne regardais pas le compteur... j'suppose que y a pas moyen que vous avaliez ça ? " Surtout quand l'autre trou duc est passé, a klaxonné, a envoyé un baiser tout fier, et a déguerpi avant d'être sans doute lui-même retenu par l'homme de loi. " Ok, ok... " je capitule car je vois bien dans son regard qu'il en a vu d'autres - qu'il a même vu pire ! Je soupire avant de me déporter et me garer à la place qu'il m'indique à côté du commissariat - que je n'avais pas remarqué, idiote que je suis. " Cela dit, c'est vraiment VRAI, je vais être en retard à mon travail, " je tente encore de l'attendrir, de toucher une corde sensible - celle de l'éthique professionnelle. On m'a appris que, dans la vie si on voulait quelque chose TRES FORT, fallait jamais lâcher et tenter le tout pour le tout. J'obéis et je m'applique, tout simplement. Mais je pince les lèvres, prends mes affaires et sors de mon bijou qui m'a fait faire encore une connerie. Parce que j'y vais droit à la cellule glauque. Et je suis sûre que les cellules de Clifton sont encore plus glauques qu'à New York. Quoique... ça se trouve elles sont plus clean et plus accueillantes ? LOL.

" Vraiment, Mr le Shérif, je sais que ça a l'air grave comme ça, mais... je peux vous assurer, JE SAIS conduire comme personne. Je suis un véritable escargot la plupart du temps, " que je mens éhontément. En partie. Je suis EXCELLENTE au volant. Mais je ne suis jamais un escargot. Je sens les regards de ses collègues - ou employés ? - sur moi, et j'en rougis encore plus. Je déteste - DETESTE - être le centre de l'attention. Quand je tourne la tête pour les surprendre, les leurs se détournent de manière si PEU subtile que j'en rigolerais volontiers. " Est-ce que je peux prévenir ma boss que je vais être en retard ? " je demande d'une petite voix. Je n'en mène pas large, contrairement à ce que je voudrais faire croire.



avec @oisín baxter


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Jeu 2 Mai 2024 - 0:01


Oisín Baxter
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Sa petite boutade prend sans prendre. Elle fait sourire la demoiselle qui comprend bien que le regard de biche ne prendra pas. Elle n’oserait pas mentir. Mais on sait tous les deux qu’elle va le faire quand même. Si elle dit qu’elle est en retard pour le travail. Il peut concevoir. Il a déjà été en retard lui aussi, il a déjà - et ce n’est clairement pas à répéter - grillé quelques vitesses pour cette raison. Oisín peut totalement comprendre mais non, cela ne passera pas. Surtout avec l’excuse qu’elle n’a pas regardé son compteur. Aucune chance qu’il avale ce mensonge, surtout après le coup de klaxon de l’autre abruti. Il ne lui a pas laissé le temps, sinon oui, les deux seraient déjà assis dans son bureau à se chopper l’amande de leur vie pour excès de vitesse. Il lui fait signe, d’un geste lent et presque trop doux, de se déporter sur le côté, de profiter de l’une des places de parking pour qu’elle s’y pose. Place de parking juste devant le comico. Elle a mal choisi son feu pour s’arrêter la pauvre petite. Cela dit, elle va vraiment être en retard. Une part du cinquantenaire en a, si l’on peut le dire ainsi, un peu rien à péter. Elle assume les conséquences de ses actes. Mais la part humaine, celle de l’homme - et même du père - s’en veut un peu de mettre autant la jeune femme en retard. Mains dans les poches, cet air toujours aussi détendu - c’est de l’ordre de la route les excès de vitesse à Clifton, faut dire qu’il n’y a pas grand monde sur la route dans cette petite ville. Il attend, le Shérif Baxter, qu’elle descende de son véhicule avant de lui faire un nouveau signe, celui d’entrer. Dans la salle principale, les zgegs qui lui servent de collègues et subalternes commencent à ricaner pendant que la demoiselle explique qu’elle est, en temps normal, un véritable escargot. Il en doute fortement mais la laisse s’expliquer. Tu devrais peut-être intervenir. Et il intervient juste après le regard meurtrier de la demoiselle. Le sien, de regard, n'est pas plus avenant. Ce qui renforce le mouvement de celui des autres officiers. "Venez par là mademoiselle, on sera un peu plus au calme." Loin des trous du cul qui se croient tout permit parce qu’elle est une gonzesse et qu’elle est jeune. "Eh patron z’êtes marié !" Un nouveau regard noir, un sourire crispé, un signe de la main. Il a comprit et s’en mord déjà les couilles de sa remarque. Il sait que le Shérif ne va pas laisser cette remarque passer. Car elle est dégradante, tant pour lui que pour la demoiselle que pour sa femme, même si le divorce n’est pas très loin.

Qu’elle excuse les bonobos qui servent de subalternes. "Faites donc, c’est la moindre des choses. Si jamais elle demande, votre patronne, vous pouvez toujours lui dire que c’est de ma faute." Lance-t-il en connaissant quelque peu la patronne pour avoir déjà vu la petite bouille de la demoiselle traîner derrière le bar du Coyote. Il vaut mieux qu’elle prévienne Miller qu’elle ne sera pas à l’heure. "Installez vous et … Sortez vos papiers s’il vous plaît. Cela ne me fait pas plus plaisir qu’à vous." Et ce n’est pas pour jouer un numéro de conciliant. C’est la vérité. Les jeunes personnes, il a du mal. Oisín doit faire son travail. Il essaie de le faire de manière plus douce que son prédécesseur. "Un café miss … Foster ?" propose-t-il en posant son regard sur les papiers qu’elle a sorti.


Ft. @adelina foster


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Ven 3 Mai 2024 - 15:40


Adelina Foster
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Au moins, je n'ai pas affaire à un gros salopard de Shérif. C'est rassurant, que j'ai le temps de me dire quand il propose d'aller dans SON bureau au lieu de rester à découvert, à la mercie de ceux et celles qui l'observent d'un oeil curieux - et de ceux surtout qui osent lancer des boutades quelque peu graveleuses. J'ai déjà entendu pire, qu'on se le dise, mais ça n'empêche pas que ça soit TOUJOURS désagréable. J'adresse un léger sourire à celui qui va me mettre une amende - voire même me retirer mon permis ?! Oh merde. Ou pire ! Garder ma voiture prisonnière. Non, non, non. N'y pense pas. Mon sourire se fâne malgré tout. Si je perds ma voiture pour cette connerie, pour si PEU, je crois que je me flingue. Et je ne plaisante même pas. Ou alors, je pars à la recherche de ce sale type qui m'a fait perdre mon sang froid, je le flingue, et je me flingue après. Excessive ? Apparemment.

En attendant, je tente le tout pour le tout. Je joue de mon charme, que je sais parfois ravageur. Et parfois inutile. Aujourd'hui, il me sera inutile de toute évidence - même si c'est un Shérif qui semble plutôt agréable. Je me résigne à subir l'interrogatoire. Je me résigne aux conséquences de mes stupides actes. Et j'ai encore la présence d'esprit de penser à mon retard, à mon travail, à Robyn. Histoire d'être polie, et surtout qu'elle ne s'inquiète pas pour moi. Elle a tendance à être une vraie mère poule pour nous toutes. Quoique je me demande si elle le sera toujours en apprenant où je suis, et surtout pourquoi j'y suis. "Faites donc, c’est la moindre des choses." Je pince les lèvres dans une tentative de sourire qui n'aboutit tout de même pas. C'est ce qui arrive quand on a un peu les boules d'avoir été chopée en flagrant délit. Puis, je prends mon téléphone que l'on ne m'a pas encore réclamé, et j'envoie un SMS à Robyn. "Si jamais elle demande, votre patronne, vous pouvez toujours lui dire que c’est de ma faute." Je ricane un peu, pas contre lui mais contre la situation. Non, ce n'est pas sa faute. Mais bien la MIENNE. C'est moi comme une grande qui ai pris le volant. Moi comme une grande qui ai proposé une course en plein centre ville. Moi comme une grande qui ai pris la mouche face à un abruti. Et moi comme une grande qui me suis faite surprendre par la police. J'ai toujours assumé mes actes - bons et/ou mauvais. Je ne vais pas commencer à changer maintenant. Quand bien même, ça me fait royalement chier. " Merci, mais je déteste VRAIMENT mentir, " oui, même si vous me forcez à mentir pour sauver ma peau, Mr le Shérif. Je déteste vraiment ça. Car je déteste que l'on me mente, à MOI. " Puis, de toute façon, on se retrouve rarement au poste de police pour le fun, " sauf si on y bosse sans doute. Et encore, avec ce que j'ai vu je me demande si on s'éclate vraiment ici, ou si l'on a plutôt envie d'éclater des gens justement. "Installez vous et … Sortez vos papiers s’il vous plaît." Et j'obéis, bien sûr. Parce que je suis une gentille fille. Parce que je suis une bonne citoyenne. Parce que je suis irréprochable. Parce que je suis coincée, oui, surtout. Je lui tends donc mes papiers - en règle heureusement. Et je m'assois, soumise comme je déteste l'être. Je ne suis sans doute pas dans une cellule, mais j'ai le sentiment d'étouffer. "Un café miss … Foster ?" Un sourire - je n'ai pas encore perdu espoir qu'il parvienne à l'amadouer, à le charmer et à jouer en ma faveur. Qui ne tente rien n'a rien, n'est-ce pas ? " Non, merci, c'est gentil. Shérif Baxter, " j'ajoute en pointant du doigt son nom inscrit sur son bureau. " Ca fait longtemps que vous êtes le Shérif ? " je demande l'air de rien. Si je détourne la conversation sur lui, peut-être qu'on oubliera d'orienter la conversation sur moi. " Je ne suis pas du coin, " j'ajoute comme pour justifier le fait que je n'ai pas la réponse à ma question. Je croise mes mains sur mes genoux, mal à l'aise. " Vous allez me confisquer ma voiture ? " j'achève dans un souffle, ne pouvant m'empêcher de poser cette question fatidique qui me tord les boyaux.

C'est qu'il a mon destin entre ses mains, Mr le Shérif.



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Jeu 9 Mai 2024 - 18:24


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Surnom : Osh, surnom réservé aux proches, à la famille. Bax, y'en a pas vraiment, sans doute trop vieux pour ces conneries.
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Adresse : Assez confortable petite maison à White Oak, anciennement animée de la vive voix d'une famille unie aujourd'hui dans le silence d'un couple qui ne se voit presque plus, qui fait chambre à part.
Labeur : Shérif en ville depuis tellement d'années que ce n'est plus compté.
Coeur : Marié mais encore pour combien de temps ?
Berceau : Clifton, ville qui a eu le premier soupir, qui aura le dernier regard.
Pseudo : Eclipse
Pronom : Il/Iel • They/Them
Fc : Matthew Lillard
Crédits : Nell <3

Multicompte : theodore (s. arlaud)

Préférences rp : Je m'adapte à ma.on partenaire !
Je fais entre 500 et 800 mots environs, généralement, mes dialogues sont en français ( mais je n'ai aucun soucis pour l'anglais ! )
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Elle le remercie même si elle ne supporte pas mentir. Il arque un sourcil à cette annonce. Il s’amuse encore. Il faut dire que le Shérif Baxter, un rien peut l’amuser. Il est ce genre de type bon - trop bon - public. Et de toute façon, ajoute-t-elle, l’on se retrouve rarement au poste de police pour le fun. Le cinquantenaire se permet d’hocher la tête à ses dires. Elle s’installe, elle s'assoit, pauvresse toute crispée qu’elle est. L’homme de loi lui propose un café, elle refuse avec politesse. Une politesse qui amuse d’autant plus le shérif. Baxter se permet de s'asseoir en face d’elle, à sa place. Celle du chef de ce bureau de tanches. Elle pose une question qui fait arquer le second sourcil. Cela fait longtemps qu’il est shérif ? Il ne dit rien, de prime abord, réfléchissant au potentiel piège de la question, à la potentielle entourloupe de la demoiselle en face de lui. C’est qu’elle n’est pas du coin. Détends toi, crétin. Tasse à café qu’il se remplit pour lui. Tasse entre les mains, le café fumant venant élever sa volute de fumée sous ses lunettes d’un autre temps. "Des années oui, un peu plus de vingt ans." Un peu plus de vingt ans qu’il est Shérif, qu’il est élu tous les quatre ans, que Clifton lui fait aveuglément - ou presque - confiance. Et sa question tord boyaux. Elle ose enfin poser cette question qui lui cours l’encéphale depuis qu’elle est entrée dans ce foutu bureau. "Permettez que je vérifie quelques informations avant de vous confisquer quoi que ce soit ?" Ce n’est clairement pas son doux sourire charmeur qui va faire quoi que ce soit. Au mieux, elle va lui rappeler qu’il a eu son âge, qu’il en a fait, lui aussi, des conneries, qu’il n’est pas un agneau tout blanc. Au pire, elle va lui rappeler qu’il a un enfant, d'approximativement son âge. Que son enfant fait aussi des conneries. Le regard jeté sur l’ordinateur, pour regarder ce qu’ils ont déjà sur la demoiselle Foster. Pas grand chose. Faut dire qu’aux yeux des fichiers, c’est sa première grosse infraction. Où alors, la première fois qu’elle se fait attraper. "Vous avez bu avant de faire … la course ?" Question de routine qui le fait bien marrer, intérieurement. Il voit bien qu’elle est sobre, c’est simplement la procédure. "Il va falloir que vous me confirmiez votre identité, votre date et lieu de naissance, la date d’obtention de votre permis de conduire." Osh’ à déjà l’ensemble de ces informations sous les yeux, c’est la simple procédure. Les papiers entre les mains, il vérifie la véracité des dires de la jeune femme.

Prenant des notes, miss Foster se retrouve désormais fichée, dans la base de données. Un geste rapide pour remonter les lunettes. "Je ne vais pas mentir … Adelina, le flagrant délit, ce n’est pas bon pour vous." Tellement mauvais pour elle qu’elle va sans doute se retrouver sans son véhicule, sans ses papiers, suspension de permis peut-être ? Il est seul juge de la sanction à appliquer à la demoiselle. Soit pas une bite, prend en compte que c’est sa première infraction dans son casier. Facile à dire. Cœur de Shérif qui veut en faire un exemple. Coeur d’homme, de père, qui veut qu’elle soit le moins dans la merde possible tout en apprenant de ses erreurs. "J’ai plusieurs options. Je ne vais pas mentir, je ne laisserais pas le choix quant à la décision finale, cela dit, j’aimerais en discuter avec vous." Parce qu’il a décidé d’user de la manière douce. D’user de cette conscience humaine. Il a décidé, le grisonnant, de jouer la carte du paternel plus que celle de l’homme de loi sans aucune once d’humanité. "Un. Suspension du permis. Deux. Véhicule en fourrière. Trois. Amende pécuniaire. Quatre. Garde à vue pour prendre conscience du danger de votre acte." Il sait d’avance que l’amende, elle n’y échappera pas.


Ft. @adelina foster





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Ven 10 Mai 2024 - 20:39


Adelina Foster
Adelina Foster

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le clair
Surnom : Ad' • Adi • Lina • Queen of the Wind
Age : 25 ans, née un soir de novembre.
Adresse : Généreusement logée chez Sierra - le temps de trouver son chez elle, ou de rentrer à New York.
Labeur : Bien qu'elle soit une touche-à-tout, elle a trouvé un job au Wild Coyote Saloon en tant que... Coyote.
Coeur : Il hurle d'être aimé plus que tout, mais se barricade continuellement.
Berceau : Pour Lina, l'Amérique est son foyer, mais le mystère de ses origines mexicaines  a toujours plané comme une ombre sur son existence. Débarquée de New York, elle s'adapte à Clifton depuis quelques semaines maintenant.
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Pseudo : shadows.
Pronom : elle.
Fc : Jenna Ortega.
Crédits : myself.

Multicompte : Andrea Bird - le pompier.

Préférences rp : - 15 lignes minimum, donner matière à répondre.
- dialogue en gras
- RP en "je" ou "il/elle"
- RP en français, avec expressions en espagnol et/ou en anglais

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courses. excès de vitesse. garde-à-vue.



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S'il répond à ma question, d'une voix plutôt calme et douce, je perçois dans son regard que ça ne suffira pas pour échapper à ce qui m'attend. Assumer mes responsabilités. Aussi je soupirais, et attendais la suite. La sentence. La punition. La fatalité. "Permettez que je vérifie quelques informations avant de vous confisquer quoi que ce soit ?" Bien sûr. Faites, Mr le Shérif. Je hoche la tête, silencieuse, mais obéissante. Je n'étais pas une criminelle. Pas comme on l'entendait, en tout cas. Je n'étais pas une mauvaise personne. Je n'étais pas une vilaine fille. Non. J'étais ADORABLE. J'étais GENTILLE. J'étais même TROP gentille, m'avait-on dit si souvent. Les seuls moments où j'enfreignais les règles étaient lorsque je participais aux courses. En ça, j'étais apparemment une criminelle. Mais je n'allais pas parler de ça ici. Il pouvait avoir mon nom, mn âge, mon adresse, mon permis, mes papiers... Il ne connaitrait pas cette partie de ma vie, car il n'avait pas besoin de la connaître. N'est-ce pas ? "Vous avez bu avant de faire … la course ?" Je fais non de la tête, mais il ne détourne pas le regard. Je comprends qu'il a besoin que je parle, que mes gestes ne suffiront pas. " Non, je n'ai pas bu. Je ne bois jamais, " sauf quand Sierra m'embarque en soirée improvisée. Mais ça non plus, il n'a pas besoin de le savoir et je n'ai pas besoin d'en parler. Je me fouette intérieurement et me maudis d'être SI bavarde quand je suis nerveuse. Non, d'être SI bavarde tout court. "Il va falloir que vous me confirmiez votre identité, votre date et lieu de naissance, la date d’obtention de votre permis de conduire." Je me gratte la tête, me pince les lèvres, je secoue mes jambes dans des gestes maladroits - signes d'un stress grandissant. Zen, Lina. T'as déjà été en garde-à-vue. T'as déjà dû répondre à des questions de routine. C'est pas ta première fois. Et ce ne sera sans doute pas ta dernière fois non plus. Alors, respire, relax et réponds calmement. " Ok. Hum... je m'appelle Adelina Foster. J'ai toujours cru que j'étais née à New York puisque j'y ai grandi et y ai tout mes repères, mais il se trouve que je suis née ici, à Clifton. Le 10 novembre 1998. Et j'ai eu mon permis le 10 novembre 2014, " je lui raconte comme si je racontais une histoire banale. Mieux vaut faire simple, pas vrai ? Peut-être que d'être une native de Clifton jouera en ma faveur, allez savoir. Il n'a pas besoin de savoir que, si j'ai eu mon permis à l'âge de 16 ans, je conduisais déjà bien avant. Même si y a prescription, ça pourrait retomber sur Rick et ma mère, ou même Kristin.

"Je ne vais pas mentir … Adelina," qu'il me dit, et mon prénom sonne comme une fatale sentence dans sa bouche, quand dans certaines il sonne comme un poème. "Le flagrant délit, ce n’est pas bon pour vous." Oui, je m'en doute bien, Mr le Shérif. Ca va faire mal. Ca va me forcer à participer à quelques courses, histoire de remplir le porte-monnaie. Ca va peut-être même me forcer à le supplier, s'il veut me retirer ma voiture et le permis. Pitoyable et pathétique, mais à cet instant je m'en foutais royalement. "J’ai plusieurs options." Je croise mes mains sur mes cuisses, et tente de calmer mes nerfs. Mes jambes s'immobilisent enfin, et je lui fais signe que j'écoute attentivement.

"Un. Suspension du permis." J'ai envie de me ronger les ongles jusqu'au sang.

"Deux. Véhicule en fourrière." J'ai envie de m'arracher les yeux et les cheveux.

"Trois. Amende pécuniaire." C'est LA seule option digne de ce nom.

"Quatre. Garde à vue pour prendre conscience du danger de votre acte." Je m'en sortirais plutôt pas trop mal.

" Donc, j'ai le choix entre ces quatre options... ? " je demande tout de même pour être sûre qu'on soit d'accord. Pas les quatre d'un coup, pas plusieurs options à la fois, je pouvais décider de ma sentence ? Etait-ce trop facile ? Mais c'était si tentant. Mais c'était TROP facile, bien que SI tentant. " Où est le piège... ? " je ne peux m'empêcher de demander, quand d'autres auraient déjà choisi leur punition. " Je suppose que si je choisis de payer l'amende, faut que je la paie cash ? Et si je choisis la garde-à-vue, je manquerai le boulot, et en plus j'aurais un casier judiciaire... " je me mets à réfléchir à voix haute. Cela dit, j'avais déjà un casier judiciaire. Une tâche de plus ou de moins dedans... Je pourrais aussi appeler Rafael. Peut-être qu'il aurait l'argent pour payer l'amende. Peut-être que je pourrais le rembourser plus tard. Ca faisait beaucoup de peut-être, et pas beaucoup d'assurance, mais... avais-je le choix ?

" J'ai le droit à un coup de fil ? "




avec @oisín baxter


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I wanted everything I never had, like the love that comes with life
I wore Ambien and I hated it, but I survived. I had wanted to go
to a place where all the demons go, where the wind don't change,
and nothing in the ground can ever grow, no hope, just lies,
and you're taught to cry in your pillow, but I'll survive.
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Ven 24 Mai 2024 - 19:55


Oisín Baxter
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Shérif tentant de faire de son mieux pour qu’elle ne subisse pas trop de conséquences à la vue de son casier vierge. Casier vide qui ne le sera plus. Parce qu’il reste intègre, le bougre. Il énonce, le grisonnant, les diverses options qui s’offrent à eux, en précisant évidemment qu’elle n’aura pas le choix, cela dit, il n’est pas fermé à la possibilité d’en discuter avec elle, d’adapter cette sanction. Sans doute ce qui a plus dans sa manière de faire, au père ayant des allures de grand-père. Adelaina demande, avec ce regard toujours aussi juvénile posé sur lui. Elle demande si elle a le choix entre les quatres options. Il faut dire que cela le fait sourire, derrière sa tasse à café. Non. Elle n’aura pas le choix, et il peut très bien monter à plusieurs sanctions en même temps. Mais il ne le fera pas. Pas cette fois, pas pour une première. D’autant plus qu’elle ne cherche pas à lui mentir, qu’elle ne cherche pas à lui cacher son acte. "Ce ne sera pas aussi simple. Vous n’avez pas le choix, cela dit, je ne suis pas fermé à la discussion ou à quelques arguments qui pourraient me faire pencher sur telle ou telle sanction." Il essaie de faire au mieux. Tasse à café vidée, presque d’une traite, sans nul doute une très mauvaise et très vieille habitude chez l’aîné Baxter. Où est le piège. Il hoche négativement la tête. "Aucun piège, j’essaie de faire au mieux pour vous tout en faisant respecter la loi miss Foster." Sans doute ce qui finira par le perdre un de ces jours. Trop bon, trop con. Il connaît bien l’adage. Elle suppose que l’amende se paie cash et que la garde-à-vue lui offrira un casier et une bonne excuse pour ne pas aller au travail. Il voit bien que les deux options les plus contraignantes ne sont clairement pas ses favorites et au fond, il ne les aurait pas choisies lui-même s’il avait été à sa place. Soyons honnête, qui serait assez fou, voire assez con, pour choisir la suspension de permis pour la saisie de la voiture. Un abrutis. Ni plus, ni moins. "L’amende se paie de la manière qui vous arrange, cash ou carte. On ne va pas faire la fine bouche là-dessus. Et pour le casier, j’suis désolé de vous annoncer que vous en avez déjà un, sans la garde-à-vue, du fait du flagrant délit." C’est sans doute l’annonce qui doit faire le plus mal au cul dans cette histoire. Elle voudrait appeler quelqu’un. Cela fait partie de ses droits. D’autant plus que, couillon de la lune que tu es, tête d’ail, tu ne lui a pas lu ses droits, si elle savait, elle pourrait faire sauter tout ça pour vice de procédure. "Bien sûr." Petit sourire en coin, ce petit sourire teinté, malgré tout, de bienveillance. Ce n’est qu’une gamine. Il pousse le téléphone présent sur son propre bureau, qu’elle ne se gène pas de passer l’appel directement dans le bureau. Petite assurance qu’elle ne se barre pas ? Ouais hein, t’es pas si débile que ça.

Il fait de son mieux, toujours de son mieux, parfois à en faire des conneries, à s’en oublier. Osh’ prend d’ailleurs la liberté de se redresser, comme pour lui indiquer qu’il lui laisse une zone d’intimité. Il s’éloigne du bureau sans pour autant la quitter des yeux, gardant un œil sur elle, de loin. Il lui offre la sensation de pouvoir parler librement. Appel non enregistré, sans doute une belle connerie encore. Présence loin de la demoiselle bien qu’assez proche.


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Sam 1 Juin 2024 - 18:28


Adelina Foster
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Surnom : Ad' • Adi • Lina • Queen of the Wind
Age : 25 ans, née un soir de novembre.
Adresse : Généreusement logée chez Sierra - le temps de trouver son chez elle, ou de rentrer à New York.
Labeur : Bien qu'elle soit une touche-à-tout, elle a trouvé un job au Wild Coyote Saloon en tant que... Coyote.
Coeur : Il hurle d'être aimé plus que tout, mais se barricade continuellement.
Berceau : Pour Lina, l'Amérique est son foyer, mais le mystère de ses origines mexicaines  a toujours plané comme une ombre sur son existence. Débarquée de New York, elle s'adapte à Clifton depuis quelques semaines maintenant.
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Evidemment que ça ne sera pas aussi simple. Evidemment que je ne peux pas choisir ma sanction. Evidemment que je ne peux pas y échapper. Même si cela m'arrangerait fortement, on ne va pas se mentir. Je plaignais tous mes potes, et même mes ennemis, lorsqu'ils se faisaient prendre la main dans le sac. Parfois, j'en riais même. Je rigole moins maintenant, c'est certain. Il n'est pas fermé à la discussion, dit-il. Il est prêt à écouter mes arguments, dit-il. Il m'offre l'occasion de me justifier, de me sortir de ce pétrin du mieux que je le peux compte-tenu des circonstances. C'est bien plus que ce que je mériterais sans doute. Et bien plus que n'importe lequel de ses confrères seraient prêts à accorder. Je dois lui reconnaître sa gentillesse. " Je... Merci, j'veux dire j'crois bien que vous m'faites une grande faveur, " et je ne voudrais pas qu'il s'imagine que je l'ignore, ou pire que je m'en tape royalement. " J'ai besoin de ma voiture pour aller travailler... " je commence à argumenter posément mais pas si assurément que je le voudrais car mine de rien, je suis impressionnée. Je n'évoque pas le fait que ma voiture est mon bien le plus précieux et que je ne peux pas m'en séparer. " Et donc, j'ai besoin de mon permis pour aller travailler, " j'énumène comme s'il avait besoin de faire le lien. Sans voiture je ne vais nullepart, mais sans permis encore moins. " Je peux payer l'amende, et vous pouvez... " je tente d'enchaîner avant de ravaler ma salive. La garde-à-vue, le casier qui se remplit, tout ça me donne des sueurs froides. Je ne suis définitivement pas taillée pour encaisser les coups durs. " Aucun piège, j’essaie de faire au mieux pour vous tout en faisant respecter la loi miss Foster." J'acquiesce comme pour dire que je comprends sa position, et je comprends qu'il ne fait que son job. Ce qu'on attend de lui. Même si ça fait CHIER. Mais plus j'y pense, plus je m'imagine tous les scénarios possibles et inimaginables, plus l'un d'entre eux prend forme et me paralyse presque. TOUT SAUF CA. On ne peut pas se rencontrer comme ça. On ne peut pas se retrouver comme ça. Il est hors de question que JE sois en mauvaise posture. Il est hors de question qu'IL ne soit pas en tort, LUI.

Alors je parle des possibilités de payer l'amende, parce que ça, ça je peux encore gérer. Je ne lui dirais pas comment bien sûr, sinon je finirais pour sûr en cellule - voire même je devrais subir les quatre sanctions sans possibilité de négociation. Mais, c'est dans mes cordes. " L’amende se paie de la manière qui vous arrange, cash ou carte. On ne va pas faire la fine bouche là-dessus." Il pourrait. Mais non. " Et pour le casier, j’suis désolé de vous annoncer que vous en avez déjà un, sans la garde-à-vue, du fait du flagrant délit." Evidemment, ça parait logique. Heureusement, il n'a pas de trace d'un casier antérieur. Sinon, je morflerais sans doute bien plus que ça. Je paierais sans doute bien plus que ça. Alors je soupire, et je demande si j'ai droit à un appel - je sais que oui, j'ai vu suffisamment de séries et de films pour m'en souvenir. Il me le confirme en me rapprochant le téléphone. En se levant. En s'éloignant. Mais en restant à bonne distance. Je ne suis pas en cellule, mais je ne suis pas LIBRE non plus. Que je ne l'oublie pas. J'hésite. Qui appeler ? Sierra ? Elle est absente. Sa mère ? Je la stresserais sans doute encore plus que ma propre mère. Alby ? Il m'a déjà sorti d'une galère sans nom, je n'ai pas envie de prendre le risque de le pointer du doigt par la police. Jay ? Oui, il est sans nul doute mon meilleur choix. Pourtant, les quantités d'alcool que j'ai pu voir chez lui me font hésiter. Ma mère ? Pas la peine d'y songer elle est déjà en hystérie totale de me savoir ici. Sans compter qu'elle est LOIN.

Rafael. Je suis mortifiée, de honte, mais il est le seul que je peux me permettre d'appeler. Il saura se montrer discret si je le lui demande. Il saura me sermonner, mais dans une moindre mesure puisqu'il marche sur des oeufs avec moi. Il saura me pardonner ma bêtise, parce qu'il en a commises des tas - il n'aurait jamais dû me les évoquer. Bref. C'est mon seul choix. Je compose le numéro, que je réalise connaître par coeur. " Hey, Rafiki... " je commence en plaisantant, mais ma voix n'est pas vraiment convaincante - même moi je l'entends. " Quest-ce qui se passe Lina ? " qu'il demande directement, me confirmant que je suis plus que transparente. " Je me doute que tu dois être occupé, mais si tu as cinq minutes, ça serait cool que tu puisses passer. J'ai... j'aurais besoin que tu me donnes un coup de main, " je tente d'éluder et d'enrober la réalité. Ce qui est ridicule, puisque je vais devoir lui dire venir. Il me répond l'éternel "bien sûr, tout ce que tu veux". Si tu savais, Rafiki. " Super, merci ! Je suis au commissariat, avec le Shérif. A tout de suite, " et je raccroche comme la lâche que je suis aujourd'hui. J'affiche un sourire forcé et gêné à Mr le Shérif qui, je suis sûre, n'a rien loupé de mon échange avec mon frère. " Mon frère va passer. Rafael Munoz, si vous le connaissez. J'ai l'impression que tout le monde se connait par ici, " je débite sans faire attention à ce que je dis, ni à qui je le dis. Après tout, mon frère est un homme bien, et un citoyen de Clifton.

Qu'est-ce que je risque à évoquer notre lien familial ?




avec @oisín baxter


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Mer 12 Juin 2024 - 20:52


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Il attend, il est patient le vieux shérif. Osh’ tient tout de même à lui laisser une certaine intimité. Il ne prend même pas la peine de regarder par dessus son épaule pour vérifier qu’elle passe vraiment son coup de fil, l’envie de lui accorder un minimum de confiance, ce n’est clairement pas dans son intérêt, à la demoiselle Foster, que de mentir et de fausser compagnie. elle semble hésiter puis elle décroche. Début de conversation, il n’a qu’un seul côté le vieillard. Il n’entend que les propos de la demoiselle sans vraiment s’en préoccuper. Tasse de café entre les mains, il profite étrangement du mur. Tiens, il y a une nouvelle fissure sur ce mur. Il va vraiment falloir en parler à Murdoch. Il sait, le vieux Baxter, que ce n’est pas lui qui va faire des chichi concernant le poste. Son prédécesseur cependant, il aurait été capable de le regarder et de lui tendre l’adresse du magasin de bricolage le plus proche avec un beau sourire signifiant son plus accrocheur “démerdes toi”. La conversation commence du côté de la demoiselle. Rafiki. Il faut dire que le surnom le fait sourire. Il faut dire que le surnom ramène en enfance, le singe dans le Roi Lion qui présente Simba à la communauté de la savane. Annonce du lieu où venir la chercher. Avec la présence du shérif énoncée. Combiné reposé et le shérif se permet enfin le demi tour sur les talons pour faire face à Foster. Annonce, son frère, Rafael, va passer. Si de prime abord, il ne fait que hocher la tête à l’ensemble de sa phrase, le nom de famille vient faire tiquer. Munoz. Elle a l’impression que tout le monde se connaît par Clifton. Elle n’a pas vraiment tort sans avoir complètement raison. Si les visages ne disent pas grand chose, les noms, en revanche, ils parlent bien plus. Le corps se tend légèrement. Munoz, ce n’est pas un nom inconnu au bataillon chez Osh’. Clairement pas. Il revient se poser en face de la brunette, les mains posées sur le bureau. Un long soupir s’échappe discrètement de ses lèvres. "Munoz, ce nom ne m’est effectivement pas inconnu." Il faut dire que Benicio a bien fait parlé de lui et ce, depuis son arrivée. Baxter à toujours gardé un œil sur Munoz qui ne s’est jamais empêché de lui rendre la pareille. Ils ne s’aiment pas, c’est de notoriété publique, de part leurs occupations respectives. Cela dit, il y a toujours eu une forme de respect entre les deux cinquantenaires.

"Je suppose donc par cet appel et cette arrivée de votre frère que vous choisissez à minima la possibilité de l’amende." alors il commence à tapoter, à rédiger le montant de l’amende. Sans récidive - que tu crois mon con - avec un aveu plus où moins formulé. Elle n’a pas cherché à mentir, à se défiler. Flagrant délit cela dit. Grille des peines sous les yeux, il s’arrête à la peine plancher, la première, celle que l’on ne peut pas dépasser par le bas. On ne peut pas faire moins. "Je suggère que l’on attende l’arrivée de Monsieur Munoz ?"


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Sam 15 Juin 2024 - 23:02


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smokey and the bandit
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" Munoz, ce nom ne m’est effectivement pas inconnu. " Clifton est une petite ville. Du moins, comparée à New York. Beaucoup se connaissent. Puis, ne dit-on pas que le monde est petit ? Je ne suis pas si "étonnée" que le Shérif connaisse les Munoz. Je suis étonnée de sentir mon coeur battre plus fort, tellement que je n'entends que lui. Je suis étonnée par cette envie soudaine de poser, à mon tour, toutes les questions qui me passent par la tête. Connaissez-vous Benicio Munoz ? Que pouvez-vous me dire sur Benicio Munoz ? J'veux tout savoir sur Benicio Munoz - le bon, comme le mauvais. NON. Je ne veux rien savoir. Si j'avais voulu avoir des réponses, j'aurais laissé Rafael me parler de notre père. Je lui aurais posé les questions, et il aurait apporté des réponses. Merde, depuis le temps, je devrais déjà tout savoir. Je devrais mieux le connaître que n'importe qui d'autre en ville même. Mais non. Je suis tiraillée. Entre cette envie de LE connaître, et ce besoin de ne RIEN savoir sur l'homme qu'est mon paternel. Mon coeur hurle d'en savoir plus. Ma tête crie à tout le monde de se taire. Les mains liées, les doigts tremblants, cela doit faire plusieurs minutes que j'observe l'homme de loi en silence puisqu'il me regarde d'un air interrogateur. " Désolée... je me demandais... j'essayais juste de savoir si, le fait de connaître ce nom serait un point positif pour moi ou pas, " je choisis d'éluder finalement. Une petite touche d'humour, ça ne fait jamais de mal, n'est-ce pas ? Sauf qu'il ne rigole pas. Ca doit vouloir dire que, NON, ce n'est pas positif. Je pourrais demander ce qu'ont fait les Munoz pour cela, mais je préfère ne rien envenimer. Au lieu de quoi, j'opte pour le silence. Même si je le hais, ce silence. Assourdissant. Interminable. Frustrant. Dérangeant. Intimidant.

" Je suppose donc par cet appel et cette arrivée de votre frère que vous choisissez à minima la possibilité de l’amende. " Je soupire de soulagement lorsqu'il le brise, me sentant oppressée comme je ne l'ai jamais été dans ma vie - et j'ai pourtant été dans de drôles de situations. J'acquiesce vivement, avant de ravaler ma salive et d'offrir l'ombre de sourire. " Oui, en effet. " Ce n'est pas comme si j'avais le choix. Oui, d'accord, si. Il m'a présenté quelques options, mais concrètement, il n'y en a qu'un qui semble préférable. " Je suggère que l’on attende l’arrivée de Monsieur Munoz ? " Vous suggérez bien, Mr le Shérif. Parce que je n'ai pas l'argent SUR MOI. Non pas que je sois sûre que Rafael l'aura lui-même sur lui, je ne peux que l'espérer. Et je le rembourserai dès le weekend à venir. Je déteste avoir une dette envers quelqu'un - même si ce quelqu'un est mon frère. " J'imagine, oui... Vous avez déjà arrêté mon frère ? Enfin, j'veux dire... comment... comment le connaissez-vous ? " je ne peux m'empêcher de demander finalement. Parler de Rafael m'est possible. En apprendre plus sur mon frère, ça ne me dérange pas - surtout si j'apprends des choses que je pourrais utiliser pour l'emmerder. C'est en apprendre plus sur l'autre Munoz qui m'est encore trop compliqué à gérer. Mais ça, je me vois mal le dire au Shérif Baxter - quand bien même il m'apparait plutôt sympathique. Il n'est pas mon psy'.

Quelques minutes plus tard, on frappe à la porte de son bureau, et je me crispe. C'est forcément Rafael qui est arrivé. La porte s'ouvre, mais je n'écoute pas le policier qui s'adresse à son patron. Je tente de calmer mes nerfs, et de faire taire ma honte. " Lina, ça va ? " Je sors de ma semi-transe et mon regard croise le sien. Il n'a pas l'air de me juger à première vue. Et il tourne ostensiblement le dos au Shérif. " J'vais bien... " je le rassure. " J'ai juste... une amende à payer. " Je tourne la tête vers le maître des lieux, réalisant que je ne connais pas le montant de cette amende. J'me doute qu'elle va être corsée. Et j'me doute que la leçon de morale le sera aussi. " Quelle amende ? " demande Rafael en se tournant enfin vers le Shérif. Et je sais, je sais que c'est là où il va lui expliquer la situation et où je vais avoir envie de crever.




avec @oisín baxter


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I wanted everything I never had, like the love that comes with life
I wore Ambien and I hated it, but I survived. I had wanted to go
to a place where all the demons go, where the wind don't change,
and nothing in the ground can ever grow, no hope, just lies,
and you're taught to cry in your pillow, but I'll survive.
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