Surnom : Osh, surnom réservé aux proches, à la famille. Bax, y'en a pas vraiment, sans doute trop vieux pour ces conneries.
Age : 54 ans, né en début d'année, enfant de Janvier.
Adresse : Assez confortable petite maison à White Oak, anciennement animée de la vive voix d'une famille unie aujourd'hui dans le silence d'un couple qui ne se voit presque plus, qui fait chambre à part.
Labeur : Shérif en ville depuis tellement d'années que ce n'est plus compté.
Coeur : Marié mais encore pour combien de temps ?
Berceau : Clifton, ville qui a eu le premier soupir, qui aura le dernier regard.
Préférences rp : Je m'adapte à ma.on partenaire !
Je fais entre 500 et 800 mots environs, généralement, mes dialogues sont en français ( mais je n'ai aucun soucis pour l'anglais ! ) Venez comme vous êtes !
Trouver une excuse. Parce qu’avec le temps, il faut trouver une excuse pour passer en coup de vent et kidnapper la demoiselle qui s’occupe du bar. Avec l’animation causée par la ville en elle-même, le festival aux alentours de la ville et le bar en lui-même; le cinquantenaire peut trouver mille et une raisons pour venir prendre une petite pause de 10 minutes. Mains dans les poches du pantalon, allure un peu plus tranquille. La porte poussée du bout de la main dans un geste lent. Un léger silence retombe. Sa venue n’est jamais bon signe. La venue d’un représentant de l’ordre n’est jamais de bon augure quand bien même cette venue ne soit que pour offrir dix petites minutes de changement d’air après tant d’histoires. C’est que, vous deux, c’est comme beaucoup de choses ici, ça date pas d’hier. Un regard offert à chaque âme que l’aîné Baxter croise. Début de soirée, c’est encore loin d’être le rush, il ne se permettrait pas de venir troubler un service agité. Connard sur les bords oui mais avec une certaine décence tout de même. Approche du bar, commande de deux cafés, un pour lui, un pour la patronne des lieux. Monnaie alignée d’un geste de la main, le sourire presque complice. Il n’est pas là, Osh’, pour emmerder son monde ou pour faire des réprimandes musclées. Non. Au contraire, il est juste là en guise de visiteur, de consommateur. Il ne faut pas croire, cela peut arriver de prendre une pause, de faire un break, de souffler un peu, même pour le Shérif qui se noie dans son boulot, qui se cause à lui seul des insomnies à vouloir régler les problèmes des autres, à vouloir aider au mieux la ville. Alliance lâchée dans la poche contre le poitrail de sa chemise. Il sait que son mariage ne tiendra pas longtemps, il sait que le divorce lui pend au nez, avec son épouse. Ils sont bien plus amis qu’amant depuis des années déjà. "Je pourrais voir miss Miller ?" Avec de la douceur dans la voix. Loin de lui l’envie de jouer les Karen masculines. Tu lui veux quoi ? Pas grand-chose si ce n’est lui offrir cette clope qu’il lui doit depuis bientôt plus d’une semaine. Il attend avec patience que l’on veuille bien venir déranger Robyn pour lui annoncer que son rencard, pas rencard; ami, pas ami est là pour elle.
Elle apparaît dans son champ de vision et cela lui tire un sourire, au vieux représentant des forces de l’ordre. T’es pas si vieux que ça, quand même. Les deux tasses de café récupérées entre ses deux mains avant de lui faire un signe de la tête, celle-là, elle est pour elle, de tasse. Comme si le Shérif offrait sa tournée en matière de caféine. Il lui fait un nouveau signe de tête pour lui faire comprendre que c’est sa petite pause, son moment où elle va pouvoir penser à autre chose, parler d’autre chose. Avec espoir qu’elle ne se pose pas trop de questions, qu’elle ne s’inquiète pas de trop de sa venue. "Simple visite de courtoisie Miller." Qu’il se permet de préciser afin d’éviter tout malentendu alors qu’il sait que certaines de ses employées ont tendance à faire quelques petites - ou énormes - conneries. "C’ma tournée." Tant pour le café que pour la clope.
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