Surnom : Foutez-lui une chemise repassée sur le dos et on lui filerait le bon dieu sans confession, à Angel. El Serpiente le suit telle une ombre, puisqu'il a de ces sourires insidieux capables de convaincre Eve de croquer dans la pomme. Et si on lui refuse : il peut toujours mordre.
Age : trente-sept ans. Il paraît qu'avec l'âge vient la sagesse, puis les mômes, la bonne femme et la maison de banlieue. Dieu soit loué, Angel est épargné pour le moment.
Adresse : Un appartement à Midtown, de ces trous à rats où les cafards et les rats sont des animaux de compagnie. Il aime appeler ça un loft, même si ce n'est qu'une grande pièce aménagée que son proprio n'a pas le droit de louer. Il ne s'en plaindra pas : c'est compliqué de se faire descendre par une fenêtre du troisième étage.
Labeur : Présentez-vous au el garaje del mago et demandez le meilleur mécano, il y a de grandes chances qu'on vous pointe Angel. Il bichonnera votre monture ou votre caisse, sans distinction, et il paraît qu'il est doué pour fidéliser la clientèle. Sergent d'armes des Pobre Diablo à temps plein et cette deuxième casquette est plus lucrative.
Coeur : Encore faudrait-il en avoir un, non ? Organe en berne, palpitant en rade, aorte en miettes. Après l'avoir expérimenté, Angel peut décréter que l'amour n'est pas pour lui.
Berceau : Texas, baby. Gosse de Laredo, jamais vraiment intégré. Juste un gamin de plus avec des parents à chier. Clifton est le berceau de sa renaissance, l'endroit où il a ouvert les yeux pour la première fois et pousser son premier cri : en appuyant sur la détente.
Pseudo : kacsa
Pronom : she/her
Fc : manny montana
Crédits : syl
Multicompte : evangeline bird - jackson graves - dallas behrendt
Préférences rp : ☽ Troisième personne
☽ De 500 à 3000 mots, laissons-nous porter.
☽ dialogue en français ou en anglais, venez comme vous êtes.
l'obscur
tw. violence verbale et physique. allusions au meurtre et à la drogue.
Lamb to the slaughter "You thought you could go free But the system is done for If you listen real closely There's a knock at your front door"
Pluie. Orage. Les roues de la moto menacent de glisser à chaque virage. L’accident gronde à chaque accélération. Il connaît sa bécane. Il se connaît aussi, le Pobre en manque d’instinct de survie. Il connaît ces nuits sans sommeil, ces heures à fixer le plafond ou sa fenêtre dans l’attente d’une libération qui ne viendra pas, qui n’est jamais venue. Sept ans au mitard et même une fois les poignets sans bracelet, son âme est enfermée, barricadée. Éternel taulard d’une prison bien à lui, Angel. Prisonnier de sa propre violence, de ces pulsions irrépressibles, de cette colère dévorante. Il est tellement en colère, Medina. Il est constamment en rage. Voilà ce qui le motive à se lever le matin, ce qui le pousse à faire le boulot sans jamais de remords. Puisque s’il ne leur collait pas une balle dans le crâne, il finirait par s’en foutre une lui-même. Puisque ce sont eux ou lui, et qu’il est égocentrique. Puisque c’est son meilleur moyen de faire s’échapper la pression sans se planter une aiguille dans le bras. Un beau bordel, Angel Medina. Un putain de mort vivant, de ces fils de pute qui n’ont rien à perdre, plus rien à prouver.
« J’croyais qu’c’était pas ton truc. » lance un Pobre, quand le moteur de la moto est coupé. Il pensait pas venir non plus, Angel. Une décision de dernière minute, menée par les fourmillements dans ses phalanges. Elle est revenue, cette salope. Elle a osé se re-pointer dans ce trou et qu’importe que ce soit une urgence. Qu’importe le temps qui s’est écoulé, aussi. Medina est un mec patient, un revanchard dans l’âme et ce ne sont pas quinze années qui effaceront ce qu’elle a fait. Ce ne sont pas des litres de tequila qui l’aideront à oublier. Mais se fracasser les phalanges contre le premier connard venu peut l’aider à passer la nuit, lui éviter de tourner dans son appartement comme un lion dans sa cage. « T’as qu’à parier sur moi. » L’autre ricane, certain qu’il plaisante. Pourquoi Angel irait se faire chier à se battre dans un vieil entrepôt, au milieu d’une foule de chiens assoiffés de sang et de violence ? Parce que là est sa place. Sur le sol sableux et poussiéreux, dans les effluves d’hémoglobine et de transpiration.
Un type s’effondre, dans le simulacre de ring. Une dent saute, du sang éclabousse les bottes de ceux qui se tiennent trop près. Terminé gueule celui qui s’improvise arbitre et quelques parieurs hurlent leur mécontentement. Le poulain est salement amoché mais il tient encore sur ses deux jambes. Il ne faudrait pas abîmer les favoris, si on veut les faire concourir soir après soir. Angel vire son sweat-shirt et lève le bras, pour héler l’organisateur. « Compte-moi pour le suivant. » Cela lui laisse le temps de bander ses poings, de recouvrir ses phalanges de sparadraps pour les protéger. N’en déplaise à Alby et sa salle aux multiples règles : ici, pas de gants rembourrés ou de protège-dents. Les coups ne sont pas retenus, non plus. Ce n’est pas un sport de gonzesses, bien que les Bloody Eagles soient présents. Au moins un, en tout cas, qu’Angel croit reconnaître, le blondinet. « J’savais pas qu’ça faisait aussi l’tapin, ici. » qu’il gueule assez fort pour se faire entendre. « Tu m’suces avant ou après que j’t’éclate la gueule, princesse ? » La violence a meilleur goût lorsqu’elle s’appuie sur la haine et Angel a trouvé de quoi se changer les idées.
They call him the matador. He settles all the scores. He kills in plain sight with a blade and a smile. Well, he'll settle things in the sun. Plays God like the chosen one.
(c) 0tsana
Mer 15 Mai 2024 - 12:10
Malone Sullivan
p e a c eo fm i n d
le clair
Surnom : Mal - surnom qui résonne trop fort le long des murs, trop souvent dans l'intimité qu'offre la nuit, soufflé dans les murmures des exs aux cœurs trompés
Gold - pour les Bloody qui n'hésite pas à lui rappeler le fric qu'il possède.
Age : 28 ans.
Adresse : Un morceau de terrain qu'il a obtenu auprès de son père, il vit dans un mobilhome éclairé par les quelques guirlandes qu'il a tiré ici et là pour éclairer sa façade.
Labeur : Eleveur de chevaux
Coeur : Eternel célibataire, il parait pourtant en couple avec l'une ou l'autre avant de leur briser le coeur avec une troisième fille dans l'équation.
Berceau : Texan d'origine, Clifton c'est à la vie à la mort.
Pseudo : Nadou'
Pronom : Elle
Fc : Rudy Pankow
Crédits : evermorerpg (avatar) gifsbyant (gif)
Multicompte : Sierra Moore
Préférences rp : Rp en français - autour des 700 mots de moyenne, plus si l'inspiration est au rendez-vous
l'obscur
tw. VIOLENCE VERBALE ET PHYSIQUE. ALLUSIONS AU MEURTRE, À LA DROGUE et CONSOMMATION D'ALCOOL
LAMB TO THE SLAUGHTER "you thought you could go free but the system is done for if you listen real closely there's a knock at your front door"
Pas besoin d’invitation pour qu’il monte sur sa bécane, pas besoin d’invitation pour rouler sous le tonnerre, pas besoin d’invitation pour être particulièrement con, une fois de plus. Mais le besoin d’évacuer la frustration se fait plus fort, le besoin d’extérioriser les pensées noires et les pulsions violentes qu’il ne peut projeter sur son paternel, de crainte que son frère et sa sœur n’en paie les dommages collatéraux. L’image de Christian brûle derrière ses paupières tandis que la colère enfle dans sa poitrine, sourd aux demandes de ses proches de rester calme et rentrer chez lui tandis que l’image de cette nouvelle fille à son bras, la bague au doigt, enflamme le peu de conscience qu’il a encore. Un obstacle de plus à faire sauter, une personne de plus à éliminer. Il ne laissera personne se mettre en travers de son chemin, promesse silencieuse faite lorsqu’il a reçu le premier coup de poing de son géniteur en pleine gueule, ce n’est pas ce mariage qui va l’empêcher d’accomplir sa tâche, et tant pis s’il doit faire disparaitre une personne de plus … Sauf si elle fuit avant. Mais comment la faire fuir ? Sans que Christian ne s’énerve contre lui, sans qu’il ne voie clair dans son jeu, sans que ce soit trop visible … Le vrombissement du moteur se faire entendre plus fort tandis que sa route l’emmène vers le nouvel entrepôt accueillant les combats de ce soir. Une échappatoire bienvenue dans le tumulte de ses pensées et de la rage noire qui l’habite cette nuit. Personne ne peut comprendre, personne ne peut entendre, personne ne peut savoir ce qu’il se passe sous le crâne de Malone Sullivan, car révéler ses plans revient à … à le mettre sous surveillance ? Le faire bannir du MC ? Le faire passer par la case prison sans réflexion possible ? Plus libre d’être lui-même, il deviendrait trop dangereux, fou, il s’étoufferait dans sa propre colère et laisserait son paternel gagner.
Le vacarme est la première chose qu’il entend en retirant son casque. Un sourire étire ses lèvres alors que des têtes familières l’entourent, un joint glissant entre ses doigts pour le fumer tranquillement devant l’un des premiers combats. Il échange des conneries avec des gars qu’il connait et d’autres qu’il voit pour la première fois. Il camoufle la colère, la garde pour le moment de monter sur le ring et de jouer de ses poings. Une première bière éveille ses sens, la deuxième le pousse à rejoindre le combat, la troisième l’aide à se dire qu’il est temps. Ses yeux se braquent sur l’ennemi à la seconde où il annonce être le suivant, d’un signe de tête il confirme à cette sorte d’arbitre des bas-fonds de la ville qu’il sera également de la partie, confiant son pull à l’un de ses potes, qui tente de le raisonner. Pas de règles, le premier à terre, la folie le prend de provoquer un Pobre mais l’occasion est bien trop belle que pour laisser tomber. Encore plus belle que d’en retourner une à son père. Il ne répond pas à la provocation, se contente de bander ses phalanges abîmées des combats précédent avec un sourire provocateur en direction de l’ennemi, un vrai, pas un simple mec qu’il va combattre ce soir mais bien un de ceux à qui il rêve d’en retourner une bonne et d’en faire couler le sang, histoire de vérifier s’il est bien rouge également. « T’es un peu trop penché sur le cul toi … » Qu’il grimace de cet air arrogant qu’il aborde avant de se prendre une rouée de coups. « Tu devrais te trouver une fille mec ! » Qu’il termine de bander ses poings avant d’écarter les cordes et de monter sur le ring, le sourire d’un gamin s’apprêtant à faire une connerie sur le visage. « Sauf si c’est pas ton truc … Ah mais oui ! » Qu’il se frappe le front comme s’il venait de se souvenir d’un truc plus qu’important. « J’avais zappé que les Pobre aimaient se branler entre eux. Pas étonnant que vos filles préfèrent se faire sauter par des Bloody. » Qu’il siffle avec toute l’arrogance que le fric lui à donner plus jeune. Parce qu’il se sent pousser des ailes, trop confiant, trop à l’aise, il en oublie qu’il doit maintenir une garde constante une fois les cordes passées, un PB doit se tenir à l’arrière, lui attrapant le pied au moment où l’arbitre de bas étage lance le début de l’affrontement, cet instant où l’adrénaline brûle dans son corps et l’empêche de réfléchir correctement, car il trébuche lorsqu’il veut donner son premier coup, manque de puissance, manque de force, manque de concentration, un manque de tout qu’il se reproche lorsque son poing n’attaque pas le PB avec la hargne qu’il souhaite. Il peste, attrapant seulement l’épaule de l’ennemi sans être capable de la bouger, la déboiter, la casser. Le blond se redresse, vif, attentif, il reprend pied sur terre pour se concentrer sur sa tâche. « Rappelle tes chiens, c’est entre nous ce soir. Pas de PB, pas de Bloody. Pas d’implications des clubs ici. »
When you feel my heat look into my eyes it’s where my demons hide. Don’t get too close, it’s dark inside. It’s where my demons hide. Don’t want to let you down but I am hell bound. Though this is all for you, don’t want to hide the truth + aeairiel.
Mer 29 Mai 2024 - 11:02
Angel Medina
ELS E R P I E N T E
le clair
Surnom : Foutez-lui une chemise repassée sur le dos et on lui filerait le bon dieu sans confession, à Angel. El Serpiente le suit telle une ombre, puisqu'il a de ces sourires insidieux capables de convaincre Eve de croquer dans la pomme. Et si on lui refuse : il peut toujours mordre.
Age : trente-sept ans. Il paraît qu'avec l'âge vient la sagesse, puis les mômes, la bonne femme et la maison de banlieue. Dieu soit loué, Angel est épargné pour le moment.
Adresse : Un appartement à Midtown, de ces trous à rats où les cafards et les rats sont des animaux de compagnie. Il aime appeler ça un loft, même si ce n'est qu'une grande pièce aménagée que son proprio n'a pas le droit de louer. Il ne s'en plaindra pas : c'est compliqué de se faire descendre par une fenêtre du troisième étage.
Labeur : Présentez-vous au el garaje del mago et demandez le meilleur mécano, il y a de grandes chances qu'on vous pointe Angel. Il bichonnera votre monture ou votre caisse, sans distinction, et il paraît qu'il est doué pour fidéliser la clientèle. Sergent d'armes des Pobre Diablo à temps plein et cette deuxième casquette est plus lucrative.
Coeur : Encore faudrait-il en avoir un, non ? Organe en berne, palpitant en rade, aorte en miettes. Après l'avoir expérimenté, Angel peut décréter que l'amour n'est pas pour lui.
Berceau : Texas, baby. Gosse de Laredo, jamais vraiment intégré. Juste un gamin de plus avec des parents à chier. Clifton est le berceau de sa renaissance, l'endroit où il a ouvert les yeux pour la première fois et pousser son premier cri : en appuyant sur la détente.
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tw. violence verbale et physique. allusions au meurtre et à la drogue.
Lamb to the slaughter "You thought you could go free But the system is done for If you listen real closely There's a knock at your front door"
Poings bandés, phalanges protégées. Viendra le jour où il se brisera les doigts, Angel. Viendra le jour où ses os se fissureront sous les chocs à répétition, où quelqu’un éclatera sa belle gueule. Viendra le jour où un Bloody aventureux ou un flic zélé lui collera une balle dans le cœur ou dans la nuque. Viendra le jour où il crèvera comme un chien dans un fossé - puisqu’il ne mérite pas d’autre fin. Il espère juste que la douleur le tiendra éveillé plus longtemps, qu’il arrête de s’endormir. Il espère se prendre assez de coups dans la tronche ce soir pour arriver à penser plus clairement demain. Pour arriver à sortir la tête de l’eau dans laquelle il se noie, océan d’elle dans lequel il coule depuis des années. Puisqu’il a fallu qu’elle revienne, il a fallu qu’elle réapparaisse. Est-ce de la faiblesse que de jouer au plus fort ? Est-ce une connerie que de défier un Eagles ? Ce n’est qu’un gamin, avec une coupe de cheveux approximative. Un petit garçon qui veut jouer les grands pour impressionner les copains, et le Pobre peut lui donner matière à fanfaronner. Puisqu’il a la tête ailleurs et qu’une part de lui rêve de se prendre une droite assez forte pour reposer les pieds sur Terre.
« Tu veux t’battre ou m’raconter ta vie ? » Puisqu’il a une grande gueule, mais peut-être que les réflexions l’ont touchées. Il apprendra à s’en foutre, comme Angel ne réagit pas à ses attaques. Faut dire que les noms d’oiseaux volent quotidiennement et que les habitudes forgent les carapaces. Puis, qu’est-ce qu’il connaît de la baise, le petit, quand sa puberté l’a frappé trois semaines plus tôt ? Absolument rien, à moins que sa mère ne lui ait appris bien des choses.
Les combats illégaux n’ont rien de bien excitant, une fois que les choses sérieuses commencent. Il n’y a rien d’amusant à se tabasser pour le plaisir et si Angel le prend comme un exutoire à ses pensées erratiques, le gamin semble en avoir fait son cheval de bataille. Il bombe le torse comme un paon, désireux d’impressionner les rats de son espèce, s’enlisent de beaux discours sur des règles inventées de toutes pièces. La seule raison pour laquelle Pobre et Bloody ne s’entretuent pas sur le parking est simple : la trouille. La vaste majorité de ces guignols n’ont jamais pointé leur flingue sur quelqu’un, encore moins pressé la détente. Et certains ne savent toujours pas marcher. Parce qu’il se vautre, l’abruti. Il perd l’équilibre sur un obstacle invisible, son poing mollasson n’atteint pas sa cible et il n’y a guère d’os qui craque, sous ses phalanges. Juste le doux son de son humiliation, qu’il tâche de couvrir de vociférations pour sauver les miettes de sa dignité. Angel le pousse, le dégage de deux mains sur le torse pour pas que le môme se vautre sur lui. Le Bloody n’a même pas les pupilles assez dilatées pour accuser la drogue, pas la gueule assez transpirante pour l’alcool. Manque d’expérience, à moins que… « Quoi, j’te rends nerveux ? » Angel ricane, tous les crocs dehors. « J’savais pas que les Bloody recrutaient dès le lycée. » Ils ne savent plus qui prendre et doivent étendre leurs horizons. Bientôt, on verra des femmes porter le cuir et s’occuper des affaires du club, puisqu’ils n’ont aucun mal à les mettre entre les mains de gamins. C’en est presque risible, cet élitisme qui s’étiole avec le temps. Kale gonfle artificiellement ses rangs avec de la chair à canon, prend des gamins qui ne tiendraient pas un demi chargeur dans une vraie fusillade.
Angel renifle un rire. Il se montre grand seigneur. Dieu a dit de tendre la main à son prochain et de l’aider un peu. Comme le Pobre aide le gamin à se faire respecter et se faire pousser une paire de couilles. « Vas-y. » l’encourage-t-il. Il faut bien qu’un vrai mec lui apprenne à frapper, sinon son espérance de vie est drastiquement réduite - et ce ne sont pas les Bloody qui pourront l’aider. « Je te laisse l’honneur de m’en mettre une, avant de te massacrer. » Il écarte même les bras, pour qu’il approche. « Tu me fais la peine, j’te laisse recommencer. »
They call him the matador. He settles all the scores. He kills in plain sight with a blade and a smile. Well, he'll settle things in the sun. Plays God like the chosen one.
(c) 0tsana
Jeu 11 Juil 2024 - 10:06
Malone Sullivan
p e a c eo fm i n d
le clair
Surnom : Mal - surnom qui résonne trop fort le long des murs, trop souvent dans l'intimité qu'offre la nuit, soufflé dans les murmures des exs aux cœurs trompés
Gold - pour les Bloody qui n'hésite pas à lui rappeler le fric qu'il possède.
Age : 28 ans.
Adresse : Un morceau de terrain qu'il a obtenu auprès de son père, il vit dans un mobilhome éclairé par les quelques guirlandes qu'il a tiré ici et là pour éclairer sa façade.
Labeur : Eleveur de chevaux
Coeur : Eternel célibataire, il parait pourtant en couple avec l'une ou l'autre avant de leur briser le coeur avec une troisième fille dans l'équation.
Berceau : Texan d'origine, Clifton c'est à la vie à la mort.
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LAMB TO THE SLAUGHTER "you thought you could go free but the system is done for if you listen real closely there's a knock at your front door"
La colère anime le regard du blond, en rage contre lui-même d’être si idiot alors que la situation était bien trop prévisible. Il aurait dû être plus attentif, aux aguets, on ne peut pas s’attendre à avoir de l’honnêteté venant de ce genre de club. Il le sait, en a conscience jusqu’au fond de son être et, après tout, il n’y a pas vraiment de règles ici-bas non plus. Il plaisante, amuse la galerie, mais il rêve d’en coller une bonne à l’enfoiré qui lui fait face également. Il ne supporte pas qu’on se moque de lui de cette manière, ne supporte pas les regards amusés de ceux qui les entoure ni des vociférations de certains qui ordonne à son adversaire de ne pas laisser trainer les choses et de lui en coller une bonne tout de suite pour en finir. Mais Mal en encaisse d’autres depuis des années, les coups sont devenus trop habituels que pour succomber au premier qui lui sera porté. Il crache sur le sol, agacé par sa propre maitrise de lui et de son manque de concentration face à ce premier coup. Mais il se force à rire face aux commentaires du Pobre, ouais, il les a mériter finalement, car il agit comme s’il s’agissait de son premier combat et de son premier adversaire sur un ring de la sorte. Alors que non. « Ouais, tu me rends nerveux. » Qu’il affirme en relevant son air arrogant pour se planté droit dans celui de l’ennemi qui lui fait face. « J’ai un peu peur que tu profites de ma proximité pour tâter la marchandise. » Qu’il enchaine sans se défaire de son attitude. « C’est pas trop mon truc, tu vois, moi j’aime beaucoup trop les nanas … » Qu’il continue en reprenant une attitude défensive, s’attendant à recevoir le prochain, qui ne vient pourtant pas. Déconcerté, il sent arriver la manœuvre foireuse, l’attitude de ce gars ne lui inspire pas confiance, du tout.
« C’est trop d’honneur. » Qu’il siffle, se demandant encore où était passée la hargne des Pobre. « T’essaie de savoir si j’ai les mains douces ? » Qu’il continue en provocant, essayant d’avoir une réaction, n’importe laquelle. Mais rien, le gars attend, les bras écartés, mais cette fois Malone n’hésite pas plus longtemps, fonce droit sur l’adversaire pour lui coller son poing au niveau du plexus solaire, attaquant fort, forçant à lui couper le souffle en savourant ce coup réussi. Il s’écarte à son tour, laisse l’ennemi reprendre ses forces, attitude défensive qui revient au galop et cet air arrogant qui ne le quittera jamais, il tourne, ne reste pas en place, il ne fera pas l’erreur de baissé sa garde comme il vient de le faire. Le Pobre ne va pas l’épargner, le sang coulera ce soir mais il ne se désignera vaincu que s’il vient à être laissé pour mort sur le sol du ring. « J’crois que tu devrais bosser un peu ton cardio, papy. Je t’aide, si tu veux. » Dit-il en reprenant ses mouvements, jamais deux fois le même, pour ne pas rester trop statique, parfaitement conscient qu’il s’épuise pour rien à part de l’esbrouffe. Il déplie plusieurs fois ses doigts pour les détendre, s’habituer à la douleur que provoque les coups contre ses poings, toujours l’œil rivé en face de lui. « Me rate pas, j’ai pas envie que tu me fasses de cadeaux. C’était trop facile. » Parce qu’il vit pour le combat, vibre pour cette force qui se dégage des voix qui hurlent autour d’eux et des paris qui s’élèvent clandestinement. Le destin est trop bon que pour lui laisser l’opportunité d’abattre sa colère sur un membre ennemi, un véritable test pour savoir si sa force peut servir à mettre plus bas que terre son propre père plus tard où s’il doit encore apprendre des manœuvres vicieuses des autres combattants.
When you feel my heat look into my eyes it’s where my demons hide. Don’t get too close, it’s dark inside. It’s where my demons hide. Don’t want to let you down but I am hell bound. Though this is all for you, don’t want to hide the truth + aeairiel.
Mer 28 Aoû 2024 - 22:33
Angel Medina
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Surnom : Foutez-lui une chemise repassée sur le dos et on lui filerait le bon dieu sans confession, à Angel. El Serpiente le suit telle une ombre, puisqu'il a de ces sourires insidieux capables de convaincre Eve de croquer dans la pomme. Et si on lui refuse : il peut toujours mordre.
Age : trente-sept ans. Il paraît qu'avec l'âge vient la sagesse, puis les mômes, la bonne femme et la maison de banlieue. Dieu soit loué, Angel est épargné pour le moment.
Adresse : Un appartement à Midtown, de ces trous à rats où les cafards et les rats sont des animaux de compagnie. Il aime appeler ça un loft, même si ce n'est qu'une grande pièce aménagée que son proprio n'a pas le droit de louer. Il ne s'en plaindra pas : c'est compliqué de se faire descendre par une fenêtre du troisième étage.
Labeur : Présentez-vous au el garaje del mago et demandez le meilleur mécano, il y a de grandes chances qu'on vous pointe Angel. Il bichonnera votre monture ou votre caisse, sans distinction, et il paraît qu'il est doué pour fidéliser la clientèle. Sergent d'armes des Pobre Diablo à temps plein et cette deuxième casquette est plus lucrative.
Coeur : Encore faudrait-il en avoir un, non ? Organe en berne, palpitant en rade, aorte en miettes. Après l'avoir expérimenté, Angel peut décréter que l'amour n'est pas pour lui.
Berceau : Texas, baby. Gosse de Laredo, jamais vraiment intégré. Juste un gamin de plus avec des parents à chier. Clifton est le berceau de sa renaissance, l'endroit où il a ouvert les yeux pour la première fois et pousser son premier cri : en appuyant sur la détente.
Pseudo : kacsa
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tw. violence verbale et physique. allusions au meurtre et à la drogue.
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Les combats illégaux ne sont pas viables sur le long terme. La fougue juvénile et l’invincibilité factice rendent le spectacle des plus divertissants, au milieu des éclaboussures de sang et de morceaux de dents. Les séquelles s’accumulent et les victoires se font plus rares pour les combattants improvisés, boxeurs de pacotille qui se pensent au-dessus des conséquences. Si les règles sont faites de telle sorte que les deux adversaires doivent en ressortir vivants, Angel a vu plus d’un abruti se bousiller les neurones sous les poings de l’ennemi ou ne jamais récupérer la mobilité dans un membre endommagé. De grands sacrifices pour quelques billets tachés d’hémoglobine et une dose d’adrénaline. Une occupation à laquelle le Pobre ne se serait pas prêté si El Cuervo avait l'amabilité de désigner une cible sur laquelle le chien pourrait épuiser sa rage et sa colère. Sous pression, Medina. Une cocotte-minute sur le point d’exploser si rien ne l’aide à relâcher la pression. « Fais gaffe, à force de répéter que t’aimes les chattes, on va finir par en douter. » qu’il balance au blondinet bavard.
Il aurait dû le voir venir, le coup. Il pensait naïvement que, à l’instar de ses pairs, le gamin allait lui décocher un crochet en pleine gueule. La respiration coupée, les poumons vidés sur le coup, Angel encaisse le coup non sans une grimace. Il sait se battre, le Bloody. Assez pour ne pas chercher à faire couler le sang à tout prix, mais viser des zones plus stratégiques. Un sourire carnassier étire les lèvres du Pobre qui se redresse, gonfle le torse tandis que la douleur s’y diffuse toujours. La souffrance comme une vieille amie, une ancre à la réalité à et ce monde dégueulasse dans lequel se traîne sa carcasse abîmée depuis près de quatre décennies. Ce n’est pas au vieux singe qu’on apprend à faire la grimace, dit l’expression. « Pas mal, petit. » Le compliment reste en suspens, offre une fierté temporaire au gosse auquel il donne le premier point.
Le rictus s’élargit, dévoile les canines du prédateur, tandis que la brebis s’épuise à sautiller dans tous les coins. Le ring improvisé ressemble davantage à un cours de danse classique et boucle d’or brûle son énergie dans le vent, soucieux d’impressionner la galerie bien qu’aucune demoiselle ne soit présente. Comportement typique d’un homme qui a quelque chose à prouver - d’un gosse qui tente de faire ses preuves. Puisque s’il était aussi indispensable, il ne viendrait pas s’abîmer pour quelques malheureux dollars. « On est pas au lycée, tu sais ? ça va faire mal. » La cour de récréation est loin derrière lui, l’époque où les coups étaient retenus aussi. Une moue méprisante sur la gueule, l’oeil brillant d’une patience perverse, Angel le laisse dépenser ses forces. Une attente qui s’égraine au rythme du couinement de ses chaussures sur le sol sale et poussiéreux, et la pluie de l’extérieur s’est faite orage - le tonnerre gronde au loin. « T’as encore beaucoup à apprendre.» Les poings se serrent et se desserrent, sous les bandages qui protègent ses phalanges. Le poids familier de la violence engourdit ses membres, celui d’une vieille arme qu’il ne connaît que trop bien. Il sait encaisser, Medina, depuis qu’il est en âge de tenir sous ses deux pieds. Est-ce que le gamin aura la même force ? « Mais on va commencer ta leçon maintenant.» Et un en instant, son corps se tend. Les muscles se bandent, se compriment comme autant de ressorts prêts à sauter. Une feinte sur la gauche, pour mieux envoyer le poing droit. Direct, coup fulgurant, et le coup s’abat sur la pommette. La vraie douleur, pas un simple souffle coupé. Une vraie souffrance, de celles qui laissent des marques et des hématomes. Il pourrait reculer, le Pobre. S’amuser à un combat au tour par tour, mais où en serait la leçon à tirer ? La rue ne lui fera pas de cadeau, au blondinet, qui devrait s’estimer heureux que l’issue soit plus clémente, ce soir.
Il l’accule, ne lui laisse pas reprendre son souffle. « Tu croyais vraiment que ça allait être facile, hein ? » Ses paumes le bousculent, testent et défient son équilibre, s’assurent de sa résistance. Il le pousse et le fait reculer, attise les braises qu’il voudrait voir se réveiller. Mais cette nuit n’est-elle pas vouée à se terminer comme toutes les autres ? Avec le sang d’un autre sur ses mains et un gamin qui regrettera d’avoir un jour croisé son chemin.
They call him the matador. He settles all the scores. He kills in plain sight with a blade and a smile. Well, he'll settle things in the sun. Plays God like the chosen one.
(c) 0tsana
Lun 30 Sep 2024 - 22:02
Malone Sullivan
p e a c eo fm i n d
le clair
Surnom : Mal - surnom qui résonne trop fort le long des murs, trop souvent dans l'intimité qu'offre la nuit, soufflé dans les murmures des exs aux cœurs trompés
Gold - pour les Bloody qui n'hésite pas à lui rappeler le fric qu'il possède.
Age : 28 ans.
Adresse : Un morceau de terrain qu'il a obtenu auprès de son père, il vit dans un mobilhome éclairé par les quelques guirlandes qu'il a tiré ici et là pour éclairer sa façade.
Labeur : Eleveur de chevaux
Coeur : Eternel célibataire, il parait pourtant en couple avec l'une ou l'autre avant de leur briser le coeur avec une troisième fille dans l'équation.
Berceau : Texan d'origine, Clifton c'est à la vie à la mort.
Pseudo : Nadou'
Pronom : Elle
Fc : Rudy Pankow
Crédits : evermorerpg (avatar) gifsbyant (gif)
Multicompte : Sierra Moore
Préférences rp : Rp en français - autour des 700 mots de moyenne, plus si l'inspiration est au rendez-vous
l'obscur
tw. VIOLENCE VERBALE ET PHYSIQUE. ALLUSIONS AU MEURTRE, À LA DROGUE et CONSOMMATION D'ALCOOL
LAMB TO THE SLAUGHTER "you thought you could go free but the system is done for if you listen real closely there's a knock at your front door"
C’était facile, peut-être de trop, peut-être que l’égo de Mal n’aurait pas dû être aussi loué alors que son poing s’est abattu sur sa cible avec la force qu’il souhaitait lui mettre. S’il avait été plus intelligent, moins sûr de lui, avec plus d’expérience à son actif, peut-être qu’au final l’issue de ce combat n’aurait pas été le même. Il aurait pu comprendre que le sourire servit par son adversaire est de ceux dont il faut cruellement se méfier et être attentif. Erreur de débutant certainement, pas si débutant que ça non plus car il est capable de se battre, il le sait, il s’exécute largement assez pour savoir comment placer ses coups, mais l’aspect psychologique ne le connait pas encore assez, et il se laisse gonfler par la fierté d’avoir placer son coup, se laisse porter par cette ridicule victoire qui ne lui permet en aucun cas de crier victoire dans ce combat complet. « J’ai rien à apprendre de toi. » Qu’il lui déclare farouchement malgré tout, se concentrant une nouvelle fois sur l’adversaire tandis qu’il voit ses poings se fermer et s’ouvrir au rythme du déplacement de ses pieds dans la poussière. Un serpent qui tourne autour de sa proie, attendant silencieusement le meilleur moment pour fondre sur sa proie. Si rapide … Que Malone ne voit pas arriver les premiers coups de l’adversaire. Il le pousse dans ses retranchements, le force à retrouver contenance, plus se concentrer sur son équilibre précaire que sur la force défensive qu’il doit mettre pour le tenir à une distance respectable de lui, histoire de ne pas se payer la défaite la plus cuisante de toute sa vie face à un ennemi qu’il hait de tout son cœur. Ouais, ouais clairement après ce premier coup il a pensé que ce serait plus facile. Qu’il n’aurait pas à s’acharner plus que d’habitude pour que le sang coule et que l’autre crie à la défaite. Il grince des dents, repousse Angel avec la force dont il est capable, essaie de rendre les coups qu’il reçoit pour ne pas se laisser distancier, mais tard, trop tard, il comprend que ses erreurs étaient trop nombreuses que pour remporter ce match. Alors, vu qu’il n’existe pas de règles ici-bas, quelle sera l’issue de ce combat ? Un Pobre … ne jamais leur faire confiance, alors Mal garde tête, refuse de tourner le dos jusqu’à ce qu’il soit complètement acculé, forcé d’admettre que, oui, inévitablement, ce soir il a perdu son combat et que la défaite allait faire mal autant physiquement que mentalement.
Il tente de le déséquilibré, de le faire balancer sur ses appuis afin de reprendre un peu de terrain, dernière astuce qu’il lui reste avant de devoir s’avouer réellement vaincu ce soir. Il essaie, tente vraiment de le faire, mais force est de constater encore une fois : il manque d’expérience. « PUTAIN ! » Qu’il hurle de rage, de colère, de toute la frustration qui le consume aussi farouchement que la haine qu’il éprouve envers les Pobre. Aveuglé de ses émotions, il commet encore une erreur, se met encore en danger, un dernier coup qui se répercute dans tout son corps et il vacille, tangue, tente de rester debout avant de tomber sur le sol pour la première fois depuis longtemps, depuis ses débuts dans les combats illégaux. La haine dans les yeux, crachant sur le sol crasseux du hangar, il ne quitte pas son adversaire du regard pour avouer ce qu’il refuse pourtant d’admettre : « Je me rends. » Pas de jubilation, pas de remarque piquante et amère, rien ne sort de sa bouche, car, pour une fois, il ne se cache pas par un masque. « Alors, Pobre, est-ce que tu as assez d’honneur pour respecter le fait que je me rende ou tu comptes tout de même m’achever ici ? » Qu’il lui demande droit dans les yeux, conscient que l’issue peut-être bien différente pour sa vie. Paumes vers le ciel, montrant qu’il respecte le fait d’avoir été battu ce soir, mais en ce qui concerne la mort … Lui-même hésiterait vraiment longtemps avant de prendre ce genre de décision s’il avait été dans la situation inverse. Tuer un Pobre serait une épine de moins dans son pieds, ce que ce gars doit certainement se dire actuellement …
When you feel my heat look into my eyes it’s where my demons hide. Don’t get too close, it’s dark inside. It’s where my demons hide. Don’t want to let you down but I am hell bound. Though this is all for you, don’t want to hide the truth + aeairiel.
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