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Lamb to the slaughter - Malone

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Lun 13 Mai 2024 - 10:31


Angel Medina
Angel Medina

EL S E R P I E N T E

le clair
Surnom : Foutez-lui une chemise repassée sur le dos et on lui filerait le bon dieu sans confession, à Angel. El Serpiente le suit telle une ombre, puisqu'il a de ces sourires insidieux capables de convaincre Eve de croquer dans la pomme. Et si on lui refuse : il peut toujours mordre.
Age : trente-sept ans. Il paraît qu'avec l'âge vient la sagesse, puis les mômes, la bonne femme et la maison de banlieue. Dieu soit loué, Angel est épargné pour le moment.
Adresse : Un appartement à Midtown, de ces trous à rats où les cafards et les rats sont des animaux de compagnie. Il aime appeler ça un loft, même si ce n'est qu'une grande pièce aménagée que son proprio n'a pas le droit de louer. Il ne s'en plaindra pas : c'est compliqué de se faire descendre par une fenêtre du troisième étage.
Labeur : Présentez-vous au el garaje del mago et demandez le meilleur mécano, il y a de grandes chances qu'on vous pointe Angel. Il bichonnera votre monture ou votre caisse, sans distinction, et il paraît qu'il est doué pour fidéliser la clientèle. Pobre Diablo à temps plein et cette deuxième casquette est plus lucrative.
Coeur : Encore faudrait-il en avoir un, non ? Organe en berne, palpitant en rade, aorte en miettes. Après l'avoir expérimenté, Angel peut décréter que l'amour n'est pas pour lui. Puisqu'Elle l'a vendu. Puisqu'Elle l'a trahi. Puisqu'on ne l'y reprendra jamais plus, à donner sa confiance et son âme.
Berceau : Texas, baby. Gosse de Laredo, jamais vraiment intégré. Juste un gamin de plus avec des parents à chier. Clifton est le berceau de sa renaissance, l'endroit où il a ouvert les yeux pour la première fois et pousser son premier cri : en appuyant sur la détente.
Lamb to the slaughter - Malone 2ca9db0879814ab90b1b6e02da416cab270d53bf

The coward claimed he was a lion
I'm combing through the braids of lies
"I'll never leave"
"Never mind"

Lamb to the slaughter - Malone Z3yt

And I'll still see it until I die
You're the loss of my life



Pseudo : kacsa
Pronom : she/her
Fc : manny montana
Crédits : kiddressources tumblr

Multicompte : douce et belle evangeline

Préférences rp : Troisième personne
☽ De 500 à 3000 mots, laissons-nous porter.
dialogue en français ou en anglais, venez comme vous êtes.

l'obscur

https://peace-of-mind.forumactif.com/t298-angel-medina-guilty-as https://peace-of-mind.forumactif.com/t301-angel-medina-old-habits-die-screaming#3293 https://www.pinterest.fr/irenesmilau/angel/
tw. violence verbale et physique. allusions au meurtre et à la drogue.


Lamb to the slaughter
"You thought you could go free
But the system is done for
If you listen real closely
There's a knock at your front door"


((atmosphere))

Pluie. Orage. Les roues de la moto menacent de glisser à chaque virage. L’accident gronde à chaque accélération. Il connaît sa bécane. Il se connaît aussi, le Pobre en manque d’instinct de survie. Il connaît ces nuits sans sommeil, ces heures à fixer le plafond ou sa fenêtre dans l’attente d’une libération qui ne viendra pas, qui n’est jamais venue. Sept ans au mitard et même une fois les poignets sans bracelet, son âme est enfermée, barricadée. Éternel taulard d’une prison bien à lui, Angel. Prisonnier de sa propre violence, de ces pulsions irrépressibles, de cette colère dévorante. Il est tellement en colère, Medina. Il est constamment en rage. Voilà ce qui le motive à se lever le matin, ce qui le pousse à faire le boulot sans jamais de remords. Puisque s’il ne leur collait pas une balle dans le crâne, il finirait par s’en foutre une lui-même. Puisque ce sont eux ou lui, et qu’il est égocentrique. Puisque c’est son meilleur moyen de faire s’échapper la pression sans se planter une aiguille dans le bras. Un beau bordel, Angel Medina. Un putain de mort vivant, de ces fils de pute qui n’ont rien à perdre, plus rien à prouver.

« J’croyais qu’c’était pas ton truc. » lance un Pobre, quand le moteur de la moto est coupé. Il pensait pas venir non plus, Angel. Une décision de dernière minute, menée par les fourmillements dans ses phalanges. Elle est revenue, cette salope. Elle a osé se re-pointer dans ce trou et qu’importe que ce soit une urgence. Qu’importe le temps qui s’est écoulé, aussi. Medina est un mec patient, un revanchard dans l’âme et ce ne sont pas quinze années qui effaceront ce qu’elle a fait. Ce ne sont pas des litres de tequila qui l’aideront à oublier. Mais se fracasser les phalanges contre le premier connard venu peut l’aider à passer la nuit, lui éviter de tourner dans son appartement comme un lion dans sa cage. « T’as qu’à parier sur moi. » L’autre ricane, certain qu’il plaisante. Pourquoi Angel irait se faire chier à se battre dans un vieil entrepôt, au milieu d’une foule de chiens assoiffés de sang et de violence ? Parce que là est sa place. Sur le sol sableux et poussiéreux, dans les effluves d’hémoglobine et de transpiration.

Un type s’effondre, dans le simulacre de ring. Une dent saute, du sang éclabousse les bottes de ceux qui se tiennent trop près. Terminé gueule celui qui s’improvise arbitre et quelques parieurs hurlent leur mécontentement. Le poulain est salement amoché mais il tient encore sur ses deux jambes. Il ne faudrait pas abîmer les favoris, si on veut les faire concourir soir après soir. Angel vire son sweat-shirt et lève le bras, pour héler l’organisateur. « Compte-moi pour le suivant. » Cela lui laisse le temps de bander ses poings, de recouvrir ses phalanges de sparadraps pour les protéger. N’en déplaise à Alby et sa salle aux multiples règles : ici, pas de gants rembourrés ou de protège-dents. Les coups ne sont pas retenus, non plus. Ce n’est pas un sport de gonzesses, bien que les Bloody Eagles soient présents. Au moins un, en tout cas, qu’Angel croit reconnaître, le blondinet. « J’savais pas qu’ça faisait aussi l’tapin, ici. » qu’il gueule assez fort pour se faire entendre. « Tu m’suces avant ou après que j’t’éclate la gueule, princesse ? » La violence a meilleur goût lorsqu’elle s’appuie sur la haine et Angel a trouvé de quoi se changer les idées.


avec @malone sullivan


Malone Sullivan aime ce message



the matador
They call him the matador. He settles all the scores. He kills in plain sight with a blade and a smile. Well, he'll settle things in the sun. Plays God like the chosen one.
(c) 0tsana


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Mer 15 Mai 2024 - 12:10


Malone Sullivan
Malone Sullivan

p e a c e o f m i n d

le clair
Surnom : Mal - surnom qui résonne trop fort le long des murs, trop souvent dans l'intimité qu'offre la nuit, soufflé dans les murmures des exs aux cœurs trompés
Gold - pour les Bloody qui n'hésite pas à lui rappeler le fric qu'il possède.
Age : Il vient d'avoir 28 ans.
Adresse : Un morceau de terrain qu'il a obtenu auprès de son père, il vit dans un mobilhome éclairé par les quelques guirlandes qu'il a tiré ici et là pour éclairer sa façade.
Labeur : Eleveur de chevaux
Coeur : Eternel célibataire, il parait pourtant en couple avec l'une ou l'autre avant de leur briser le coeur avec une troisième fille dans l'équation.
Berceau : Texan d'origine, Clifton c'est à la vie à la mort.
Lamb to the slaughter - Malone 95ab8d06a000954d5a14b96d1427709e923c814e

Pseudo : Nadou'
Pronom : Elle
Fc : Rudy Pankow
Crédits : aurora borealis (avatar) romancedawg (gif)

Multicompte : Sierra Moore

Préférences rp : Rp en français - autour des 700 mots de moyenne, plus si l'inspiration est au rendez-vous

l'obscur

https://peace-of-mind.forumactif.com/t197-malone-sullivan-i-m-ti https://peace-of-mind.forumactif.com/t211-malone-sullivan-boulevard-of-broken-dreams#1578 https://www.pinterest.fr/nadou0208/malone/ En ligne
tw. VIOLENCE VERBALE ET PHYSIQUE. ALLUSIONS AU MEURTRE, À LA DROGUE et CONSOMMATION D'ALCOOL


LAMB TO THE SLAUGHTER
"you thought you could go free
but the system is done for
if you listen real closely
there's a knock at your front door"



Pas besoin d’invitation pour qu’il monte sur sa bécane, pas besoin d’invitation pour rouler sous le tonnerre, pas besoin d’invitation pour être particulièrement con, une fois de plus. Mais le besoin d’évacuer la frustration se fait plus fort, le besoin d’extérioriser les pensées noires et les pulsions violentes qu’il ne peut projeter sur son paternel, de crainte que son frère et sa sœur n’en paie les dommages collatéraux. L’image de Christian brûle derrière ses paupières tandis que la colère enfle dans sa poitrine, sourd aux demandes de ses proches de rester calme et rentrer chez lui tandis que l’image de cette nouvelle fille à son bras, la bague au doigt, enflamme le peu de conscience qu’il a encore. Un obstacle de plus à faire sauter, une personne de plus à éliminer. Il ne laissera personne se mettre en travers de son chemin, promesse silencieuse faite lorsqu’il a reçu le premier coup de poing de son géniteur en pleine gueule, ce n’est pas ce mariage qui va l’empêcher d’accomplir sa tâche, et tant pis s’il doit faire disparaitre une personne de plus … Sauf si elle fuit avant. Mais comment la faire fuir ? Sans que Christian ne s’énerve contre lui, sans qu’il ne voie clair dans son jeu, sans que ce soit trop visible … Le vrombissement du moteur se faire entendre plus fort tandis que sa route l’emmène vers le nouvel entrepôt accueillant les combats de ce soir. Une échappatoire bienvenue dans le tumulte de ses pensées et de la rage noire qui l’habite cette nuit. Personne ne peut comprendre, personne ne peut entendre, personne ne peut savoir ce qu’il se passe sous le crâne de Malone Sullivan, car révéler ses plans revient à … à le mettre sous surveillance ? Le faire bannir du MC ? Le faire passer par la case prison sans réflexion possible ? Plus libre d’être lui-même, il deviendrait trop dangereux, fou, il s’étoufferait dans sa propre colère et laisserait son paternel gagner.

Le vacarme est la première chose qu’il entend en retirant son casque. Un sourire étire ses lèvres alors que des têtes familières l’entourent, un joint glissant entre ses doigts pour le fumer tranquillement devant l’un des premiers combats. Il échange des conneries avec des gars qu’il connait et d’autres qu’il voit pour la première fois. Il camoufle la colère, la garde pour le moment de monter sur le ring et de jouer de ses poings. Une première bière éveille ses sens, la deuxième le pousse à rejoindre le combat, la troisième l’aide à se dire qu’il est temps. Ses yeux se braquent sur l’ennemi à la seconde où il annonce être le suivant, d’un signe de tête il confirme à cette sorte d’arbitre des bas-fonds de la ville qu’il sera également de la partie, confiant son pull à l’un de ses potes, qui tente de le raisonner. Pas de règles, le premier à terre, la folie le prend de provoquer un Pobre mais l’occasion est bien trop belle que pour laisser tomber. Encore plus belle que d’en retourner une à son père. Il ne répond pas à la provocation, se contente de bander ses phalanges abîmées des combats précédent avec un sourire provocateur en direction de l’ennemi, un vrai, pas un simple mec qu’il va combattre ce soir mais bien un de ceux à qui il rêve d’en retourner une bonne et d’en faire couler le sang, histoire de vérifier s’il est bien rouge également. « T’es un peu trop penché sur le cul toi … » Qu’il grimace de cet air arrogant qu’il aborde avant de se prendre une rouée de coups. « Tu devrais te trouver une fille mec ! » Qu’il termine de bander ses poings avant d’écarter les cordes et de monter sur le ring, le sourire d’un gamin s’apprêtant à faire une connerie sur le visage. « Sauf si c’est pas ton truc … Ah mais oui ! » Qu’il se frappe le front comme s’il venait de se souvenir d’un truc plus qu’important. « J’avais zappé que les Pobre aimaient se branler entre eux. Pas étonnant que vos filles préfèrent se faire sauter par des Bloody. » Qu’il siffle avec toute l’arrogance que le fric lui à donner plus jeune. Parce qu’il se sent pousser des ailes, trop confiant, trop à l’aise, il en oublie qu’il doit maintenir une garde constante une fois les cordes passées, un PB doit se tenir à l’arrière, lui attrapant le pied au moment où l’arbitre de bas étage lance le début de l’affrontement, cet instant où l’adrénaline brûle dans son corps et l’empêche de réfléchir correctement, car il trébuche lorsqu’il veut donner son premier coup, manque de puissance, manque de force, manque de concentration, un manque de tout qu’il se reproche lorsque son poing n’attaque pas le PB avec la hargne qu’il souhaite. Il peste, attrapant seulement l’épaule de l’ennemi sans être capable de la bouger, la déboiter, la casser. Le blond se redresse, vif, attentif, il reprend pied sur terre pour se concentrer sur sa tâche. « Rappelle tes chiens, c’est entre nous ce soir. Pas de PB, pas de Bloody. Pas d’implications des clubs ici. »


avec @Angel Medina


Angel Medina aime ce message




say you want meout of your life
©️️ EXORDIUM.


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