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where the devil don't go - adelina

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Dim 5 Mai 2024 - 21:25


Angel Medina
Angel Medina

EL S E R P I E N T E

le clair
Surnom : Foutez-lui une chemise repassée sur le dos et on lui filerait le bon dieu sans confession, à Angel. El Serpiente le suit telle une ombre, puisqu'il a de ces sourires insidieux capables de convaincre Eve de croquer dans la pomme. Et si on lui refuse : il peut toujours mordre.
Age : trente-sept ans. Il paraît qu'avec l'âge vient la sagesse, puis les mômes, la bonne femme et la maison de banlieue. Dieu soit loué, Angel est épargné pour le moment.
Adresse : Un appartement à Midtown, de ces trous à rats où les cafards et les rats sont des animaux de compagnie. Il aime appeler ça un loft, même si ce n'est qu'une grande pièce aménagée que son proprio n'a pas le droit de louer. Il ne s'en plaindra pas : c'est compliqué de se faire descendre par une fenêtre du troisième étage.
Labeur : Présentez-vous au el garaje del mago et demandez le meilleur mécano, il y a de grandes chances qu'on vous pointe Angel. Il bichonnera votre monture ou votre caisse, sans distinction, et il paraît qu'il est doué pour fidéliser la clientèle. Pobre Diablo à temps plein et cette deuxième casquette est plus lucrative.
Coeur : Encore faudrait-il en avoir un, non ? Organe en berne, palpitant en rade, aorte en miettes. Après l'avoir expérimenté, Angel peut décréter que l'amour n'est pas pour lui. Puisqu'Elle l'a vendu. Puisqu'Elle l'a trahi. Puisqu'on ne l'y reprendra jamais plus, à donner sa confiance et son âme.
Berceau : Texas, baby. Gosse de Laredo, jamais vraiment intégré. Juste un gamin de plus avec des parents à chier. Clifton est le berceau de sa renaissance, l'endroit où il a ouvert les yeux pour la première fois et pousser son premier cri : en appuyant sur la détente.
where the devil don't go - adelina 2ca9db0879814ab90b1b6e02da416cab270d53bf

The coward claimed he was a lion
I'm combing through the braids of lies
"I'll never leave"
"Never mind"

where the devil don't go - adelina Z3yt

And I'll still see it until I die
You're the loss of my life



Pseudo : kacsa
Pronom : she/her
Fc : manny montana
Crédits : kiddressources tumblr

Multicompte : douce et belle evangeline

Préférences rp : Troisième personne
☽ De 500 à 3000 mots, laissons-nous porter.
dialogue en français ou en anglais, venez comme vous êtes.

l'obscur

https://peace-of-mind.forumactif.com/t298-angel-medina-guilty-as https://peace-of-mind.forumactif.com/t301-angel-medina-old-habits-die-screaming#3293 https://www.pinterest.fr/irenesmilau/angel/
tw. langage fleuri.




Cast me down where the devil don't go
Devil don't go where I make my home

((atmosphere))

Un putain de chanceux, Angel. Le grand vainqueur de la roulette russe de la vie. Coffré pour meurtre, mais condamné pour trafic. Fils d’un traître, mais désormais craint et respecté. Gamin en manque d’amour, mais maintenant entouré de plus de frères qu’il n’en faut. La roue tourne. Une expression stupide et c’est plutôt le barrillet qui pivote. Seules les balles résolvent les problèmes, font disparaître les erreurs et rachètent une conduite. As de la gâchette, foutu chanceux, ou peut-être que Dieu a finalement décidé de l’aider. Peu importe la raison : Angel devrait jouer au loto, parce qu’il ne perd jamais.

La Camaro est sur le parking du Wild Coyote. Les bagnoles se font rares à cette heure tardive et un tel modèle est difficile à oublier. Le Pobre Diablo arrête sa moto juste à côté. Le casque est posé sur le guidon et il reste perché sur sa monture. Les réverbères sont assez nombreux pour qu’il puisse lire les visages de tous les badauds virés du bar, derniers fêtards éméchés. La fermeture n’est plus bien loin, à en croire les aiguilles de sa montre. Presque deux heures et Angel est un oiseau de nuit. Pas une chauve-souris, mais un foutu serpent planqué sous un rocher. Il s’allume une clope, les yeux braqués sur les portes du saloon, prêt à mordre et distiller son venin à la première occasion.

La bécane sur béquille, sa pompe écrase le mégot balancé au sol. Ses gants finissent dans les poches de sa veste et, alors que les phares d’une dernière voiture l’éclairent, il prend le temps de faire glisser ses doigts sur le capot de la Camaro. Belle bête, un état parfait, des pneus changés par un pro. Un bijou qui vaut son pesant d’or, que ce soit en une seule partie ou en pièces détachées. Mais c’est un sentimental, Angel. Il serait bien incapable de démanteler une telle merveille - dommage pour ces opposants, sa droiture morale n’est pas la même lorsqu’il s’agit de faire disparaître un cadavre.

La musique est éteinte, lorsqu’il pousse la porte. La lumière habituellement tamisée est plus forte, certainement pour permettre aux employés de tout ranger avant d’être libérés pour la nuit. Le Pobre observe les tables, les chaises repoussées. Ses bottes couinent sur le sol humide de bières et autres boissons renversées dans l’effervescence de la fête. Il y baisse les yeux, esquive ce qu’il croit être un gobelet écrasé. Les mains dans les poches, il navigue en direction du comptoir, d’où une demoiselle soupire bruyamment que les lieux sont fermés. Pas pour lui. Les règles ne s’appliquent pas aux Pobre Diablo dans cette ville, pas plus que la loi n’est capable de les toucher.

Sa carcasse se traîne au bar sans un mot, sourd aux invectives de cette peste qui devrait apprendre à baisser d’un ton. Il pose son cul sur un tabouret, le pivote pour avoir une meilleure vue sur la salle. Tout paraît plus grand, dès lors que c’est vide. Son appartement donne la même impression, parfois. « C’est elle, que j’viens voir. » annonce-t-il finalement, sans le moindre sourire. Juste un mouvement de menton en direction de l’arrière-boutique, salle, ou quoi qu’il puisse bien se cacher derrière le bar. Des vestiaires, peut-être ? Quoi que ce soit, il a aperçu la silhouette menue d’une certaine voleuse de Camaro - mais pas de pneus, s’il en croit le payé qui barre désormais sa facture au El Mago. 2h03 à sa montre lorsqu’Adelina pointe le bout de son nez et Angel appuie les avant-bras sur le comptoir, ne lève qu’un doigt en direction des étagères pleines d’alcool. « Tequila. Pas besoin de citron. » Elle lui doit bien un verre, non ? Et son temps.

avec @adelina foster


Adelina Foster aime ce message



the matador
They call him the matador. He settles all the scores. He kills in plain sight with a blade and a smile. Well, he'll settle things in the sun. Plays God like the chosen one.
(c) 0tsana


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Mer 8 Mai 2024 - 21:27


Adelina Foster
Adelina Foster

f r e e s o u l

le clair
Surnom : Ad' • Lina • Queen of the Wind
Age : 25 ans, née un soir de novembre.
Adresse : Généreusement logée chez Sierra, le temps de trouver sa petite colocation - Midtown.
Labeur : Bien qu'elle soit une touche-à-tout, elle vient de trouver un job au Wild Coyote Saloon en tant que... Coyote.
Coeur : Il hurle d'être aimé plus que tout, mais se barricade continuellement.
Berceau : Pour Lina, l'Amérique est son foyer, mais le mystère de ses origines mexicaines  a toujours plané comme une ombre sur son existence.
where the devil don't go - adelina 7ad84404f51d5ef37e9fbd05de755d5b6bd95dc2

Pseudo : shadows.
Pronom : elle.
Fc : Jenna Ortega.
Crédits : ultraviolences.

Multicompte : Andrea Bird - le pompier.

Préférences rp : - 15 lignes minimum, donner matière à répondre.
- dialogue en gras
- RP en "je" ou "il/elle"
- RP en français, avec expressions en espagnol et/ou en anglais

l'obscur

https://peace-of-mind.forumactif.com/t44-adelina-munoz-o-the-que https://peace-of-mind.forumactif.com/t58-adelina-munoz https://www.pinterest.fr/noemiednls/adelina-vibes/ En ligne
langage fleuri. alcool. bheart



where the devil don't go
- atmophère -

" Quand comptes-tu rentrer ? " qu'elle me redemande pour la je ne sais combien de fois. Que je soupire en réponse, pour la je ne sais combien de fois. Depuis qu'elle sait, il n'y a pas un jour où elle ne m'appelle pas - plusieurs fois par jour. Parfois, j'ignore. Parfois, je réponds - sinon je sais qu'elle serait capable de débarquer. Et je n'ai pas envie qu'elle me rejoigne ici. Elle a fui il y a des années, pour une raison qui m'échappe encore, mais je n'ai pas envie de raviver des souvenirs qu'elle a tant tenu à oublier. C'est l'une des raisons pour lesquelles je ne voulais pas qu'elle sache. " Maman... s'il te plait, ne recommence pas. " Ne recommence à me supplier. Ne recommence pas à pleurer. Ne recommence pas à implorer. Mon coeur n'y survivrait pas. Et je ne suis pas prête à abandonner la partie. Je n'ai même pas encore commencé la partie ! " Je m'inquiète, Didi, c'est tout. Je... Je n'aime pas te savoir là-bas. Surtout toute seule, " Mais je ne suis pas seule. Plus totalement. J'ai rencontré des personnes incroyables. J'ai aussi rencontré des gens douteux, bien sûr, mais ça j'évite de le partager avec elle. " Est-ce que tu... est-ce que tu l'as vu ? " Et je n'ai pas besoin de demander de qui elle parle. ON SAIT. Non, je ne l'ai toujours pas vu. Parce que je suis la reine des trouillardes. Et parce qu'il est aux abonnés absents. " Pas encore. Promis, tu le sauras quand ce sera le cas, " que je promets sans être sûre de pouvoir la tenir. Mais que ne ferais-je pas pour la rassurer ? J'entends mon nom à l'arrière, signe que c'est l'heure d'aller bosser, alors je lui dis que je l'embrasse fort et que je la rappelle le lendemain. Je ne le ferais pas, elle le sait, je le sais. Car elle appellera en premier. Maman poule, ou maman surprotectrice ? Est-ce que ce n'est finalement pas la même chose ? Est-ce que je serais différente, si j'étais maman ? Je n'en sais rien. Parfois, je trouve ça adorable et réconfortant. Parfois, je trouve ça agaçant et étouffant.

La soirée se passe sans accroc. Des clients réguliers - que je salue, à qui j'adresse de francs et sincères sourires, que j'accompagne pour un verre et pour une danse. Je m'améliore - si, si, je le jure ! Des clients de passage, qui cherchent un endroit où se poser, où s'évader avant de reprendre la route. Des clients douteux. Des clients bourrés. Un enterrement de vie de jeune fille - c'était bien drôle ! Des verres brisés. Des bouteilles vidés. Des fléchettes plantées, d'autres au sol. Tout dans le bar transpire la soirée qui se termine - de l'alcool à la sueur des corps qui se sont amassés tout du long. Certains retrousseraient leurs nez. Moi, j'adore ça car ça sent la VIE. Bon, ça sent aussi le ménage qui s'impose après un service éreintant, mais bon. Je prépare d'ailleurs ce qu'il faut pour m'y mettre sans attendre - histoire d'en finir au plus vite et rentrer chez Sierra pour DORMIR. Mais j'entends SA voix. Je la reconnais bien, même si ça fait déjà plusieurs jours que je ne l'ai plus entendue. Je pince mes lèvres. A moitié irritée. A moitié amusée. Tenant le balais à la main, je prends mon temps pour les rejoindre, ma collègue et Lui. Elle m'adresse un regard quelque peu apeuré, ou en tout cas interrogateur et inquiet. Je comprends, Angel est intimidant. " Tu peux y aller, je vais m'en occuper, t'en fais pas. Il ne fait que me rendre la monnaie de ma pièce... " je conclus en plantant mon regard dans celui, sombre et énigmatique, de mon mécanicien. Il avait promis de me rendre la pareille. Et lui, contrairement à moi, semble tenir ses promesses. «Tequila. Pas besoin de citron. » Ma langue creuse ma joue, histoire d'éviter de sourire. Je n'ai pas le droit d'être mécontente, n'est-ce pas ? Je ne peux pas lui dire de dégager, n'est-ce pas ? Sans que nos regards ne se quittent, j'attrape un verre propre. " T'as plutôt de la chance. Je n'étais pas de service ce soir normalement... " J'aurais adoré qu'il débarque et ne me trouve pas. J'aurais regretté qu'il débarque un soir où je ne suis pas là. Je lui sers sa Tequila - et je grimace, légèrement écœurée par cette boisson depuis mes dernières cuites avec. " Avec ceci ? " je joue à la serveuse aimable et adorable. A plus de deux heures du matin, c'est un miracle.


avec @angel medina


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I was barely standing...
but now I'm dancing  bheart
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Ven 10 Mai 2024 - 14:43


Angel Medina
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Surnom : Foutez-lui une chemise repassée sur le dos et on lui filerait le bon dieu sans confession, à Angel. El Serpiente le suit telle une ombre, puisqu'il a de ces sourires insidieux capables de convaincre Eve de croquer dans la pomme. Et si on lui refuse : il peut toujours mordre.
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Coeur : Encore faudrait-il en avoir un, non ? Organe en berne, palpitant en rade, aorte en miettes. Après l'avoir expérimenté, Angel peut décréter que l'amour n'est pas pour lui. Puisqu'Elle l'a vendu. Puisqu'Elle l'a trahi. Puisqu'on ne l'y reprendra jamais plus, à donner sa confiance et son âme.
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where the devil don't go
- atmophère -


Les dettes sont faites pour être payées, que celui qui est redevable le veuille ou non. Angel n’est pas connu pour son oubli, pour son pardon, pour sa clémence. Medina ne fait pas de cadeaux. Jamais. Pas même à son propre sang. A sa propre famille. A sa propre femme. Adelina le comprendra bien assez tôt, assez naïve et candide pour se frotter au grand méchant loup en le prenant pour un agneau. Assez stupide pour penser qu’il est incommodant de le recevoir aussi tard pour un verre - alors que les intérêts de ses services se chiffrent plus hauts, en temps normal. Elle le comprendra un jour ou l’autre, Adelina, qu’elle est la plus chanceuse des deux. Car elle peut choisir d’ignorer les ténèbres qui le bouffent de l’intérieur, la rage qui le gangrène et finira par le faire crever. Car elle peut fermer les yeux et refuser de voir. Car derrière ses paupières ne se cachent que le néant, tandis que celles d’Angel abrite une vie entière de regrets - mais jamais de remords.

Adelina accepte la sentence sans broncher. Le coude du Pobre est ancré dans le comptoir, sa paume supporte son menton et ses yeux noirs suivent chacun de ses gestes. Il n’y a pas plus vicieux qu’une femme, dans ce bas monde, et le poison est leur arme favorite. Celui qu’elles distillent dans leurs paroles, dans leurs trahisons ou dans les verres servis de bon coeur. La confiance n’est pas le fort d’Angel et sûrement est-ce pour cela qu’il est toujours en vie. T'as plutôt de la chance. Je n'étais pas de service ce soir normalement... Medina ricane dans un souffle. « Je sais. » Croit-elle qu’il se serait pointé ici autrement ? Croit-elle qu’il existe un recoin de cette ville que les Pobre Diablos n’ont pas à l’oeil ? Oh qu’elle est naïve, Adelina. « Considère que je ne perds jamais. » Au jeu de la chance, ni à la roulette russe. Un éternel gagnant, à moins qu’il ne soit un éternel tricheur.

Le verre échoue devant lui et Angel ne répond pas. Pas tout de suite. Il se saisit de sa tequila, l’observe alors qu’elle tourbilonne au fond de son verre. Il y noierait facilement la vaste majorité de ses problèmes et de ses angoisses, s’il cédait à cette faiblesse. « Laisse la bouteille. » ordonne-t-il tandis que son index s’enfonce dans le comptoir, à l’endroit où il désire qu’elle soit posée. Il pense être assez grand pour être capable de se servir les suivants et de toute façon, Adelina n’est pas pressée. Ce n’est pas sa petite collègue qui les contredira, terrifiée qu’elle est à l’idée de revenir sur le devant de la scène. Il la voit passer et repasser, du coin de son oeil, et Angel n’a depuis longtemps plus besoin de porter son cuir pour que Clifton sache à qui il appartient. « J’crois que le verre devait venir avec une danse, ou une connerie du genre.. » Il se redresse sur son tabouret, repose sa tequila après l’avoir vidée. D’un mouvement de menton et d’un sourire moqueur, il l’invite à commencer. « Inutile de remettre la musique, j’ai assez d’imagination. » Puis, comme elle n’a pas l’air de bouger, il insiste. « C’était pas une question, Adelina. Tu m’dois bien ça. »  



avec @angel medina


Adelina Foster aime ce message



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Sam 11 Mai 2024 - 15:57


Adelina Foster
Adelina Foster

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Surnom : Ad' • Lina • Queen of the Wind
Age : 25 ans, née un soir de novembre.
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Labeur : Bien qu'elle soit une touche-à-tout, elle vient de trouver un job au Wild Coyote Saloon en tant que... Coyote.
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where the devil don't go
- atmosphère -

«Je sais. » Quelque chose dans son intonation, dans ses gestes, dans son attitude, me coupe un instant le souffle. Comme un avertissement. Quand on s'est rencontrés, je l'ai senti, ce danger. Je l'ai remarqué, ce danger. Je l'ai imaginé, ce danger. Je l'ai perçu, ce danger. Pour autant, je n'ai pas reculé. Au contraire, j'ai joué avec. Je lui ai souri. Je lui ai ouvert les bras. Là encore, malgré l'alarme qui s'allume à chaque fois que je me trouve en présence d'Angel, je n'apprends pas de mes leçons. Non, je persiste à sourire. Je persiste à croire qu'il y a bien plus au-delà du danger. Que ça ne le définit pas ENTIEREMENT, car c'est impossible. Alors, j'inspire, et je m'évertue à lui servir sa Tequila, qu'il a si gentiment demandé. «Considère que je ne perds jamais. » Hum. Arrogance. Insolence. Pourquoi suis-je toujours aussi hypnotisée par ce genre d'hommes ? Par ceux que je devrais fuir ? Par ceux que je devrais éviter ? Par ceux qui ne peuvent pas me rendre heureuse ? Par ceux qui ne peuvent pas m'offrir ce que je veux ? Par ceux qui font plus de mal que de bien ? Pourquoi ? Je l'ignore, mais c'est un schéma tellement classique en ce qui me concerne que c'en est hilarant. Ou triste. Ou révoltant. Selon le point de vue. " Ca va... ? " mime Dream un peu plus loin. Elle est clairement pas à l'aise. Elle est même apeurée. C'est la plus douce et la plus calme de nous toutes, ce qui ne m'étonne pas beaucoup finalement - mais n'empêche que sa frousse devrait réveiller la mienne. Alors qu'elle ne fait que la frôler. Je lui adresse un sourire rassurant. Qui ne la rassure absolument pas. Je reporte mon attention sur Angel, l'air de rien, tentant de le déchiffrer. De découvrir ce qui émane de lui, et qui effraie tant ma binôme du jour. Les tatouages. Le regard sombre. Les cicatrices. A bien y réfléchir, TOUT ce qui émane de lui a quelque chose d'effrayant. FUIS. LOIN. Mais je pose la bouteille où il la demande, sans le quitter des yeux. Il est intimidant. Il est imposant. Il est charismatique. Il a clairement l'habitude d'obtenir ce qu'il veut, comme il le veut. FAIS. CE. QU'IL. DIT. Ma voix intérieure, mon ange-gardien, me murmure. Ou me hurle, je ne sais pas trop. Mais la blague ! C'est Angel. Mon mécanicien. L'amoureux des belles voitures. Celui qui a été suffisamment serviable pour réparer ma voiture un soir, alors que je débarquais à quasiment la fermeture. C'est Angel. Un homme. Comme les autres. Pas de quoi trembler - sauf si c'est pour le plaisir, n'est-ce pas ?

Je me décide donc à ranger, nettoyer, laver, essuyer, tout en lui tenant compagnie pendant la prochaine demie-heure. Trente minutes, ça passe vite. Sauf quand on est crevés, ça, c'est sûr. Je fais un signe de tête à Dream, la rassurant une nouvelle fois avant qu'elle ne quitte les lieux. Elle hésite. Elle attend. Le regard allant de Lui, à Moi. «J’crois que le verre devait venir avec une danse, ou une connerie du genre. » En train d'essuyer un verre, je stoppe mon geste avant de détourner mon regard de la blondinette vers l'ange déchu. Non. Il ne va pas me faire faire ça. «Inutile de remettre la musique, j’ai assez d’imagination, » qu'il persiste toutefois après avoir reposé son verre vide. Je ne comptais pas remettre la musique, Angel. Je ne comptais pas danser de nouveau. Et je pense que ça se voit sur ma tête, puisqu'il reprend la parole quand je suis murée dans le silence. «C’était pas une question, Adelina. » Encore mon prénom dans sa bouche, qui suscite des frissons. Mais je ne sais pas très bien si ce sont des frissons d'horreur, ou des frissons de plaisir. Peut-être est-ce un peu des deux. «Tu m’dois bien ça. » " Ca, c'est parce que tu ne m'as pas encore vu danser... " je réplique la voix rauque d'une soirée passée à crier plus qu'à parler. Le bruit de la porte qui se referme sur Dream résonne dans mes oreilles. Et je me retrouve seule. Avec l'ange déchu. T'as pas eu assez de problèmes, Lina, depuis ton arrivée ? A ce stade, tu le sais, tout ce qui se présente sur ton chemin est empoisonné - ou presque. Je pose le verre, je pose le torchon, et je plante de nouveau mon regard dans le sien. Je lui offre mon sourire le plus séducteur - ce qui est méga-drôle car je suis TOUT sauf séductrice. J'attrape mon chapeau de cowgirl - merci Sierra - et le repose sur mon crâne. Et je commence à danser.

C'est ridicule. JE suis ridicule. Seul le silence berce le bar. Et je me déhanche maladroitement. Et je tourne sur moi-même. Je ne fais absolument aucune des chorégraphies que j'ai apprise par coeur au fil des semaines - non - au contraire, je mélange les genres. Je lui offre un spectacle divertissant. Avec un peu de chance, ça le fera sourire. Peut-être même rire. Et ça me permettra d'arrêter de psychoter. De le croire malveillant. De le croire être un danger pour MOI. " Tu ne peux pas dire que je ne t'avais pas prévenu... " je dis sans savoir ce qu'il pense de ma manière de bouger, et sans m'arrêter de gigoter tout en jouant S&M de Rihanna dans la tête pour trouver le bon rythme. Ce que je ne trouve pas - soyons clairs. " N'hésite pas à dire quand tu en as vu assez, " je lui demande en riant légèrement avant de me retourner vers lui. Mon sourire s'évapore face à son regard. Je me mords la lèvre inférieure et pose mes mains sur le comptoir. " Oui... Je suis SI mauvaise. Et oui... je le SAIS. Je suis meilleure au volant que je ne le suis derrière ce bar. "

C'est mon talent au volant qui m'a d'ailleurs permis de payer ma facture.




avec @angel medina


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Lun 13 Mai 2024 - 17:26


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Age : trente-sept ans. Il paraît qu'avec l'âge vient la sagesse, puis les mômes, la bonne femme et la maison de banlieue. Dieu soit loué, Angel est épargné pour le moment.
Adresse : Un appartement à Midtown, de ces trous à rats où les cafards et les rats sont des animaux de compagnie. Il aime appeler ça un loft, même si ce n'est qu'une grande pièce aménagée que son proprio n'a pas le droit de louer. Il ne s'en plaindra pas : c'est compliqué de se faire descendre par une fenêtre du troisième étage.
Labeur : Présentez-vous au el garaje del mago et demandez le meilleur mécano, il y a de grandes chances qu'on vous pointe Angel. Il bichonnera votre monture ou votre caisse, sans distinction, et il paraît qu'il est doué pour fidéliser la clientèle. Pobre Diablo à temps plein et cette deuxième casquette est plus lucrative.
Coeur : Encore faudrait-il en avoir un, non ? Organe en berne, palpitant en rade, aorte en miettes. Après l'avoir expérimenté, Angel peut décréter que l'amour n'est pas pour lui. Puisqu'Elle l'a vendu. Puisqu'Elle l'a trahi. Puisqu'on ne l'y reprendra jamais plus, à donner sa confiance et son âme.
Berceau : Texas, baby. Gosse de Laredo, jamais vraiment intégré. Juste un gamin de plus avec des parents à chier. Clifton est le berceau de sa renaissance, l'endroit où il a ouvert les yeux pour la première fois et pousser son premier cri : en appuyant sur la détente.
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where the devil don't go
- atmophère -



Le pouvoir revient non pas à ceux qui le demandent, mais à ceux qui le prennent. De force, par les armes et par la violence. Les seules créatures au sommet de la chaîne alimentaire sont celles qui tuent par plaisir et non par nécessité. L’imprévisibilité est un des piliers de la terreur et, au sommet du monde, les Pobre Diablo ne s’embarassent plus de formules de politesse. Ils ne demandent pas, ils prennent ce qui leur chante et, avec le temps, chacun apprend à les remercier de ne pas être plus ignobles qu’ils ne le sont déjà. Elle apprendra, Adelina. Ils apprennent tous, à Clifton, que non n’est pas une réponse satisfaisante. Ils apprennent tous à s’exécuter au premier claquement de doigts, les vrais bouffons de la cour, ou à fuir - comme cette demoiselle qui ne se fait pas prier pour disparaître. L’a-t-il déjà croisée, Angel ? Il n’en est pas certain, n’a pas vraiment la mémoire des prénoms ni des femmes. Rares sont celles à laisser une impression, une marque sur le Pobre et cela n’est jamais de bon présage.

Ca, c'est parce que tu ne m'as pas encore vu danser... Angel est bien droit sur son tabouret, aux premières loges d’un spectacle qu’il ordonne. Les danses les plus intéressantes se pratiquent en talons hauts sur un podium, en l’échange de petite monnaie, mais il se contentera de ce qu’il peut trouver ici. « C’est à moi d’en juger. » La tequila brûlera ses souvenirs, de toute façon, et il n’est pas là pour la qualité du spectacle, mais pour la distraction que cela peut lui apporter. Retenir Adelina ici est plus sain que d’aller se battre dans le premier bar venu, à la recherche d’un peu d’adrénaline et de défi. Il est sage, Angel. Il arrive à contrôler les pulsions violentes qui fourmillent dans ses mains à chaque seconde. La soupape explosera, un jour. Sous peu, certainement. Mais pour le moment, il parvient à retenir la déflagration.

Chapeau de cowboy et mouvements approximatifs. Silence de plomb, mis à part les bruissements des chaussures de la brune sur le sol ou le tintement de la bouteille contre le verre, lorsqu’Angel se sert à nouveau. L’ambiance est étrange, au Wild Coyote. Anormalement calme et le silence le berce, à défaut de le tempérer. Il bouillonne, à l’intérieur, et il tâche d’éteindre l’incendie à grandes rasades de tequila. Son crâne menace d’exploser ou d’imploser, il n’est plus sûr de savoir d’où vient toute cette pression, et ses derniers espoirs reposent dans la danse ridicule d’une gamine naïve. Il est tombé bien bas, Angel. Ce verre là sera pour oublier et il jette un regard à sa montre. Les minutes lui sont comptées, il se saoulera en un temps record. Puis il traînera sa carcasse dans un trou à rat pour les fils de pute dans son genre - sûrement le Dollhouse, son pieu, ou celui d’une autre.

« C’est pitoyable. » finit-il par articuler, les doigts autour de son verre. Son index bat la mesure, un compte à rebours qu’il est le seul à suivre. Le Pobre se redresse sur son tabouret, tâche de se tenir plus droit qu’il ne le voudrait. La tequila a meilleur goût quand on est au fond du trou, c’est bien connu. « Et t’es payée pour te ridiculiser devant toute la ville, ou tu comptes sur la pitié pour récupérer des pourboires ? » Il est rarement sympa, Angel. Il manque un peu de tact, certains diront. D’autres trouvent son honnêteté hilarante et il faut dire qu’il arrive toujours à faire passer la pilule, quand il consent à sourire. Une chance pour la jolie Adelina, le mécanicien se déride. « Tu peux arrêter le massacre. J’ai trop peur que tu te foules la cheville. C’est un vrai carnage, on devrait t’interdire de danser. » Un souffle passe par son nez, une ébauche de rire qui n’ira pas jusqu’au bout. Il est rare qu’il s’esclaffe, Angel. De l’index, il désigne l’arrière du bar - où se cachent sûrement les verres, il ne les voit pas depuis sa place. « Tu t’en sors un ? On trinque ensemble ?. » Qu’il paraisse moins alcoolique qu’il ne l’est. « Ce n’est pas que tu es mauvaise. » déclare-t-il en prenant la bouteille pour la déboucher à nouveau. « Ca m’étonne qu’avec aussi peu d’adresse et de contrôle de tes jambes, tu sois capable de conduire. Quoi que, vu l’état de tes pneus… » souffle-t-il dans un sourire et il tend la bouteille, pour lui proposer de la servir.




avec @angel medina




the matador
They call him the matador. He settles all the scores. He kills in plain sight with a blade and a smile. Well, he'll settle things in the sun. Plays God like the chosen one.
(c) 0tsana


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