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illicit affairs

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Ven 5 Avr 2024 - 18:08


Alby Forsyth
Alby Forsyth

THE PYTHON

le clair
Surnom : The Python, c'est comme ça qu'on l'appelait dans l'octogone. Sinon le classique Al' et parfois Fors' quand son nom est "trop long à dire"...
Age : Trente-six ans.
Adresse : Le loft qu'il s'est aménagé au-dessus de son gymnase à Holly Hills.
Labeur : Ancien combattant de MMA, il a fraichement ouvert son propre gymnase où il dispense des cours de boxe, essentiellement adressés aux jeunes.
Coeur : Célibataire et hétéro. Sa vie ne s'est jamais vraiment prêtée à construire quelque chose de durable avec quelqu'un. Pourtant il aurait bien aimé.
Berceau : Enfant du pays à l'ADN mixé, il est né à Clifton. Il est le fruit d'une union entre un authentique Texan et une Antillaise.
illicit affairs 8pxb

When you hold me, it holds me together
And you kiss me in a way that's gonna screw me up forever

((atmosphere))

illicit affairs Bbb57aa316e640ee192bcebd5707aaea8b62e464
Pseudo : syl
Pronom : Elle
Fc : Lewis Hamilton
Crédits : anysorrow

Multicompte : Levi Sullivan

Préférences rp : Dialogues en indigo

l'obscur

https://peace-of-mind.forumactif.com/t109-alby-forsyth-takin-the https://peace-of-mind.forumactif.com/t116-alby-forsyth-gun-blast-in-the-background https://www.pinterest.fr/noemiekatinka/forsyth/ En ligne
tw. //




For you, I would ruin myself a million little times
((atmosphere))

« C’est qui elle ? » Je me retourne vers Sierra qui, même si elle est un peu en retrait, fait tout de même la curieuse au milieu des tringles de vêtements et dessertes remplies de maquillage.
« Ma petite soeur », que je réponds nonchalamment à mon ancien manager qui lève aussitôt les yeux au ciel. Je n’ai pas envie d’entrer dans les détails. Pas avec lui. Pas avec qui que ce soit en fait. Le simple fait d'avoir ramené une fille ici doit lui avoir mis la puce à l’oreille, lui qui connaît mes réticences à m’engager… Mais il élude rapidement le sujet pour en venir à ce qui l’intéresse vraiment.
« T’as vu que Stanton demandait une revanche… Tout le monde l’a vu, tu vas me dire. Et j’imagine que tu y as déjà réfléchi ? » Nous y voilà. Je me disais bien qu'il avait une idée derrière la tête en se pointant ici.
« Ca fait trois ans que j’ai pas vu un octogone… » Je vois une lueur de panique traverser son regard et il m’attrappe aussitôt le bras pour me forcer à faire quelques pas à côté de lui. « Oui mais c’est comme le vélo. Ca ne s’oublie pas… Enfin, je t’influence pas bien sûr. Je dis ça comme ça. T’as mon numéro. Tu sais que tu peux m’appeler, hein ? » Ouais, ouais… Je le vois venir avec ses gros sabots. Je sais très bien qu’il rêve que je l’appelle. Surtout si c’est pour lui dire que j’ai à nouveau besoin de lui pour gérer mon retour en MMA. Mais le tout est de savoir si j’en ai vraiment envie.

« Regarde l’objectif… Ok, remets ta capuche et tourne la tête. Bras croisés. Plus incliné, le menton… Même regard que tout à l’heure. Ouais voilà, t’es parfait, Honey, bouge pas ! » Je suis tellement tendu que ma nuque en devient douloureuse. La lumière aveuglante des flashs use ma patience en même temps que ma rétine. Et ça sans parler des innombrables directives qu’on me donne depuis mon arrivée. Je ne sais pas depuis combien de temps je suis sous le feu des objectifs mais la séance s’éternise et les poses s'enchaînent sans que personne ne semble jamais être à court d’idées pour en proposer d’autres. Je pensais pourtant avoir suffisamment donné de ma personne en acceptant de me faire pomponner par leur styliste, le tout en écoutant le briefing de leur chargé de comm' et en signant tout ce qu’ils me demandaient de signer… Et j’ai évidemment arrêté de compter le nombre d’essayages que j’ai déjà dû faire, enfilant tantôt un t-shirt, tantôt un short, de toutes les formes et de toutes les couleurs. Je suis un combattant bordel ! Pas une poupée.
« Aie l’air méchant ! » Trop tard, je me fends d’un énorme sourire. Sierra a réussi à se faufiler dans mon champ de vision et prend un malin plaisir à faire toutes les pitreries possibles dans le dos de la directrice artistique. Je fais de mon mieux pour garder mon sérieux mais plus j’essaye et pire c’est. « Okay, moi j’arrête tout ! » s’emporte aussitôt le photographe qui vient d’abandonner son appareil sur le fauteuil qu’aurait dû occuper Sierra si elle avait réussi à tenir en place.
« Ouais ben j’arrête aussi, j’ai eu ma dose pour aujourd’hui. » Comme si on venait de donner un coup de pied dans la fourmilière, tout le monde commence à paniquer. Les uns essayant de convaincre le photographe de revenir, les autres m’intimant de rester à ma place. Sauf que je n’écoute aucun des ordres qu’on me donne et que je me retrouve bientôt en boxer au milieu du studio après m’être délesté de mes fringues. « Forsyth, on n’a pas fini ! T’as encore deux tenues à essayer putain ! » Mais Forsyth en a sa claque. Et Forsyth ne prend même pas la peine de répondre.
Un sourire de sale gamin sur les lèvres, je récupère mes propres vêtements avant de faire signe à Sierra qu’on peut décoller. Elle n’attendait que ça et je ne peux que la remercier de m’avoir fait craquer avant la fin. Encore dix minutes comme ça et je lui poussais son flash où je pense à ce photographe.
« Je suis désolé, ça n’avait pas pris autant de temps la dernière fois… » que je grogne en remontant mon pantalon cargo le long de mes hanches tout en essayant d’enfiler mes baskets en même temps. Je n’ai pas envie de passer une seule seconde de plus ici.
Et puis il faut dire que la dernière fois, je n’étais pas accompagné et je n’étais donc pas aussi pressé de profiter de la ville. « Comment je peux me faire pardonner ? » demandé-je alors innocemment, persuadé qu’elle a déjà tout un programme en tête.

avec @Sierra Moore




DISCIPLINE
noun [ C ] di.siˈpli.nə/

the act of doing things you don't want to do as if you love doing them.

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Mar 9 Avr 2024 - 22:24


Sierra Moore
Sierra Moore

COEUR SAUVAGE

le clair
Surnom : Zira, entre les lèvres de sa mère - Sun dans la bouche des inconnus au bar
Age : 27 ans, l'année supplémentaire approchant avec la date du 10 juillet.
Adresse : Une petite maison à la façade défraichie et aux châssis en bois usés dans le quartier de Midtown.
Labeur : serveuse - Coyote - au Wild Coyote Saloon
Coeur : Si libre, si sauvage, si indomptable ... On me compare souvent à un mustang. La seule personne qui peut y prétendre n'a pas ce genre de sentiment pour moi.
Berceau : Des santiags aux pieds et un bandana sur la tête, je ne connais que Clifton, le Texas est mon âme.
illicit affairs N7sa

Don't blame me, love made me crazy
If it doesn't, you ain't doin' it right
Lord, save me, my drug is my baby
I'll be usin' for the rest of my life


illicit affairs T7vz


Pseudo : Nadou'
Pronom : Elle
Fc : Madelyn Cline
Crédits : lumossolem & pinacolana gifs

Multicompte : Malone Sullivan

Préférences rp : 700 mots de moyenne, les rps en français uniquement

l'obscur

https://peace-of-mind.forumactif.com/t68-sierra-moore-and-when-w https://peace-of-mind.forumactif.com/t73-sierra-moore-he-s-so-bad-but-he-does-it-so-well#199 https://www.pinterest.fr/nadou0208/sierra/
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For you, I would ruin myself a million little times
((atmosphere))

Faire ma valise ? C’était le plus facile à faire. J’aurais aimé en faire plusieurs, beaucoup, devoir trier le linge, lancer des machines, n’avoir absolument rien à me mettre pour partir uniquement deux petits jours là-bas. Deux jours et une nuit. Une nuit et deux jours … Alors pourquoi est-ce que j’ai l’impression de m’arracher le cœur à vif ? Le plus dur à été de faire le chemin pour rejoindre mon amant. Monter dans l’avion, boucler ma ceinture, voir mon Texas s’éloigner si vite, trop vite, trop loin, si loin … Le cœur malmené, l’âme meurtrie, l’impression de faire la pire connerie de ma vie, j’ai frôlé la crise d’angoisse à plusieurs reprises avant de me ressaisir. Alby est quelqu’un de bien, il possède un cœur réel, et je reporte mon propre objectif sur lui : essayer de toutes mes forces, de toute mon âme de transposer le centième de ce que je ressens pour mon meilleur ami sur lui. Deux jours. Une nuit. C’est pas grand-chose et pourtant c’est un énorme pas en avant. J’ai cru que j’allais me barrer, que je n’irais jamais là-bas, que j’allais appeler Lina pour lui dire que c’est bon, que je rentre le soir-même parce que je n’ai pas été capable de lâcher Clifton, une fois de plus, parce que Clyde n’était pas là, pas avec moi pour grimper dans ce putain d’avion comme lorsque nous sommes partis à Denver. En réalité, c’est la putain de première fois que je quitte aussi longtemps la ville sans qu’il ne soit là. Et ça me fait tellement mal. Un morceau de mon âme que je laisse à Clifton, c’est donc ça de tomber amoureuse de quelqu’un ? De limite crever en ressentant ce manque de l’autre ? La lutte est longue, douloureuse, criante d’une vérité trop forte : je l’aime, lui, et je vais crever de mes sentiments de merde, je le sens. Disparaitre ne pourra pas me soigner l’âme cette fois, j’en suis certaine.

Les valises à l’hôtel, d’autres vêtements adaptés à la chaleur enfilés, toujours plus court, plus révélateurs … Plus moi. Libre d’être ce que je veux où je le veux, bikini sous les fringues ou non, je me fiche que ces gens que je ne reverrais jamais me considère comme la nouvelle pute à la bonne d’Alby. Je sais qui je suis, ce que je vaux, d’où je viens. Qui peut se vanter d’être aussi clair envers lui-même ? Des paroles prononcées devant le miroir, m’encourageant de ne pas plonger sur mon téléphone pour prendre immédiatement de ses nouvelles. On arrive au studio, on me relooke, et j’entre dans mon rôle : Sierra Moore, la Coyote.
Le maquillage dure une plombe. Je savais pas qu’un mec pouvait avoir besoin d’autant de préparation ! Alors je me marre en le regardant se faire habiller, enfin habiller … Un t-shirt par ici, un autre short par là … à croire que le mec ne peut porter que ça. J’ai fini de m’intéresser au maquillage à disposition, aux fringues cde la marque en question. D’ailleurs, qui repasse aussi bien et précieusement des vêtements de sports ?! Et bien eux, ils le font. Me regardant mal quand j’approche un peu trop mes doigts des précieux tissus, riant toute seule de leur propre bêtise. Mais je suis là pour Alby, qui m’avait bien prévenue que ce serait chiant. Mais il y avait aussi une question de voir la ville … Et je compte tenir ma promesse. Je n’arrive pas à rester assise sur la chaise qu’on s’efforce de me montrer ou de m’accompagner, j’ai envie de bouger, de courir, de me barrer comme une gamine mal élevée. Alors … C’est ce que je fais. J’écoute, je me fou de la gueule du photographe en premier et ses « honey » auxquels je grimace en riant dans le dos de tout le monde. Le flash crépite, Alby commence à sourire, mes conneries redoublent. Je prends la pose dans leur dos, vue uniquement de mon amant qui ne rate pas une miette. Je grimace, je souris, je prends des poses complètement stupides jusqu’au moment où ce crétin lui lâche : aie l’air méchant. Pas certaine d’avoir entendu la même chose, je m’arrête, surprise, un instant la bouche arrondie dans un « oh » qui ne sort pas, mais que j’accompagne rapidement d’un rugissement silencieux tandis que je fais semblant d’avoir des griffes au bout de mes doigts et me déplacer dans la pièce. C’en est assez pour Alby qui se met à rire, j’arrête illico mes conneries et le ton grimpe, pour mon plus grand plaisir. Foutre le bordel est ma spécialité. Il me fait signe et je ne me fais pas prier, courant droit sur lui pour le suivre quand il s’habille devant moi, qui n’en perd pas une miette. « Hmm j’sais pas … Retire encore une fois ton pantalon pour voir ? » Je demande, innocente et battant des cils. « Bar, plage, changement de fringues avec pose à l’hôtel, hors de question de dormir, discothèque, trouver un after quelque part et petit dej sur la plage et croco ! » Je claque mes mains, impatiente, presque certaine que tout va se dérouler de la sorte. « Si tu as des objections, tu peux les soumettre. Pas certaine que j’accepte, en revanche ! » Je m’approche avec le démarche d’un félin prêt à bondir sur sa proie, décochant mon plus beau sourire et mes yeux de biche pour murmurer : « Sauf si tu as envie de passer plus de temps à l’hôtel … »  


avec @Alby Forsyth





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Jeu 11 Avr 2024 - 12:51


Alby Forsyth
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Labeur : Ancien combattant de MMA, il a fraichement ouvert son propre gymnase où il dispense des cours de boxe, essentiellement adressés aux jeunes.
Coeur : Célibataire et hétéro. Sa vie ne s'est jamais vraiment prêtée à construire quelque chose de durable avec quelqu'un. Pourtant il aurait bien aimé.
Berceau : Enfant du pays à l'ADN mixé, il est né à Clifton. Il est le fruit d'une union entre un authentique Texan et une Antillaise.
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« Non, ils ont assez profité de mon corps comme ça », que je rétorque d’un ton amusé, néanmoins flatté qu’elle me mate de façon si consciencieuse.
Je glisse ma main dans la sienne et l’entraîne dehors, loin du studio, loin des lumières artificielles et surtout, loin de mes obligations.
Le soleil fait joliment briller sa peau mate tandis que les reflets dorés de ses cheveux s’activent pour la rendre plus belle encore. Et pour la première fois de ma vie, je n’ai pas besoin de me planquer devant les passants. Je peux même pousser le vice à enlacer sa taille et à la garder près de moi sans risquer de froisser personne. D’ailleurs, la seule chose qu’on risque de froisser aujourd’hui, ce sont les draps de notre lit king size. Mais je ne veux pas céder à la tentation trop vite, malgré sa proposition plus qu’alléchante.
« Si on fait autre chose que se changer à l’hôtel, je risque de ne plus vouloir sortir de la chambre. Donc tu seras gentille de garder tes distances si tu veux avoir l’occasion de sortir en boîte », réponds-je d’une humeur mutine, le palpitant déjà mis à rude épreuve.
Je ne sais pas si j’aurai les nerfs de supporter un retour à la vie normale. J’ai presque peur de trop me réjouir alors que je sais pertinemment que tout s’effondra aussi vite une fois à Clifton.
On devra recommencer à agir comme des inconnus dans la rue et faire mine de ne pas être autre chose que deux (très bons) amis dans l’intimité de mon loft. Mais je l’ai voulu. Et je suis prêt à m’en contenter encore.
« Et j’ai effectivement une objection, votre honneur ! Des bars, on en a plein chez nous et je suis déjà persuadé de préférer nos Coyotes aux Miaméennes… » Une pensée furtive pour Adelina se glisse dans mon esprit à cet instant, aussitôt balayée par l’expression interloquée de Sierra. « A-t-on vraiment besoin d’une table pour picoler ? »
Étouffant un rire, je la tire à l’intérieur d’une supérette à la devanture tapageuse, me faufilant dans les rayons jusqu’à trouver celui des spiritueux.
« Prends ce qui te fait plaisir, moi je vais regarder s’ils ont des affaires de plage. »

On se retrouve finalement à la caisse, elle les bras chargés de bouteilles et moi équipé de tout l’attirail du parfait touriste. Si j’avais eu la présence d’esprit de glisser un maillot et des lunettes de soleil dans mon sac à dos, je n’avais en revanche rien prévu d’autre.
Deux serviettes de plage posées sur le tapis roulant, je dévisage le vendeur qui vient de scanner ma paire de tongs mais qui était visiblement plus occupé à scanner la paire de seins de Sierra. Alors pour une fois que je peux me montrer possessif, j’enroule un bras protecteur autour de ses épaules dénudées, mes lèvres rencontrant le dessus de son crâne avant que je ne fasse chauffer ma carte de crédit.
« Je ne sais pas comment tu fais pour supporter qu’on te mate en permanence alors que je ne supporte déjà pas une demi journée de photoshoot… Mais le pire c’est que je comprends tous ces gars et que je ne vaux probablement pas mieux qu’eux », déclaré-je en joignant le geste à la parole, trop heureux de pouvoir la reluquer aussi. Et tout ça en sachant que contrairement aux autres, moi je peux la toucher autrement qu’avec les yeux.
Mais mon regard vorace dévie rapidement de son petit cul rebondi vers toutes les notifications qui se sont accumulées en une matinée passée loin de mon écran. Un élan de culpabilité m’assaille en voyant le pseudo d’Adelina apparaître au milieu de la liste avec un "il y a 4 heures" écrit à côté.
Fuck.
J’espère qu’elle va bien.
Tout en pianotant rapidement sur mon clavier, les yeux plissés sous le reflet du soleil dans mon écran, j’avance à travers les rues, hanche contre hanche avec Sierra.
Méfait accompli, le téléphone retrouve sa place au fond de ma poche. Je mêle aussitôt mes doigts à ceux de la blonde pour m’empêcher de le reprendre en main alors qu’il recommence déjà à vibrer contre ma cuisse. Je dois faire preuve de force mentale pour ne pas céder à la curiosité mais les limites de la digue me détournent momentanément de mon addiction numérique.
Inaugurant mes nouvelles claquettes en terrain sableux, je nous cherche un petit coin pas trop bondé pour y déposer nos affaires.
« Ici ? » que je demande alors en désignant le meilleur carré de sable disponible qu’on ait pu croiser jusque-là.

avec @Sierra Moore




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Ven 12 Avr 2024 - 19:02


Sierra Moore
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Age : 27 ans, l'année supplémentaire approchant avec la date du 10 juillet.
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Coeur : Si libre, si sauvage, si indomptable ... On me compare souvent à un mustang. La seule personne qui peut y prétendre n'a pas ce genre de sentiment pour moi.
Berceau : Des santiags aux pieds et un bandana sur la tête, je ne connais que Clifton, le Texas est mon âme.
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Garder mes distances si je veux aller en boite ? Je me pince les lèvres, gardant pour moi les mots qui ne doivent pas passer mes lèvres. Mais bon sang, ça ne me dérangerais pas de passer quelques heures supplémentaires dans une chambre avec lui ! Surtout après le spectacle auquel j’ai eu droit aujourd’hui, lui dans différents vêtements, encore et encore, parfois dévoilant les muscles saillants de son torse, ses tatouages que j’ai pu parcourir de mes doigts des centaines de fois, parsemée cette même peau de baisers, de le découvrir sans jamais me lasser … Je ne sais pas à quoi il pense, je ne sais pas quelles pensées traversent son esprit mais je le vois à ses yeux qu’il est rapidement ailleurs, est-ce qu’il pense déjà à notre retour ? Est-ce qu’il est déçu de m’avoir amenée ici, avec lui ? Moi, en revanche, je me surprends d’être contente d’être venue, de balayer les doutes et de prendre cet avion malgré les nombreuses questions que cela pouvait soulever. La bonne humeur balaie les craintes que je commençais à développer, me ramenant au présent et non dans le futur que nous allons vivre. Et je me questionne et m’apprête à le couper lorsqu’il entame la deuxième partie de sa phrase, à laquelle je souris amplement, non, non on n’a vraiment pas besoin d’une table pour profiter de passer du temps tous les deux et je comprends rapidement ce qu’il veut faire. « C’est parti ! » Je le laisse me trainer par la main, parce que je me sens à l’aise ici, alors qu’il s’agit d’inconnus autour de nous, personnes qui ne pourra relater nos aventures à Clyde … Mais il est loin d’être idiot et je suis loin d’être complètement stupide, tout fini par se savoir et ce séjour va marquer un tournant, je le sens. On se retrouve devant une boutique que je qualifie de piège à touristes, vendant un peu tout et rien à l’intérieur, Alby me charge d’amasser ce qui me fait envie et je hausse un sourcil, silencieuse, est-ce qu’il me connait vraiment ? Car je risque de ressortir avec mon propre poids en bouteilles.

C’est d’ailleurs ce qu’il se passe, chargée de bouteilles sous les bras et deux entre les mains que je débarque à nouveau devant lui, alors qu’il nous a trouvé des serviettes de plage et des … Non, a-t-il vraiment pris des tongs ? j’éclate de rire en le regardant tout posé devant le vendeur qui nous juge silencieusement. Mais je m’en fou, je m’en contrefiche parce que je m’amuse et c’est tout ce qui compte. Le vendeur qui, à la fois discret et pas du tout, glisse ses yeux sur moi à plusieurs reprises et je manque de rire lorsque le bras de mon amant vient s’enrouler autour de mes épaules et que ses lèvres viennent déposer un baiser dans mes cheveux, je lève la tête, attendrie de ce geste protecteur et heureuse de voir qu’il tient à moi. Ouais, ça fait du bien parfois que ce soit quelqu’un autre que Clyde qui m’embrasse, avec un brin de jalousie dans le regard. « Je suis Coyote, bébé, c’est l’histoire de ma vie ! Ose me dire que tu ne m’as jamais maté au bar ! » Je chante une fois à l’extérieur, levant le sac de courses pleins de mes nouveaux trésors. « Mais j’préfère être matée par des gars qui n’ont pas peur de se brûler en le faisant. » Je glisse contre lui, ne m’attardant pas des masses sur son téléphone qu’il sort de sa poche pour répondre à un message, parce que je fais exactement la même chose en demandant aux autres ce qu’ils veulent comme souvenir de Miami. On marche tranquillement jusqu’à la plage, ses doigts glissant aussitôt dans les miens lorsqu’il le range et je souris comme une idiote. Ça ne me ressemble pas, je ne suis pas comme ça, mais la petite voix continue de me murmurer d’essayer, alors j’essaie encore un peu plus fort, lui rendant son sourire. Je rigole lorsqu’il enfile les claquettes alors que je retire simplement mes chaussures pour glisser mes pieds dans le sable chaud et savourer la chaleur qui n’est pas encore trop intense. Nos affaires posées, je retire aussitôt mes fringues pour laisser entrevoir mon bikini fraichement acheté à Clifton. Sous les yeux d’Alby, je n’hésite pas une seconde à me pavaner en haussant les sourcils, un énorme sourire aux lèvres. « J’espère que tu aimes ce que tu vois ! » Je plaisante en prenant place sur le sable, assise près de lui, ma main cours sur son bras, je me rapproche un peu plus, de sorte à ce que nos peaux s’embrasent à nouveau et que l’agréable frisson me traverse toute entière. Légèrement dissimulés des regards indiscrets, je me pince les lèvres avec un air de malice dans les yeux face aux idées qui me traversent l’esprit. « T’as pas idée de ce que je suis capable d’imaginer tout de suite. » Parce que cela marquerait un retour à l’hôtel et que, bien que l’idée soit alléchante, je compte bien prendre le soleil et l’air marin un moment avant de rentrer. Je me mets à genoux devant lui, m’approchant suffisamment pour que nos lèvres se rencontrent et lui laisser un vague aperçu des pensées salaces qui me traversent. « Je pourrais y prendre goût. » J’avoue d’un murmure, je pourrais prendre goût à l’embrasser en public, je pourrais apprécier qu’on se rencontre en public, je pourrais apprécier de le voir en ville, je pourrais … Je pourrais tellement de choses. Si seulement je pouvais l’aimer aussi fort, il le faut, je le dois. Je m’écarte, laissant mes doigts caresser sa cuisse avec une lenteur extrême, attrapant finalement le sac contenant les bouteilles pour en prendre la première, une bouteille de rouge … Pas le meilleur choix, mais vu qu’il m’a dit de prendre ce que je voulais, j’ai pris ce qu’il passait à porter de main sans chercher davantage. « Bon, je suppose que ça fera l’affaire … » Par chance, le bouchon se dévisse simplement, et je profite pour le retirer rapidement avant de prendre une gorgée, à la bouteille, comme j’ai tant l’habitude de le faire. « J’ai bien envie d’aller dans l’eau … Tu crois qu’elle est froide ? » Mes yeux se posent un instant sur l’écran de mon téléphone qui s’allume pour mentionner un nouveau message. Clyde. Clyde. Clyde. C’est comme une alerte silencieuse à laquelle je réponds rapidement, le cœur au bord des lèvres, je ne mens pas, j’omets des infos. Je crois. « Dis-moi quelque chose, Alby, dis-moi quelque chose pour que je ne sois pas complètement effrayée d’être ici et pas chez nous. » Je laisse mon téléphone sur le tas de mes vêtements pour le regarder droit dans les yeux. « Je veux nous laisser une chance, ici. » Je murmure, incertaine, dépassée, inquiète. J’ai besoin de lui pour me rassurer.


avec @Alby Forsyth


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Mar 16 Avr 2024 - 13:29


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Coeur : Célibataire et hétéro. Sa vie ne s'est jamais vraiment prêtée à construire quelque chose de durable avec quelqu'un. Pourtant il aurait bien aimé.
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Ma mine s’éclabousse d’un sourire alors que j’incline une main devant mon front pour protéger mes yeux du soleil et ainsi mieux la regarder. « Je t’ai toujours matée. Et pas qu’au bar », déclaré-je sans une once d’hésitation.
Il n’y a que Sierra pour ne pas s’en formaliser et trouver ça amusant. Et il n’y a d’ailleurs qu’à elle que je me permets de lâcher des choses pareilles. Avec elle je n’ai jamais besoin de réfléchir avant de parler, elle appelle la spontanéité et c’est ce qui la rend si précieuse à mes yeux.
« Je suis déjà damné alors heureusement que j’ai pas peur des flammes », continué-je en laissant nos pas nous guider jusqu’à la plage.
Le trajet se déroule cependant dans le calme alors nous reprenons chacun contact avec ceux que nous avons laissés à Clifton. Ça sent l’amertume à plein nez mais sa main logée dans la mienne et son rire la balaient aussi vite.
Et puis je n’ai qu’à la regarder me dévoiler son deux pièces pour arrêter de réfléchir. Ça a toujours été très physique entre nous mais il faut croire que c’est ce qui nous réussit le mieux. Et tant pis si on arrive à rien d’autre.
« Y en a qui tueraient pour voir ce que je vois. » Un sourire goguenard sur les lèvres, je l’observe tournoyer sur elle-même. Ca me fait un bien fou de la voir rire et enfin oublier toutes les règles qu’on s’était fixées à Clifton. Et rien que pour ça, je ne regrette pas d’avoir insisté pour qu’elle m’accompagne. Le voyage n’aurait pas eu la même saveur sans elle. A cette heure-ci, je serais toujours coincé au studio, à entretenir des conversations hypocrites avec des gens qui ne m’auraient même jamais adressé la parole si je n’avais pas plus de followers qu’eux.
Avec Sierra, tout est différent. Ce qu’on vit se passe de mots. Il n’y a qu’à voir nos peaux frissonner dès qu’elles se touchent.
Inconsciemment, je contracte les abdos en la sentant se rapprocher, me forçant à me concentrer sur les vagues plutôt que sur la lueur lubrique qui anime son regard en me caressant le bras. Elle me fait toujours autant d’effet et sait parfaitement comment me torturer. Mais finalement c’est la phrase qu’elle laisse flotter à quelques centimètres de mon oreille qui m’achève. Elle pourrait y prendre goût…
« Ce serait si grave ? » que je demande en me maudissant aussitôt d’avoir posé la question. Sans laisser le temps à la gêne de s’installer, je m’occupe très vite les mains en chopant la bouteille qu’elle vient d’ouvrir pour goûter à mon tour. « Je m’attendais à pire pour de la pisse de chat… »
Nouveau sourire. Nouvel espoir qu’elle ne se formalise pas de ma précédente question. Je ne suis pas là pour gratter quoi que ce soit de plus. On a déjà eu cette discussion et tout était très clair. Ce qu’il se passe ici n’est qu’une parenthèse et doit le rester.
Je crois...

« Une vingtaine de degrés je dirais. C’est assez pour une frileuse comme toi ? » Je me retiens de lui dire que je pourrai toujours la réchauffer. Parce que je vois bien que quelque chose dans son regard vient de changer au moment où elle a louché sur son téléphone. Puis je comprends que ses peurs l’ont rattrapée. Que venir ici était un réel défi pour elle. Je devrais donc me sentir honoré qu’elle m’ait suivi et me réjouir de l’entendre parler de nous laisser une chance mais cette fois, c’est en moi que quelque chose se brise.
Je voulais me convaincre que c’était elle qui se voilait la face à refuser de voir l’évidence qu’il y a entre nous mais je réalise maintenant que c’est moi qui avais tout faux. En croyant ça, c’est moi qui me berce d'illusions. Parce que quand je lis la panique dans son regard en cet instant, je me rends finalement compte que je ne suis qu’un pansement pour elle. Je limite l’hémorragie. Je cache des blessures difficiles à refermer et qu’elle préfère ignorer.
Elle ne m’aime pas.
En tous cas pas comme je l’aime moi.
Pourtant elle adorerait que ce soit le cas. C’est l’impression qu’elle me donne.
Logique ! Ce serait si simple. Mais son cœur est toujours enchaîné à Clifton et à celui qu’elle a laissé là-bas.
Celui qu’elle essaie désespérément d’oublier avec moi.
Déstabilisé par sa réaction, je mets du temps à réagir. Je voudrais pourtant dire quelque chose mais rien ne me vient. Alors je me penche pour l’embrasser. L’empêcher de dire autre chose et me faire gagner du temps.
Ce baiser me brise autant qu’il réveille ce qu’il y a de meilleur en moi. Tout cet amour que j’ai au fond des tripes mais que je m’efforce de cadenasser parce qu’il me rend terriblement fragile.
« Ce voyage n’est qu’une parenthèse, Sierra. Et peu importe ce qu’on décidera de mettre dedans, ça n’affectera pas le reste. »
J’ai murmuré ça contre ses lèvres. Un mensonge doux comme une caresse.

avec @Sierra Moore


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Jeu 18 Avr 2024 - 12:05


Sierra Moore
Sierra Moore

COEUR SAUVAGE

le clair
Surnom : Zira, entre les lèvres de sa mère - Sun dans la bouche des inconnus au bar
Age : 27 ans, l'année supplémentaire approchant avec la date du 10 juillet.
Adresse : Une petite maison à la façade défraichie et aux châssis en bois usés dans le quartier de Midtown.
Labeur : serveuse - Coyote - au Wild Coyote Saloon
Coeur : Si libre, si sauvage, si indomptable ... On me compare souvent à un mustang. La seule personne qui peut y prétendre n'a pas ce genre de sentiment pour moi.
Berceau : Des santiags aux pieds et un bandana sur la tête, je ne connais que Clifton, le Texas est mon âme.
illicit affairs N7sa

Don't blame me, love made me crazy
If it doesn't, you ain't doin' it right
Lord, save me, my drug is my baby
I'll be usin' for the rest of my life


illicit affairs T7vz


Pseudo : Nadou'
Pronom : Elle
Fc : Madelyn Cline
Crédits : lumossolem & pinacolana gifs

Multicompte : Malone Sullivan

Préférences rp : 700 mots de moyenne, les rps en français uniquement

l'obscur

https://peace-of-mind.forumactif.com/t68-sierra-moore-and-when-w https://peace-of-mind.forumactif.com/t73-sierra-moore-he-s-so-bad-but-he-does-it-so-well#199 https://www.pinterest.fr/nadou0208/sierra/
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For you, I would ruin myself a million little times
((atmosphere))

Et moi, je tuerais pour avoir le même regard que tu me lances. Je pense, si fort, si intensément lorsque mes yeux glissent dans les siens et que j’y ressens toute l’affection qu’il me renvoie. Oh oui, je veux brûler avec toi, je le veux si fort, si fort … Laisse moi cette chance d’essayer encore plus.
« Alors prends des photos pour t’en souvenir lorsque tu seras vieux ! » Je plaisante, mais pas tant que ça, qu’il prenne autant de photos qu’il veut, j’ai envie de faire partie de ses meilleurs souvenirs. De ceux qui te laissent le sourire aux lèvres et le cœur nostalgique quand tu les vois défiler encore et encore sur ces images. Je veux laisser une marque indélébile, qu’il sache à quel point il compte pour moi-même si je le fais mal, tellement mal, que je nous blesse au passage. Sa peau qui frissonne et l’envie de son regard sont mes récompenses, un signe même léger que je lui provoque encore et toujours ce besoin de me toucher, de me garder auprès de lui. Car après, que se passera-t-il ? Un abandon en bonne et due forme ? Mise sur liste noire ? Un arrêt complet du cœur me fera certainement moins mal. Je pourrais y prendre goût … Oh oui, tellement. Le sable, la plage, le soleil, le vent dans mes cheveux, Alby contre moi, pour plus longtemps que lors de nos instants fugaces envolés dans la nuit. Je vois qu’il regrette aussitôt qu’il me le demande, qu’il craint la réponse autant que moi. Que pourrais-je dire ? Non, ce n’est pas grave, pas du tout, parce que je me sens terriblement bien. J’ai envie de répondre, je veux lui répondre, mais je m’occupe rapidement les mains en ouvrant la bouteille, ce n’est pas le bon moment pour ce genre de révélations. Première gorgée, une deuxième, je lui tends la bouteille pour ne pas faire, l’égoïste que j’ai tendance à être avec l’alcool. « Viens avec moi, je n’aurais pas froid. » Je murmure à son intention, les yeux attirés par mon écran de téléphone.

Je dégringole face à la douche froide ressentie, je déchante, je n’assume pas, j’ai peur. Je ne mens pas, mais il le prendra pour une réelle trahison. Je soupire, demandant à Alby de me retenir dans le présent, ici et avec lui, m’accrochant à cette relation comme à une bouée en pleine mer. Un instant silencieux, j’ai peur qu’il ne me dise de partir, d’aller le rejoindre, d’e rester là et tout arrêter. Sur le point de renoncer à sa réponse, c’est finalement ses lèvres qui trouvent les miennes. Calmant les battements d’un cœur effrayé, il gomme lentement les contours de Clifton pour poser ses propres frontières et je m’accroche, nouant les bras autour de sa nuque, avançant mon corps pour qu’il rejoigne le sien, que ma peau s’enflamme avec son contact. « Bien essayé. » Je murmure à son oreille, savourant les notes de son parfum désormais familier et tant apprécié. « Mais ce n’est pas une parenthèse. Je ne veux pas effacer. Je veux avancer. » Avec toi. Mes lèvres se déposent dans son cou, je laisse l’objet démoniaque me reliant à Clifton à sa place et l’ignore autant que je le peux, mes baisers traçant un sillon de son cou à sa joue et encore une fois ses lèvres, plus fort, plus passionnée, plus … « Oui, ce voyage est un véritable défi. Mais tu sais quoi ? Je le relève avec toi. Je suis ici, Alby ! » Je souris, si proche de ses lèvres, l’envie de lui communiquer mon courage et ma force à travers ce lien infime et invisible entre nous. « Est-ce que tu te rends compte que tu as réussi à m’emmener loin de chez nous ? » Exploit à souligner, remarquer, hurler sur tous les toits. Gamine du Texas pas souvent partie sans ses meilleurs amis, je me retrouve à Miami avec un mec qui me fait vibrer depuis deux ans. Je me relève, attrapant la bouteille pour en boire quelques gorgées et tendre ma main à cet homme qui me soutient sans en avoir conscience. « Viens. » J’ordonne d’un sourire lubrique, le tirant à moi pour nous emmener dans l’eau, grimaçant en mettant le pieds dedans, jusqu’à m’enfoncer de plus en plus loin, le regardant avec toute la tendresse et l’affection du monde. Il me retourne la tête, je ne peux pas nier l’évidence. Nouveau sourire, nouveau regard pétillant, j’élimine les doutes pour me concentrer sur le présent. Me lançant sur lui comme une sauvage, essayant de le couler sans y parvenir, sans blague Sierra, tu fais pas le poids ! Je rigole, essayant encore avant d’abandonner, enroulant mes jambes autour de sa taille, me retenant par mes mains posées sur ses épaules. « Tu vois, ce genre de truc, je ne veux pas l’oublier une fois rentrer. » Je marque mes paroles d’un baiser léger, savourant une nouvelle fois notre proximité. « Et je n’ai pas envie de me décoller de toi non plus … » Je me presse davantage contre lui, oh non, je ne peux pas revenir en arrière à présent et se passera à Clifton ce qu’il se passera, mais nous en sommes encore loin. « On a beaucoup parlé de ce que je voulais faire … Mais qu’est-ce que tu veux, toi ? » Je demande sans être précise, lui laissant le pouvoir de me parler de nous ou juste de notre séjour. « Je te promets de ne pas partir à plus de 2cm de toi, quoi que tu dises. »



avec @Alby Forsyth


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Ven 19 Avr 2024 - 15:46


Alby Forsyth
Alby Forsyth

THE PYTHON

le clair
Surnom : The Python, c'est comme ça qu'on l'appelait dans l'octogone. Sinon le classique Al' et parfois Fors' quand son nom est "trop long à dire"...
Age : Trente-six ans.
Adresse : Le loft qu'il s'est aménagé au-dessus de son gymnase à Holly Hills.
Labeur : Ancien combattant de MMA, il a fraichement ouvert son propre gymnase où il dispense des cours de boxe, essentiellement adressés aux jeunes.
Coeur : Célibataire et hétéro. Sa vie ne s'est jamais vraiment prêtée à construire quelque chose de durable avec quelqu'un. Pourtant il aurait bien aimé.
Berceau : Enfant du pays à l'ADN mixé, il est né à Clifton. Il est le fruit d'une union entre un authentique Texan et une Antillaise.
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When you hold me, it holds me together
And you kiss me in a way that's gonna screw me up forever

((atmosphere))

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Pseudo : syl
Pronom : Elle
Fc : Lewis Hamilton
Crédits : anysorrow

Multicompte : Levi Sullivan

Préférences rp : Dialogues en indigo

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For you, I would ruin myself a million little times
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Le souffle coupé, je l’écoute sans oser l’interrompre. Tout ce que je laisse échapper, c’est un soupir en sentant ses lèvres effleurer mon épiderme avec douceur. Je ne suis pas habitué à autant de tendresse, encore moins en public mais je me laisse faire avec docilité. Agréablement surpris mais un peu effrayé aussi.
« T’essayes de convaincre qui là ? » Peu importe. Elle me rappelle qu’elle m’a suivi loin de son berceau et c’est tout ce qui compte. Faut croire qu’elle a finalement réussi à me faire confiance.
Je caresse son ventre du bout des doigts, le regard rivé sur les frissons que j’arrive à faire naître sur sa peau dorée. Sentiment de fierté à l'idée d'avoir semé le trouble dans sa tête. Orgueil très vite teinté de culpabilité alors qu'on s'était promis que ce voyage ne représenterait rien.
« J’étais persuadé que tu te débinerais au dernier moment… Mais c’est vrai que t’es venue. Raison de plus pour te prouver que tu as bien fait », murmuré-je dans son cou en la tirant encore un peu plus près de moi. Sauf qu’à ce jeu-là, c’est moi qui vais perdre.
L’alchimie est trop forte pour ne pas que mes pensées s’emballent et dépassent déjà les limites de ce qu’on peut légalement faire sur une plage. Je suis donc presque soulagé de la voir reculer pour coller ses lèvres autour du goulot alors que je les imaginais déjà encercler autre chose. Je la laisse m’entraîner vers les vagues, persuadé que la fraîcheur de l’eau mettra fin à tout éventuel problème de mec. De toute façon les battements de mon cœur sont là pour me rappeler que ce que je ressens pour elle dépasse la simple attirance physique. C'est bien plus que ça. Et c'est justement ce qui complique tant les choses.
Je pourrais passer ma vie entière à la regarder rire tant ça me rend heureux de la voir enfin sourire. J’adore la regarder se démener comme un diable pour essayer de me déséquilibrer. Mais même dans l’instabilité du sable, je reste ancré, essuyant chaque attaque avec une facilité agaçante. « C’est pas comme ça que tu m’auras », je la préviens entre deux ricanements, du sel plein les yeux, du miel plein la poitrine. Et puisqu’elle rend les armes, je la laisse se lover contre moi, les mains aussitôt greffées à ses hanches, le regard noyé dans le sien. Regard tout aussi intense que le mien mais bien plus lumineux.
Elle rayonne, ma Sierra. Elle rayonne si fort qu'elle est en train de m’éblouir.
« Alors faisons en sorte que ces deux jours restent gravés dans nos mémoires. » Je lui rends son baiser avec plus d’intensité, à nouveau rattrapé par tout ce qu’elle réveille en moi. « Je te veux toi », que je réponds spontanément en resserrant mes bras autour d’elle. « Et pour une fois que je t’ai pour moi tout seul, je compte bien être égoïste et en profiter au maximum », continué-je avec un brin de malice. « D'ailleurs on doit toujours immortaliser tout ça. »
Je la lâche d’un coup, profitant de l’effet de surprise pour la rattraper et la porter hors de l’eau, un bras dans son dos, l’autre glissé dans le creux de ses genoux.
Je la ramène sur la plage, le cœur plus léger maintenant que je sais qu’elle ne regrette pas de m’avoir écouté. Je m’en serais voulu si ça avait été le cas. Mais nos barrières tombent une à une, la distance avec Clifton aidant sans doute. Il n’y a aucune place pour les vieilles habitudes ici. C’est une page blanche sur laquelle on peut écrire tout ce qu’on veut.
Les cheveux encore dégoulinants, je ne prends même pas la peine de me sécher pour attraper mon téléphone et la prendre en photos tout en avalant quelques gorgées d'alcool à la dérobée. « Aie l’air méchante », que je blague en imitant le photographe de tout à l’heure, me prenant un peu trop au jeu jusqu’à ce que je fasse une pause pour admirer mes clichés. « Pas dégueu. Viens par là ! »
Un bras tendu vers elle, je l’attrappe par la taille pour la coller à moi. Caméra retournée, je prends notre premier selfie. Le seul et peut-être le dernier. Celui que je garderai jalousement et que je ne regarderai que quand j’aurai vraiment besoin de me rappeler que je n’ai pas rêvé. Le reste sera gravé dans mes souvenirs comme un rai de lumière au milieu des ténèbres de ma mémoire.
« Et maintenant, par pitié, dis-moi qu’on peut retourner à l’hôtel. J’ai changé d’avis, je tiendrai pas jusqu’à ce soir. »

avec @Sierra Moore


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Mar 23 Avr 2024 - 15:51


Sierra Moore
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Sa peau m’appelle, irrésistiblement. Je ne suis plus capable de me tenir sagement, le besoin d’être contre lui étant toujours plus fort. Le coup de grâce, c’est lorsque ses yeux s’ancrent en moi, attise le feu qui grandit dans mon ventre, m’enflamme complètement lorsque je joue de mes formes devant ses yeux, pour le plaisir de garder des souvenirs de nous, de tout. Moi aussi, je veux capturer à jamais l’éclat de sa peau au couché du soleil, ses yeux étincelants lorsqu’il me regarde, la douceur de l’air alors que je me marre au lieu de prendre ce fameux air méchant qu’il me demande. Je retiens mon souffle face à lui, face à ce qu’il représente, je retiens les conneries qui sont sur le point de franchir mes lèvres et tout gâcher. Je veux essayer. Parce qu’il soigne avec tant d’attention mon cœur que j’ai envie que ça dure. Etre à lui ? C’est une possibilité que je ne suis pas capable de mettre de côté pour le moment, car son sourire me berce, me réconforte, me donne l’impression que tout est possible si mon cœur reste ouvert à toutes les possibilités. Je me laisser aller contre lui pour observer les clichés, sourit, et n’hésite pas à l’embrasser sur la joue pour cette photo de nous 2. Adolescente dans le cœur, mes yeux brillent plus fort pour lui répondre, attrapant mes affaires pour m’habiller rapidement, prenant une photo au passage, à mon tour, pour garder ce séjour jalousement dans mon cœur, que cette parenthèse compte réellement et ne soit jamais effacée de ma mémoire. Loin de Clifton, loin des problèmes qui m’y attendent, je choisis d’être une gamine insouciante qui profite de son mec le temps de quelques heures, car c’est ce que nous sommes aux yeux de tous ici : un couple qui s’amuse. « Dépêche toi, ou je risque de ne pas attendre d’être à l’hôtel. »
Le dos plaqué contre la porte de notre chambre, mon cœur battant trop vite et la respiration saccadée, je me laisse bercée par le rythme effréné des baisers d’Alby. Ses lèvres se perdent dans mon cou, s’attaquant à ma clavicule, remontant le long de ma gorge pour revenir, je peine déjà à retrouver mon souffle après avoir décidé que l’escalier était mieux que l’ascenseur, et que je lui aurais probablement sauté dessus avant que ce dernier arrive à notre étage. Ici, dans l’obscurité de notre chambre, je le laisse emporter un morceau de mon cœur sans qu’il ne le sache. Cet instant compte bien plus que ce qu’il ne croit, laissant les lumières de la ville en contrebas illuminé notre moment, je ne prends même pas la peine d’allumer la lumière. Notre passion suffit, nos regards suffisent, et je sens le sien avant même de le voir. Prenant tout mon temps pour retirer mon débardeur encore mouillé, laissant mes cheveux davantage désordonnés, je me sens si belle devant lui que je veux prendre tout mon temps. Je laisse retomber mon vêtement, laissant le haut de mon bikini en place tandis que je le pousse vers le lit. Je prends le temps de m’habituer aux lueurs tamisées de l’extérieur, les rideaux totalement ouverts pour garder cette sensation folle de ne plus me cacher avec lui. Je me dégage de mon short, retombant lentement sur le sol au rythme de mes hanches. Je calme le jeu à ma manière. J’aide mon amant à se débarrasser de son haut, silencieuse, fiévreuse, passionnée. Mes mains se posent contre ses abdos, le caressant un instant rien que pour le plaisir de les sentir se contracter sous mes paumes avant de glisser plus bas pour effleurer le tissu de son jeans. « Je ne compte pas te laisser dormir, cette nuit, même si on ne bouge pas d’ici. » je murmure sans reconnaitre ma propre voix, chargée de cette même envie qui nous emporte tous les deux. Je le laisse se débarrasser de son pantalon, savourant la sensation de retrouver ma peau contre la sienne pour nous consumer. Mes lèvres retrouvent les siennes tout le caressant lentement, son désir me faisant toujours autant frissonner. « On devrait peut-être prendre une douche, d’abord … » Et j’accompagne mes mots de mes gestes, dénouant habilement le haut de mon maillot de bain pour le laisser se glisser entre nous, retomber sur le sol en me révélant une nouvelle fois à ses yeux. Et je ne m’en lasse jamais de ce regard. De cette flamme lorsqu’il me détaille car je fais la même chose pour lui. Passant ma langue sur mes lèvres, je m’écarte afin de trouver le chemin de la salle de bain, me glissant à l’intérieur pour retirer la dernière pièce de tissus sur moi et la lancer sur Alby en guise d’invitation silencieuse. Je ne l’attends pas pour laisser couler l’eau sur ma peau, remettant un peu d’ordre dans mes cheveux avant qu’il ne me rejoigne, me permettant de le regarder autant que je le souhaite avant qu’il ne fonde sur moi. « Je ne me lasserais jamais de la vue. » Je souris contre ses lèvres, me laissant emporter par la fièvre entre ses bras et parcourant son corps de mes mains.


avec @Alby Forsyth





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Mer 24 Avr 2024 - 11:51


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Coeur : Célibataire et hétéro. Sa vie ne s'est jamais vraiment prêtée à construire quelque chose de durable avec quelqu'un. Pourtant il aurait bien aimé.
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Nos souffles avinés se mêlent alors que mes lèvres redécouvrent encore les siennes. Inlassablement. Toujours avec la même envie, toujours avec le même émerveillement. Je me laisse bouffer par l’urgence du moment, le cœur pulsant aussi fort qu’après un match, les muscles tendus à l’extrême sous ses caresses. Alors pour éviter de perdre pied, je me raccroche à son regard, ne déviant de ses pupilles que pour admirer ses seins magnifiquement moulés sous le tissu humide. Puis rapidement libérés et offerts à ma vue. Rapidement couverts de mes baisers alors qu’une pluie tiède s’abat sur nous, refroidissant à peine nos corps brûlants.
« J’ai envie de toi », que je souffle dans son cou. Comme si ce n’était pas déjà évident. Comme si elle n’avait pas encore compris qu’elle m’avait déjà fait perdre toute lucidité.
Je me glisse derrière elle, me pressant contre son dos et déposant des baisers sur son épaule. Du gel douche dans la paume, le regard rivé sur sa nuque découverte, je laisse glisser mes mains le long de son dos. Ma respiration est erratique. Je ne sais pas si c’est à cause de ses caresses ou de l’eau qui me frappe de plein fouet mais je me sens prêt à défaillir alors qu’un nuage de vapeur nous enveloppe, cachant les frissons qu’elle fait naître sur ma peau.
Je veux seulement lui appartenir. Je me fiche de tout ce qu’on a pu convenir jusqu’ici. Ce soir, je ne suis qu’à elle.
En arrivant sur ses hanches, je ressens brusquement le besoin de la retourner, de lui faire face. De ressentir à nouveau ses lèvres sur les miennes et de lire tout le désir au fond de son regard. J’ai besoin de vérifier qu’elle me veut autant que je la veux, que ce que je ressens est réciproque.
N’attendant que son consentement silencieux pour me laisser tomber à genoux, j’embrasse alors son ventre, fais glisser ma langue sur ses hanches avant de descendre encore. Sa peau goûte le savon. Ses cuisses se contractent sous la pression de mes doigts. Sa main posée sur mon crâne et le rythme de sa respiration me guident. Je m'applique, me montre attentif et ne m’arrête qu’après l’avoir sentie se tendre un peu plus fort, qu’une fois certain que tous ses muscles brusquement crispés par le plaisir se soient enfin relâchés.
L’égo gonflé d’orgueil, je me redresse alors, sourire aux lèvres en admirant son corps nu. La seconde d’après, elle se retrouve plaquée contre la paroi carrelée, mes mains trouvant leur place sous ses fesses tandis qu’elle enroule instinctivement ses jambes autour de ma taille. Je la sens s’agripper de toutes ses forces à ma nuque lorsque je m’immisce tout doucement entre ses cuisses, n'essayant pas de retenir le grognement de satisfaction qui me vient en me retrouvant totalement en elle. La vision de plus en plus brouillée à chaque nouveau coup de reins, le souffle de plus en plus court, je ne cherche pas à résister plus longtemps et rends les armes dans un dernier soupir.
Même pour un athlète de haut niveau, ça restait sportif. Le cardio poussé au max par l’effort… peut-être un peu aussi par les sentiments qui se sont si douloureusement accumulés dans ma poitrine.
Le pouce logé sous son menton, je lui fais relever les yeux vers moi pour l’embrasser doucement, avec retenue. La passion et le désir ont été remplacés par une tendresse mesurée. Je crains que le moindre geste brusque ne fasse tout voler en éclats alors que j'ai encore envie de profiter de la magie du moment.
« Je ne suis pas sûr d’avoir envie de rentrer à Clifton. » En fait, je n’ai plus aucune envie de partir d’ici. Je me surprends même à imaginer ce qu’il se passerait si on ne remontait jamais dans cet avion. Si on se faisait tous les deux oublier, fuyant nos vies au Texas pour rester en Floride. Mais je sais que c’est impossible.
Je finis donc par reculer pour achever de me savonner et l’abandonne sous le jet d’eau, me couvrant d’un peignoir avant de retrouver la fraîcheur et l’obscurité de la chambre.


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Mer 24 Avr 2024 - 16:17


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l'obscur

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For you, I would ruin myself a million little times
((atmosphere))

Être dos à lui me rend vulnérable. Lui faire confiance pour ce genre de gestes n’a pas été difficile, pourtant. Dévoilant mes cicatrices, le laissant me toucher, glisser ses mains partout sur ma peau, sentir ce contact qui m’a toujours fait frissonner, peut-être plus fort aujourd’hui. Il ne lui suffit que de quelques mots supplémentaires pour que mes sens soient totalement éveillés à la luxure de l’instant. Je ne pense pas qu’il soit conscient de ce qu’il réveille dans mon cœur, que sa tendresse me rend bien plus vulnérable que le simple fait de me retrouver dos à lui complètement nue. Je veux t’aimer, je veux t’aimer, je veux vraiment t’aimer, hurle mon cœur meurtri face à la tendresse de ses gestes en me passant du gel douche, ses doigts se font possessifs sur mes hanches et je pivote aussitôt vers lui. Brûlante de désir, mes yeux plongent directement dans les siens, me perdant dans le brun des siens, me gonflant le cœur d’un sentiment trop fort, trop dangereux, trop difficile à maitriser pour que je l’évoque à voix haute. Souriant en imaginant la suite lorsqu’il se met à genoux devant moi, mon accord est donné aussitôt en posant mes mains sur sa tête, incapable de retenir mes soupirs et gémissements, incapable de me contenir face à l’intensité experte dont il fait preuve. Il me connait par cœur, il connait mon corps, la moindre de mes hésitations, la moindre de mes envies, et, surtout, comment me mener droit sur un plaisir sans limite lorsqu’il s’agit de nos deux corps entrant en contact. La respiration saccadée, mes gémissements redoublés, ma tête rejetée en arrière et les yeux fermés, la pression se fait plus forte au fil des secondes, jusqu’à ce que je rayonne complètement sous ses attaques habiles, ne me laissant que peu de temps pour reprendre mes esprits avant de le voir fondre à nouveau sur moi, debout, beau comme jamais, me laissant rougissante en l’observant à mon tour. Avide de la suite, mes jambes trouvent rapidement leur place autour de lui, lui laissant la place nécessaire pour se glisser en moi, tandis que je m’accroche de toute mes forces autour de sa nuque, comblée de le ressentir, haletante du désir que je ressens pour lui, je n’hésite pas à onduler les hanches pour mieux accompagner ses mouvements, faisant redoubler mes gémissements, m’offrant corps et âme à lui ce soir, lui laissant prendre possession de mon cœur entièrement. Car il a réussi, oui il a réussi à y laisser une trace indélébile que je vais chérir à jamais.

Je lui rends au centuple ce qu’il me donne, accompagnant chacun de ses soupirs jusqu’au dernier, gardant mes yeux rivés dans cette infinie tendresse qu’il m’offre et que je donne en retour. Si seulement il était capable de lire entre les lignes, de comprendre que je viens de lui donner ce morceau de moi sans que je ne sois obligée de lui dire … Mais pas un mot ne franchi mes lèvres, j’ai envie de me coller contre lui, de me laisser bercer par les battements de son cœur toute la nuit. Non, je ne veux pas partir non plus, je veux rester dans cette bulle à tout jamais. Mais c’est impossible. Impensable. Pas alors que ma mère compte sur moi pour maintenir sa stabilité mentale, pas alors que mes meilleurs amis occupent une place si importante dans mon cœur. J’ai trop à laisser derrière moi que pour partir sans me retourner, et Alby le sait. Je ne dis rien, et là se trouve certainement mon erreur. Sans un geste de plus, il termine de se laver pendant que je l’imite de mon côté, et se retire dans notre chambre, me laissant seule pour ruminer mes pensées. Frustrée d’être incapable de trouver les mots juste, je termine rapidement de laver mes cheveux et les brosser, m’enroulant à mon tour d’un épais peignoir pour le retrouver appuyé contre le balcon de notre chambre, le regard perdu dans le vide et les lumières de la ville qui nous a vu nous enflammer comme des ados ce soir. Je prends une profonde inspiration pour le rejoindre, encore incertaine de ce que je vais dire et de comment l’aborder, m’approchant silencieusement pour poser ma tête contre son bras en observant la ville à mon tour. « Tu sais, les femmes n’aiment pas être abandonnée sous la douche non plus, c’est juste un conseil … » J’entame en faisant référence à cette nuit où je me suis réveillée seule dans son lit à Clifton. « Mais je n’ai aucune envie que tu l’appliques avec une autre, cette fois. » Je murmure un ton plus bas. Je n’ose pas le regarder, lui, mon cœur battant comme si nous venions de faire l’amour une deuxième fois. Mes révélations sont trop fortes, trop criantes de vérité sur ce que je ressens en ce moment et de ce que je souhaite. Les yeux rivés sur la ville, l’esprit encore embrumé de nos ébats et de ce sentiment d’abandon que j’ai pu ressentir en le voyant retourner vers notre chambre sans un mot. Je fixe l’horizon, la tête toujours négligemment contre son bras, savourant la brise qui nous apporte le parfum de l’océan. Je fini par enrouler mes bras autour de lui dans une étreinte pleine de tendresse, loin de la fièvre qui m’habitait depuis ce matin. « Aimerais-tu que je sois totalement à toi, chez nous ? » Je murmure si bas que je ne suis pas certaine d’avoir été entendue, mais peu importe sa réponse, je connais la mienne.


avec @Alby Forsyth





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Jeu 25 Avr 2024 - 11:41


Alby Forsyth
Alby Forsyth

THE PYTHON

le clair
Surnom : The Python, c'est comme ça qu'on l'appelait dans l'octogone. Sinon le classique Al' et parfois Fors' quand son nom est "trop long à dire"...
Age : Trente-six ans.
Adresse : Le loft qu'il s'est aménagé au-dessus de son gymnase à Holly Hills.
Labeur : Ancien combattant de MMA, il a fraichement ouvert son propre gymnase où il dispense des cours de boxe, essentiellement adressés aux jeunes.
Coeur : Célibataire et hétéro. Sa vie ne s'est jamais vraiment prêtée à construire quelque chose de durable avec quelqu'un. Pourtant il aurait bien aimé.
Berceau : Enfant du pays à l'ADN mixé, il est né à Clifton. Il est le fruit d'une union entre un authentique Texan et une Antillaise.
illicit affairs 8pxb

When you hold me, it holds me together
And you kiss me in a way that's gonna screw me up forever

((atmosphere))

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Pseudo : syl
Pronom : Elle
Fc : Lewis Hamilton
Crédits : anysorrow

Multicompte : Levi Sullivan

Préférences rp : Dialogues en indigo

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For you, I would ruin myself a million little times
((atmosphere))

J’ai subitement l’impression d’étouffer. Asphyxie habituelle de quelqu’un qui pense trop. Je fuis l’atmosphère feutrée de la chambre pour me pencher sur le balcon. Attiré par le vide. Fasciné par les lueurs de la ville qui semblent scintiller plus fort qu'ailleurs. L’oxygène recommence à brûler mes poumons, l’air salin à picoter mes joues.
Combattant dans l’âme, ma vie ne semble trouver de sens que lorsque j’ai quelque chose contre lequel batailler. Une lutte perpétuelle, un sentiment si familier qu’il en devient presque rassurant. Je sais faire face à l’adversité. On m’a toujours appris à réagir, ignorer ou contre-attaquer, mais personne ne m’a jamais expliqué ce qu’il fallait faire lorsque tout va bien. Au lieu d’être heureux, chaque bonheur ne soulève que de nouveaux doutes en moi.
L’impression que c’est trop beau pour être vrai. La certitude que ça ne peut pas durer. L’horrible sensation que je n’ai pas le droit de me réjouir au risque de tomber de trop haut quand tout s’arrêtera. Parce que tout s'arrête toujours.

La cause de toutes mes inquiétudes me rejoint. La cause de ce bonheur que je ne sais pas comment appréhender. Sierra. De la timidité dans le regard, de l’hésitation dans la voix. Elle me sermonne gentiment, me faisant remarquer que je n’ai une fois de plus pas agi comme elle l’aurait espéré. Pourtant elle est encore là. Quand je m’enfuis, elle me rattrape toujours. « Mauvaise habitude », soufflé-je dans un sourire contrit avant de hausser un sourcil en écoutant la suite. « Je ne suis pas sûr de te suivre… » Pourtant ça paraît limpide mais je préfère remettre ma compréhension en doute.
Ça n'aurait pas de sens. Pas alors qu’elle ne savait même pas si elle allait réussir à m’accompagner à Miami. Pas après la dernière discussion que nous avons eue chez moi. Pas après avoir paniqué comme elle l’a fait sur la plage.
Mais elle éteint mes interrogations d’une étreinte. Ses bras entourant mes épaules, me forçant à pivoter pour lui faire face, elle me répond par une question. Incertaine. Effarouchée comme je ne l’ai jamais vue. « Sierra… »
C’est si imprévisible, si soudain, que sur le moment, je ne sais pas quoi répondre. Mais c’est habituel que les mots me manquent. J’ai toujours été doué pour le silence.
Je me repasse en mémoire tout ce qu’on a pu se dire lors de nos dernières confidences nocturnes, comprenant de moins en moins ce revirement inattendu. « T’as pas le droit de me demander ça. »
Je réfléchis encore quelques instants, écartant ses bras de ma carrure pour lui saisir les mains et triturer nerveusement ses doigts entre les miens. « Évidemment que j’aimerais t’avoir pour moi tout seul mais… » Le cœur au bord des lèvres, je dois rassembler toutes mes forces pour réussir à poursuivre. « Je ne veux pas que ce soit le cas. Parce que tu m’as fait promettre de ne pas te couper les ailes. »
Résigné, je l’attire vers la chambre toujours plongée dans la pénombre. Je l’invite à me rejoindre au bord du lit, prenant son visage en coupe et me forçant à lui sourire pour ne surtout pas l’alarmer. « Et je ne veux pas que tu me donnes l’occasion de le faire. »
Mes mains glissent de ses joues jusqu’à l’arrière de son crâne alors que je colle mon front au sien, les yeux clos et le palpitant qui s’emballe. « Je tiens trop à toi pour ça... »
Elle n’est pas faite pour vivre en cage et je sais qu’elle finirait forcément par en ressentir l’impression. Et puis quoi ? Est-ce qu’elle ne risque pas de prendre peur ? Quand je vois à quel point c’était une épreuve pour elle de me suivre ici, à trois heures de vol seulement, pour passer deux misérables jours loin de chez elle… Je n’ai pas le droit de lui demander plus. Pas maintenant. C’est trop tôt et je ne suis pas sûr qu’elle réalise vraiment ce qu’elle me propose.
A nouveau, je me recule. Cette fois pour me laisser tomber sur le matelas, regard rivé vers le plafond alors que mon esprit bouillonne de questions. « Ça voudrait dire se montrer ensemble ? Tu te verrais t’afficher avec moi ? Devant tous ceux que tu connais… Clyde ? »
Il y a quelques jours à peine, elle parlait de lui comme si personne n’allait jamais pouvoir le détrôner. Et même si elle décidait de me donner ma chance, rien ne me prouve qu’il la laisserait faire. Je sais l’influence qu’il a sur elle et je sais aussi qu’il n’aurait qu’à lever les yeux au ciel pour la faire douter, qu’un mot à dire pour fragiliser ce qu’on essaierait de construire. Et il aurait raison de s’opposer à nous s’il ne veut pas voir Sierra changer.

avec @Sierra Moore




DISCIPLINE
noun [ C ] di.siˈpli.nə/

the act of doing things you don't want to do as if you love doing them.

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Jeu 25 Avr 2024 - 14:45


Sierra Moore
Sierra Moore

COEUR SAUVAGE

le clair
Surnom : Zira, entre les lèvres de sa mère - Sun dans la bouche des inconnus au bar
Age : 27 ans, l'année supplémentaire approchant avec la date du 10 juillet.
Adresse : Une petite maison à la façade défraichie et aux châssis en bois usés dans le quartier de Midtown.
Labeur : serveuse - Coyote - au Wild Coyote Saloon
Coeur : Si libre, si sauvage, si indomptable ... On me compare souvent à un mustang. La seule personne qui peut y prétendre n'a pas ce genre de sentiment pour moi.
Berceau : Des santiags aux pieds et un bandana sur la tête, je ne connais que Clifton, le Texas est mon âme.
illicit affairs N7sa

Don't blame me, love made me crazy
If it doesn't, you ain't doin' it right
Lord, save me, my drug is my baby
I'll be usin' for the rest of my life


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Pseudo : Nadou'
Pronom : Elle
Fc : Madelyn Cline
Crédits : lumossolem & pinacolana gifs

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tw. rejet




For you, I would ruin myself a million little times
((atmosphere))

J’avais fixé des règles, j’avais tout cadenassé soigneusement afin de mettre des limites claires. Mais j’ai tout mélangé, finalement. Sa réaction me blesse autant que je le comprends. Je serre ses doigts en retour, si fort entre les miens, parce que c’est quelque chose à quoi je m’accroche. Il a raison, je lui ai demander de me promettre des choses et ça … Ce que je demande ce soir, ça dépasse tout ce que j’ai placé dans cette relation non officieuse. Je cherche ses yeux des miens, avec un besoin si fort de voir les siens, fenêtre de notre âme, pour essayer d’interpréter ce qu’il se passe dans sa tête. J’y lis le chaos que j’ai lancé, j’y lis toute ma bêtise et je regrette d’avoir ouvert la bouche, alors que je pensais être sincère, honnête avec moi-même. Il ne me croit pas, il ne le veut pas et la violence de ce rejet me rend fébrile. Un long frisson me parcoure l’échine tandis que je sens mon cœur freiner brusquement, est-ce ici que tout s’arrête ? Ce « mais » annonciateur des pires choses que je puisse entendre, et je m’y prépare en fermant très fort les yeux pour ne plus le voir, pour ne sentir que le contact de sa peau contre la mienne et essayer de faire passer plus facilement la pilule. Assise sur le lit, je reste silencieuse alors que ses mains entourent mon visage, m’arrachant un sourire à ce contact. Je crève de trouille, j’ai si mal, je suis trop abîmée pour vivre ce genre de choses. Pas assez forte pour accuser le coup, son sourire m’apparait trop factice pour être réel et je ne suis pas capable de lui répondre. J’ai mal, putain ça fait trop mal. « Alors laisse moi essayer de le faire … Pour nous … » Je me pince les lèvres. Je ne pleure pas devant les autres. Je ne vais pas pleurer devant lui. Même si j’en crève d’envie, parce qu’il vient de me retourner le cœur.

Je fais des conneries, beaucoup, je le sais. Tomber amoureuse de Clyde était une connerie, lui laisser autant de pouvoir une autre, me laisser si longtemps dans les bras d’Alby en pensant que j’allais gérer aussi. C’est certainement plus facile parce que je suis loin, que je sais qu’il est énervé, mais je suis loin de Clifton et tout me semble possible. Je regarde Alby s’allonger sur le lit, le laisse poser ses questions, légitimes en effet. « Je … » Je commence sans poursuivre. Pour une fois, je ne trouve pas les mots. Abîmée par la vie, j’ai toujours été capable de trouver la bonne défense verbalement, là, ici, ce n’est pas une défense qu’il me demande mais la vérité. Je me relève, tournée vers la vitre amenant vers le balcon, les bras croisés sur la poitrine. « Clyde … Il sera toujours important. » J’affirme, je ne peux pas le nier, il était là après les cicatrices dans mon dos, il les a vues pendant ce lent processus de guérison. Il est là depuis le départ. Et il doit revenir à cette place de meilleur ami qu’il a depuis toujours. « Je ne peux pas te mentir. » J’ajoute tristement. Comment lui dire que, malgré tout, en m’amenant ici c’est une place qu’Alby s’est creusée dans mon cœur. Je n’aurais jamais fait ça pour personne d’autre, mis à part Clyde … Mais est-ce qu’il en a conscience seulement ? « Tu vas mal le prendre … » Je souris en me tournant vers lui, car il n’y a pas d’autres moyens de lui dire. Je commence à marcher dans la chambre, nerveuse, sans poser les yeux sur Alby. « J’ai rarement quitté Clifton, parce que c’est quitter ma mère avant tout. Ensuite, ouais, c’est Clyde. Les seules fois où je suis partie, j’étais avec lui. C’est comme ça, je ne pouvais pas me sentir en sécurité autrement. » Je soupire, m’assois sur le bord du lit en lui tournant toujours le dos. « Et malgré ça, je suis ici. Maintenant. » Je marque un silence, pesant mes mots. « C’est peut-être insignifiant pour toi, mais c’est énorme pour moi. Je suis avec toi, uniquement toi, ici et maintenant. Clyde n’est pas là, il sait que je suis avec toi, il n’est pas bête. Et au lieu de céder à cette putain d’envie de l’appeler pour le rassurer depuis la plage, je reste à toi, uniquement toi. » Nouveau silence, je me frotte le visage de mes mains, fatiguée de me mettre autant à nue pour être légèrement comprise, bien qu’il puisse faire ce qu’il veut de ces informations. « T’es le seul pour qui je suis montée dans un avion et quitter ma ville, sans lui. » Car je ne suis pas capable de lui dire que ce que je ressens commence à m’effrayer. Que peut-être que mes souhaits commencent à s’exaucer ou que je me voile peut-être la face depuis un moment. Mais, à nouveau, nous sommes loin de Clifton et de ma réalité habituelle. Peut-être suis-je capable de ressentir tout le bien qu’Alby me fait ici … Mais chez nous ? Je veux croire que je suis capable d’être avec lui, d’aimer un autre. « Ce n’est pas me couper les ailes, si je décide moi-même de les ranger. Tu ne me retiens pas, je m’attache toute seule. » Et je souffre de cet échange, de ce rejet malgré toute la tendresse de son regard. Je refuse d’être aussi dépendante de lui que de Clyde … C’est peut-être une des rares choses saines que je sois capable de faire avec Alby.



avec @Alby Forsyth


Alby Forsyth aime ce message




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Jeu 25 Avr 2024 - 17:24


Alby Forsyth
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Labeur : Ancien combattant de MMA, il a fraichement ouvert son propre gymnase où il dispense des cours de boxe, essentiellement adressés aux jeunes.
Coeur : Célibataire et hétéro. Sa vie ne s'est jamais vraiment prêtée à construire quelque chose de durable avec quelqu'un. Pourtant il aurait bien aimé.
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Mes mots ont l’air de la briser. Au moins autant qu’ils me brisent moi. Mais malgré toutes mes réticences à les prononcer et toute mon envie de m’engouffrer dans la brèche qui vient de s’ouvrir à moi, je reste lucide. Je n’ai pas envie d’être déçu, pas plus que je veux l’écouter me proposer une solution qui sera forcément éphémère.
Même si ces dernières heures étaient parfaites, elles ne sont pas représentatives de ce qui nous attend à notre retour. Ici, personne ne connaît nos histoires. On l’a à peine dévisagée lorsqu’elle est arrivée à mon bras au studio et personne ne nous a accordé le moindre regard dans la rue. Mais je sais que les choses ne se passeront pas de la même façon à Clifton. Parce que tout le monde se connaît. Que Sierra est une figure emblématique du Coyote, que je suis un Bloody et que j’ai mes exploits sportifs qui me collent à la peau. Ça fera forcément parler. Ça dérangera. Parce que personne n’a envie de voir Sierra se poser. Parce que personne ne comprendra ce qu’on fout ensemble. Je peux déjà entendre les remarques qu’on se mangerait. Celles des gars qui l’ont baisée et qui se sentiraient obligés de le rappeler. Les réflexions racistes qui suivront forcément… Puis Clyde. Clyde qui aura droit de vie ou de mort sur notre relation.
Je soupire, dépité par la situation. Anéanti à chaque fois que j’ai le malheur de croiser son regard.
Je l’écoute essayer de me rassurer. De se justifier peut-être aussi. Je n’en sais rien, j’ai l’impression qu’elle est bloquée dans le présent et qu’elle ne réfléchit pas à ce qu’il se passera ensuite. Pourtant j’ai besoin de pouvoir me projeter avant de répondre. J’ai besoin de peser le pour et le contre, d’imaginer toutes les possibilités là où elle se raccroche seulement aux dernières vingt-quatre heures.
Effectivement, elle a fait un pas de géant en m’accompagnant. Et elle est là, elle s’abandonne à moi, me donne l’impression de vraiment compter pour une fois. Mais rien ne me prouve que je ne suis pas seulement une éclipse dans sa vie. Loin des yeux, loin du cœur. Elle a réussi à chasser Clyde de ses priorités le temps de notre voyage mais à l’entendre, cet éloignement forcé est déjà pénible pour elle. Véritable crève-cœur que de ne pas l’appeler alors qu’elle se doit d’être avec moi…
J’enrage. Autant contre moi-même de toujours réfléchir si loin que contre elle de m’avoir agité cette idée sous le nez.
Je me redresse d’un coup, retrouvant l’usage de la parole. Lançant un « Sierra » un peu sec, incapable de l’écouter s’épencher davantage sur le sujet. Ma main se referme autour de la sienne et je lui souris avec une pointe de tristesse dans le regard. « Je sais ce que ce voyage représente pour toi. Ce que ça t’a coûté de me suivre et le chemin qu’on a dû faire avant que tu me fasses suffisamment confiance… Je m’en rends compte, t’inquiète pas. Et je suis vraiment content que tu sois là. T’imagines pas à quel point. » Je me rapproche d’elle de façon à ce que nos cuisses se touchent. « Mais on n’est pas obligés de trancher maintenant. Ça fait deux ans qu’on traîne dans le flou alors on peut attendre encore un peu, tu crois pas ? J’ai entendu tout ce que tu viens de me dire. Mais c’est trop tôt. » Je lâche sa main pour enrouler mon bras autour de ses épaules et la ramener contre mon torse. Je la serre fort. Je respire son odeur qui est différente de d’habitude, souriant en réalisant qu’aucun de nous deux ne ressemble à ce qu’on est normalement à Clifton. « Je veux pas gâcher le temps qu'il nous reste ici avec ce genre de questions. J’ai envie qu’on continue sur notre lancée. Je veux savoir ce que ça fait d’être heureux. » Mes lèvres se posent doucement sur sa joue. J’essaie d’être tendre dans mes gestes à défaut de l’avoir été dans mes paroles. J’ai envie de gommer toute l’inquiétude que j’ai fait naître sur ses traits. Je veux retrouver la Sierra que j’ai embrassée sur la plage. Insouciante et simplement contente d’être là. « On verra bien ce qu’il se passera quand on rentrera. En attendant, je sais que j’ai envie de t’aimer devant tous ces gens que je ne connais pas. Je veux sortir de cette chambre, que tout le monde nous voit ensemble puisqu’on n’a pas besoin de se cacher ici. Et si on y prend vraiment goût, les choses se mettront ailleurs aussi. » Mais plus tard. Quand la réalité nous aura rattrapés et que cette discussion sera plus tangible. Que ce ne seront pas seulement des paroles prononcées sur un coup de tête alors qu’on avait encore du coton dans le crâne après notre partie de jambes en l’air.
Je ne peux pas faire mieux que ça.

avec @Sierra Moore


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Mar 7 Mai 2024 - 11:18


Sierra Moore
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C’est une bataille que j’ai perdue d’avance, une bataille que je n’aurais pas dû commencer à mener ici, à Miami, dans l’ombre d’une chambre qu’on ne verra que cette nuit. Non, c’est une bataille que je dois mener à Clifton, dans notre chez nous, là où tout le monde nous connait. C’est certainement ça qui m’effraie le plus, bien que j’ai toujours réussi à couper le son des jaloux, envieux, haineux. Je me donne entièrement à Alby, lui donnant ce cœur que je n’avais jamais confié à personne de ma vie, comme si bien souligné à Lina avant notre départ ici. Je l’écoute briser mes convictions, je l’écoute même si je n’ai aucune envie de le faire alors que ses caresses se veulent rassurantes. Je ne veux pas me laisser bercer d’illusions, il n’en a simplement pas envie. Est-ce que j’ai envie de continuer ce combat maintenant ? Non. Est-ce que j’ai envie de passer à une autre étape pour ne plus penser que j’étais prête à lui offrir tout de moi ? Oui. Je veux tout effacer, revenir en arrière, les paupières closes en me laissant aller contre son torse. Tu as raison, Alby, ça fait deux ans que ça traine et maintenant que je me sentais presque prête à te donner tout, tu coupes mon élan de la plus belle des manières, me montrant que le problème n’est pas que de moi finalement, mais je n’ose prononcer ces mots à voix haute alors que tout est censé bien se passer ici. Une parenthèse, une bulle … Pas certaine que l’on en sorte vivant malgré tout. J’ai mal de l’admettre, j’ai mal et je n’aime pas cette douleur qui m’emprisonne le cœur comme lorsque je pense à ce que je ressens pour Clyde, à sens unique. Sauf que là, c’est pour Alby. Bravo, Sierra, la mission est réussie et tu ne l’avais même pas encore remarqué avant qu’il ne te rejette pour la première fois. Mais je ne pleure pas, pas une larme ne s’échappe de sous mes paupières fermées, empêchant Alby de lire ma détresse et la douleur qui sont un reflet parfait de ce que je suis à l’instant. J’ai mal. Je ne vois pas d’espoir ce soir, je ne vois pas comment il pourra comprendre que je suis capable de changer, moi aussi, et que ce n’est pas toujours pour du mauvais.

Ces derniers mots sonnent comme des caresses pour m’amadouer, me ramener à lui malgré la dureté des précédents, un soupire quitte mes lèvres. « D’accord. » Je murmure, mais le timbre de ma voix me trahi trop, trop fort, hurlant à qui le veut la douleur qui résonne dans ma poitrine. Je me reprends rapidement, un sourire caressant mon visage avec légèreté pour chasser la tristesse, mes yeux s’ouvrant pour lui faire à nouveau face, déception refoulée au fin fond de ma tête. « Alors, on sort. » Je murmure contre son visage, me remettant rapidement debout pour ne pas être tentée de rester dans ses bras le restant de la nuit. Il veut me voir briller ? Alors le vais le faire. Il veut voir mes ailes déployées ? Allons-y. Je laisse tomber le peignoir devant lui, me retournant directement pour ne pas y lire à nouveau la passion de nos ébats, fouillant dans ma valise pour attraper cette petite robe colorée et pailletée, parfaite pour une sortie en boite. Sous-vêtements enfilés, ma robe suivant le même trajet pour épouser mes légères formes, je me maquille légèrement devant le miroir de la chambre en attendant qu’il termine de se préparer. Il n’est pas tard, même encore très tôt, et je suis certaine que les règles sont les mêmes ici que chez nous : arriver avant 23h ça craint. Je glisse ma main dans la sienne pour sortir de notre chambre, il veut des preuves ? Alors d’accord, je vais lui en donner ce soir.
Le taxi nous dépose devant la boite en question, et je suis ravie de voir que je n’ai rien à envier aux autres filles du coin, robe ou jupe courte, décolleté profond peu importe la taille de leur poitrine, je sors fièrement de la voiture sur mes talons, prête à donner tout ce je renferme en moi sur la piste de danse. Mais avant de m’avancer vers l’entrée, je me tourne, cherche Alby du regard et n’hésite pas à reprendre sa main, encore une fois. Oui, ce sont des inconnus et c’est certainement plus facile de faire les choses ici et d’en profiter, mais l’entrainement est agréable, autant que les picotements qui me parcoure l’échine lorsque nous passons devant les regards de certains. Je lui réserve mes plus beaux sourires, mes plus beaux regards et je veux briller sous ses yeux, rien que pour lui. « Tu veux toujours m’aimer devant tous ces gens qu’on ne connait pas ? » Je demande en me collant contre lui. Cherchant ses yeux des miens pour ne plus le lâcher. « Embrasse-moi. » Je me hisse pour l’atteindre et joindre gestes aux paroles, fermant les yeux une seconde, le temps de ce baiser qui a un goût de trop peur, trop léger pour la passion qui m’embrase à chaque fois que je suis en sa présence. « C’est parti, j’espère que tu es capable de me suivre sur la piste de danse ! » Je chante en prenant sa main pour le diriger droit entre les corps qui s’accumulent devant un DJ.




avec @Alby Forsyth


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