Age : Assume ses 36 ans, adulescente irresponsable et insaisissable qui ne sera sans doute pas surprise de passer l'arme à gauche bien plus tôt que prévu. Quand on aime, on compte pas les années.
Adresse : Emplacement #0104, trailer park, dans une caravane décrépite qu'elle partage avec sa grand-mère (décrépite elle aussi.)
Labeur : Même pas chômeuse, car elle a toujours évité le travail comme on évite un nid de poule sur la route. Elle survit grâce aux aides sociales dont sa grand-mère bénéficie. Quand elle a un peu d'énergie et la tête à autre chose qu'à la fête, elle mendie dans les rues avec sa guitare mal accordée.
Coeur : Fermé pour travaux pour une durée indéterminée. Lasse des relations pleines d'espoir, aime la vie, sa mamie, le rock et puis c'est tout.
Berceau : Native de Las Vegas, terre pourrie de l'illusion. Fruit d'un accident, se raccroche aux branches craquelées de ses ancêtres qu'elle vénère plus que tout. Le désert chaud du Texas et la Russie lointaine fonctionnent comme les deux extrémités d'un aimant.
Préférences rp : Je privilégie les RP relativement courts (autour des 500 mots). J'écris à la troisième personne, je suis carrément OK pour écrire les dialogues en anglais si accord avec le partenaire. Je ne souhaite pas écrire de scènes de s*xe.
Le crâne pèse une tonne, les jambes sont molles et l'estomac semble agité. C'est manifestement la combinaison des trois qui empêchent Janet de continuer à dormir. La brune grogne et fronce les sourcils, ouvrir les paupières requiert un effort surhumain, elle abandonne. Sa langue pâteuse colle à son palais sec, elle a envie de boire et de pisser, dans cet ordre. La lumière du jour agresse ses paupières gonflées avec effronterie. À défaut de se réveiller, elle se retourne dans un lit qui n'est évidemment pas le sien, agrippe le drap qu'elle serre et le tire vers elle. Ça ne bouge pas. Y a un poids dessus qui l'empêche de bouger.
Ce poids, c'est quelqu'un.
La présence d'une personne à ses côtés se fait sentir d'un coup et la réveille net. Pendant un court instant, elle se croit morte : un ange dort à côté d'elle. La brune hausse les sourcils à la vue de la jolie jeune femme allongée à côté d'elle. Elle s'est déjà réveillée à côté de pire. C'est qui celle-là en fait ? Bordel, elle est où déjà ? Chez qui ?
La tête qui tourne et les yeux mi-clos, elle se lève sur ses coudes, inspecte la piaule dans laquelle elle vient de se réveiller. C'est franchement pas dégueu. En fait, la chambre à elle seule doit faire la taille de sa caravane. Le fil de la soirée lui revient peu à peu. Elle se souvient d'une fête, de cet appart' chic d'une photographe, d'un gorille posté à l'entrée le regard braqué sur la jeune femme tout le début de soirée, de l'alcool, d'éclats de rire, de l'alcool, des anecdotes, de l'alcool, beaucoup d'alcool. Il avait fallu choisir entre un beer-pong et un concours de shots. Janet n'aime pas choisir. Elle avait enchaîné les deux.
Janet tente de se lever et se casse la gueule, ça la fait marrer. Ça semble aussi réveiller la photographe. C'est bien elle au moins ? Mais, merde, c'est quoi son nom ? C'est marrant que ça lui revienne pas, en général elle se souvient bien des petits canons dans son genre. Peut-être qu'elle est trop propre sur elle, ça doit être ça. Elle avait bien rigolé avec elle, ça c'est sûr. Mais de quoi avaient-elles parlé ? Qu'est-ce qui les avaient fait se marrer autant ? Impossible de s'en souvenir. Péniblement, elle s'agrippe à la couverture pour se redresser, seule sa tête dépasse du côté du lit. « Yo. Bien dormi ? » dit-elle en souriant bêtement.
I don't ever wanna feel like I did that day. Take me to the place I love, take me all the way. Yeah, yeah, yeah. It's hard to believe that there's nobody out there. It's hard to believe that I'm all alone.
Jeu 22 Aoû 2024 - 11:09
Luisa Roy
p e a c eo fm i n d
le clair
Surnom : Nombreux sont ceux qui l'interpellent en l'appelant Lou. Mais bien souvent elle entend un gamine de la part de son père qui lui hérisse le poil ou un fille de Moz .
Age : La trentaine qui vient tout juste de commencer.
Labeur : La passion pour métier. Photographe tenant sa propre boutique.
Coeur : Son coeur est libre comme l'air et pourtant, une personne ne cesse de hanter ses pensées même si elle se refuse de l'avouer.
Berceau : Elle est née à Clifton et n'a jamais quitté la ville, même pour un week-end.
Pseudo : Koko.
Pronom : Elle.
Fc : Elizabeth Olsen.
Crédits : Nano (avatar).
Multicompte : Aucun pour l'instant.
Préférences rp : - Entre 300 et 1000 mots.
- Rp à la seconde personne (ou troisième suivant le perso).
- Dialogue et écriture en français. Si c'est en anglais, il faut me mettre la traduction.
Bam. Bam. Bam. Tu as l’impression que la musique bat encore dans tes tempes, alors que tu ouvres péniblement les yeux. Mais tu les refermes immédiatement, alors que la lumière agresse tes rétines. Et ravive ton mal de tête que tu vas te coltiner une bonne partie de la journée. Inspirant doucement, tu te forces à ouvrir un œil. La lumière est bien trop vive, alors que tu es allongée sur le ventre, la tête tournée vers la fenêtre. Te forçant à ouvrir le second, tu inspires doucement. Le soleil semble être déjà bien levé, sûrement parce que la journée est bien entamée. Mais à quelle heure tu t’es couchée ? Ça, tu ne t’en souviens pas. Tu te rappelles juste avoir organisé une fête et dis à Nora de ramener toutes les personnes qu’elle désirait. Et pour cause, tu étais en colère contre Nolan qui t’a planté l’autre nuit. Ainsi, il a dû y passer du temps à vérifier l’identité de toutes les personnes de ton appartement. Et tu espères que ça l’a agacé autant que toi ça t’a vexé qu’il te plante après t’avoir promis qu’il resterait avec toi !
Entendant un gros bruit, tu sursautes et tournes la tête de l’autre côté. Une tête dépasse du matelas, mais tu ne vois rien d’autre. Te redressant – heureusement tu portes un long t-shirt, tu t’assoies sur le matelas alors que l’inconnue est en train de se redresser. Elle est vraiment belle ! Tu te souviens d’avoir passé un agréable moment avec elle, jouant avec différents verres d’alcool. Et vous avez ri. Bien trop, si bien que tu avais mal au ventre. Par contre, tu es incapable de te souvenir de son prénom. Passant une main dans tes cheveux en bataille, tu pouffes doucement à sa question, avant de hocher positivement la tête. « Yo ! Comme un bébé et toi ? » Tu l’observes avec attention. Elle semble dans le même état que toi. Aussi, tu souris bêtement, avant d’indiquer la place libre dans ton lit double. « C’est la première fois que je me réveille à côté d’une nana comme ça ! » Te tournant, tu passes tes jambes dans le vide avant de te lever. Tu tangues légèrement, avant de te diriger vers la sortie, faisant des petits pas. Mais une fois au niveau de la porte, tu te tournes vers l’inconnue. « Si tu veux, la salle de bain est là-bas. Tu peux me piquer des fringues et … Je vais nous faire couler un café. Fais comme chez toi. » tu lui fais signe de se servir, avant d’aller vers la cuisine. Immédiatement, tu appuies contre le bouton de ta machine à café avant de sortir deux tasses. Ne sachant pas si elle prend du lait ou du sucre, tu sors les deux que tu poses sur ton îlot central. Puis tu cherches un paquet de gâteau mais tu n’en as pas. Pourtant ton estomac a faim, mais il faudra qu’il attende que tu prennes une douche. T’installant sur un des tabourets, tu remontes tes genoux vers ta poitrine alors que le café coule. Et ton esprit divague vers Nolan, te demandant comment il a pris cette petite soirée surprise.
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Adresse : Emplacement #0104, trailer park, dans une caravane décrépite qu'elle partage avec sa grand-mère (décrépite elle aussi.)
Labeur : Même pas chômeuse, car elle a toujours évité le travail comme on évite un nid de poule sur la route. Elle survit grâce aux aides sociales dont sa grand-mère bénéficie. Quand elle a un peu d'énergie et la tête à autre chose qu'à la fête, elle mendie dans les rues avec sa guitare mal accordée.
Coeur : Fermé pour travaux pour une durée indéterminée. Lasse des relations pleines d'espoir, aime la vie, sa mamie, le rock et puis c'est tout.
Berceau : Native de Las Vegas, terre pourrie de l'illusion. Fruit d'un accident, se raccroche aux branches craquelées de ses ancêtres qu'elle vénère plus que tout. Le désert chaud du Texas et la Russie lointaine fonctionnent comme les deux extrémités d'un aimant.
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Ce n'est pas la première fois que ça arrive, ça ne sera pas la dernière non plus. Habituée à la chose, elle se met doucement en route, retrouvant peu à peu ses sens et parvenant à faire fi du mal de crâne qui la tourmente. « Ouais, super. » répond-elle en se relevant progressivement. C'est un peu du gâchis de partager le lit avec une fille comme celle-là et de ne pas en profiter. Elle sait, quand ça se fait ou quand ça se fait pas, même bourrée. Un sixième sens, peut-être. « Et c'est une bonne ou une mauvaise chose ? » demande-t-elle avec un sourire malicieux.
Elle est debout et ne retombe pas, il y a une certaine progression. Janet se racle bruyamment la gorge, se débarrasse d'un glaire ; ce n'est pas très glamour, mais elle se sent mieux. La salle de bain est par-là, qu'elle lui dit. Machinalement, la brune lève le bras et renifle son aisselle. « Ouf. Oui, j'vais faire ça. » conclut-elle en filant sous la douche. Pour une fois, le mécanisme est pas bien compliqué. Ras-le-bol des douches avec un robinet qui semble provenir du futur. Contrairement à ce que son hôte lui avait proposé, Janet renfile ses vêtements de la veille, sans doute pas assez à l'aise pour fouiller dans les tiroirs de... Bon sang, son nom ?
Janet fait appel à sa mémoire troublée pour retrouver le chemin de la cuisine. La veille, elle s'était donnée en spectacle en montant sur la table sans rien casser, miraculeusement. Elle retrouve la fille à qui elle adresse un clin d’œil, observe les tasses, regarde autour d'elle, s'avance vers le frigo, l'ouvre et en ressort une bière qu'elle décapsule avec un bijou cousu à sa veste en jean. « L'appart' est moins grand que dans mes souvenirs... Mais en même temps, mes souvenirs d'hier... C'est un peu parti, tout ça... » déclare-t-elle en buvant une gorgée.
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Mar 3 Sep 2024 - 13:53
Luisa Roy
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T’esquisses un sourire, alors que l’inconnue t’avoue qu’elle a bien dormi. Un bon point, alors que tu ne te souviens pas comment vous avez atterri dans le même lit ! Réfléchissant rapidement, l’esprit encore un peu embrumé, tu viens à avouer la triste mais réelle vérité. C’est bien la première fois que tu te réveilles à côté d’une nana de la sorte. Sans t’en souvenir bien sûr ! Un petit rire t’échappe alors que tu repousses une mèche en arrière et que tu la fixes avec autant d’attention. « Bonne bien sûr ! Il faut toujours de nouvelles expériences pour pimenter le quotidien. » Tu souris, avant de basculer tes jambes hors du lit pour te lever. Tu tangues encore un peu, signe que vous avez dû boire plus que de raison. Est-ce que les autres ont bien quitté ton appartement ? Tu l’espères sincèrement, alors que tu n’as pas forcément envie de te les coltiner de bon matin. Mais avant toute chose, tu te tournes vers elle pour lui indiquer la salle de bain. Et tu lui proposes même de te piquer des fringues si elle le souhaite. Elle n’a qu’à faire comme chez elle ; toi pour l’instant, tu veux juste un café. C’est ta dose quotidienne la caféine. Tu en bois toute la journée.
Assise, tu relèves le regard en entendant des pas dans ton appartement. La nana revient de la douche, et tu lui rends son sourire, ta tasse fumante toujours entre les doigts. Dans le fond, tu te demandes si Nolan est toujours là, ou s’il en a eu marre et qu’il est parti. Comme quand il t’a laissé toute seule … Mais ce n’est certainement pas le moment de penser à ça, alors que ça risque de te mettre en rogne. Contre toute attente, elle vient à prendre une bière dans le frigo. Tu ne juges pas, après tout, chacun peut bien prendre ce qu’il veut pour commencer sa journée. Enfin débuter … Elle est bien entamée la matinée, si tu en crois le soleil déjà bien haut dans le ciel. Prenant une gorgée de café, tu ris doucement. « Non il est pas si grand mais … il y a eu quand même pas mal de monde hier je crois … » Pour toi aussi, cette soirée est assez flou. En même temps, tu ne sais pas la quantité d’alcool qui a été bu, mais nul doute que ce n’était pas qu’un verre. Reprenant une gorgée, tu fixes l’inconnue. « Ecoute … J’vais peut-être passer pour une malpolie, et je m’en excuse mais … C’est quoi ton prénom ? J’arrive pas à le remettre. » Cela sera certainement plus simple pour discuter et échanger avec elle. En espérant ne pas passer pour une idiote. Inspirant doucement, tu reprends la parole d’une voix douce. « J’ai rien à t’offrir comme p’tit dej, mes placards sont vides. Ou alors … Je prends une douche et je t’offre un truc à manger à l’extérieur. Qu’est-ce que t’en penses ? »
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Berceau : Native de Las Vegas, terre pourrie de l'illusion. Fruit d'un accident, se raccroche aux branches craquelées de ses ancêtres qu'elle vénère plus que tout. Le désert chaud du Texas et la Russie lointaine fonctionnent comme les deux extrémités d'un aimant.
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Ses sens reviennent aussi vite que sa vivacité s’éveille. C’est une mauvaise chose que de s’habituer à de tels excès, elle sait très bien que bientôt, son corps lui fera comprendre qu’elle a dépassé les limites. Pour l’instant, elle ignore son addiction. « Ouais ! Complètement d’accord ! » répond aussitôt Janet. C’est qu’elle est fun, cette fille. Voilà pourquoi elle avait passé une partie de la soirée avec elle. Sous ses airs de gosse de riche bien sage se cache une fêtarde invétérée. Elles proviennent d’univers différents, mais parlent la même langue.
Toute propre, la brune retrouve la cuisine en quelques secondes et se dirige aussitôt vers le frigo. Elle a un problème avec l’alcool, mais elle ne s’en cache pas. C’est peut-être pire. La photographe lui explique que l’appartement était pas mal bondé hier. « C'est peut-être ce qui donnait l’impression de grandeur ! Ça et... l’alcool. » analyse-t-elle avant de boire une nouvelle gorgée.
Secrètement, Janet remercie son hôte d’avoir eu le courage d’admettre la première qu’elle a oublié son nom. L’entente est bonne entre les deux femmes, ça aurait été dommage de poursuivre la conversation en faisant semblant de s’en rappeler. « Oh hey, ça tombe bien parce que moi non plus ! Je me souviens de ton job, tu vois. J’sais que t’es photographe, mais alors ton prénom, je l’ai pas imprimé, truc de fou ! Janet, je m’appelle Janet. Et toi alors ? » demande-t-elle en se hissant sur l’îlot central de la cuisine.
Janet a un bon feeling sur cette fille. De ce qu’elle se souvient, elle est drôle et là, elle est même sympa puisqu’elle lui propose même un casse-croûte. La précarité de Janet l’empêche de refuser tout repas. « Oh ouais, carrément ! » accepte-t-elle avec joie. « On aura des choses à se raconter ! Je me souviens qu’on a bien ri hier toutes les deux, mais je saurais pas dire de quoi... Bref, hâte de te redécouvrir à jeun ! Enfin, façon d’parler... » déclare la brune.
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Ven 20 Sep 2024 - 14:28
Luisa Roy
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Berceau : Elle est née à Clifton et n'a jamais quitté la ville, même pour un week-end.
Pseudo : Koko.
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Un rire t’échappe, alors que la jeune-femme semble être sur la même longueur d’ondes. C’est peut-être la façon dont tu l’as rencontré, qui te fait réagir de la sorte. Mais en tout cas, ça te fait du bien de ne pas te prendre la tête, à peine réveillée. Et même si elle a l’air différente de toi, peut-être rien que dans sa façon d’être, tu apprécies pouvoir passer un moment détendu.
La laissant prendre une bière, cela t’importe autant que l’an quarante. Qu’elle prenne ce qu’elle veut pour son p’tit dej’, toi, c’est ton café. Prenant une gorgée de ta boisson noire, tu souris délicatement avant d’indiquer que l’appartement était plein la veille. Tu sais que tu ne connaissais pas tout le monde. Mais tu espères sincèrement que cela a agacé Nolan, alors qu’il a dû faire le guet à ta porte d’entrée. Un rire t’échappe, alors que tu hoches positivement la tête. « C’est même sûr que l’alcool y est pour beaucoup ! » L’altération des sens, et autres conneries du même genre. Sans parler que tu dois être honnête, cette soirée est en grande partie floue. La preuve, tu ne te souviens même pas comment vous avez atterri dans le même lit ! Mais le pire, c’est sans nul doute que tu n’arrives pas à retrouver son prénom. Est-ce qu’elle te l’a dit au moins ? Fixant l’inconnue, tu es un peu gênée de devoir lui poser la question. Et là, un rire t’échappe, alors qu’elle avoue ne pas s’en souvenir non plus. Bon cela rend le moment moins gênant ! « Enchantée Janet. C’est Luisa mais on m’appelle Lou. Par contre, je ne me souviens pas de ton travail, je dois bien l’avouer. » Tes amis, tes proches. Il n’y a que ton père qui t’appelle par ton prénom en entier.
Reprenant d’une voix douce, tu viens à lui proposer à manger un bout avec toi à l’extérieur. Tu veux juste prendre une douche avant. Un rire t’échappe une nouvelle fois. Tu finis ta tasse, avant d’indiquer la salle de bain d’un signe de tête. Prenant une douche rapide, tu troques tes vêtements pour un t-shirt et un jean. Rien de bien original. Mais ça fera parfaitement l’affaire ! Revenant, tu enfiles rapidement une paire de baskets, avant de relever ton regard vers Janet. « On y va ? Une envie particulière ? Choisis, c’est moi qui invite. »
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Berceau : Native de Las Vegas, terre pourrie de l'illusion. Fruit d'un accident, se raccroche aux branches craquelées de ses ancêtres qu'elle vénère plus que tout. Le désert chaud du Texas et la Russie lointaine fonctionnent comme les deux extrémités d'un aimant.
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Et enfin, l’inconnue n’est plus une inconnue. La jeune femme s’appelle Luisa et c’est vrai qu’en entendant ce nom, plusieurs souvenirs de la veille lui reviennent. C’est étrange comment le cerveau enregistre ou non les choses... En admettant avoir oublié son nom, Lou rend la conversation beaucoup plus sincère et beaucoup plus simple. C’est bien la preuve que malgré l’ivresse, il y a quelque chose à creuser entre ces deux-là, peut-être le début d’une nouvelle amitié.
Quand même, en y repensant : en la voyant ainsi, jamais elle n’avait imaginé Lou capable d’une telle descente d'alcool... Ses airs de fille sage étaient un leurre efficace.
« D’acc Lou ! Alors c’est normal que tu t’en souviennes pas, parce que j’en ai pas. J’bosse pas, je suis trop flemmarde pour ça... » confie la brune en hochant la tête. Gentille fille qui ne jettera pas Janet dehors une fois la soirée terminée, à l’inverse, elle lui propose même d’aller manger quelque part. Et ça c’est une trop bonne opportunité pour la laisser filer. Avec joie, Janet accepte. Le temps que la cheffe de maison prenne une douche, la rebelle se roule une cigarette.
De retour dans la cuisine, Janet descend de l’îlot central et cale sa clope entre ses lèvres. « Ouais, c’est trop cool ! J’ai envie de pizza... » confesse la brune. Elle lui indique un endroit qu’elle a toujours voulu essayer et les filles se mettent en route. Sur le chemin, Janet reste silencieuse et se réserve pour le moment du repas. Elle fume tranquillement sa clope qu’elle aurait bien voulu accompagner d’une bière.
Assise à table en intérieur, Janet jette un œil sur la carte avant de réaliser qu’elle prend de toute façon toujours la même chose. « Et donc... dit-elle soudainement en reposant la carte. Je sais même plus qui m’a invité à ta soirée... Une amie qu’on a un commun certainement... Mais elle a bien fait de me faire venir, c’était vraiment le feu ! J’ai rien pété, nan ? Ça m’arrive de casser des trucs. Les couilles, notamment, » demande Janet en souriant.
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Mar 8 Oct 2024 - 13:37
Luisa Roy
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- Dialogue et écriture en français. Si c'est en anglais, il faut me mettre la traduction.
Tu dois bien avouer que tu ne te souviens pas de son métier. Peut-être qu’elle ne te l’a tout simplement pas dit ? En même temps, une bonne partie de la soirée est floue dans ton esprit. Tu sais que ton but pour cette soirée était simplement d’agacer Nolan. Tu voulais te venger, même si c’est puéril, de t’avoir abandonné alors qu’il t’avait promis de rester. Et au lieu de lui parler, tu préfères ne rien dire et agir de la sorte. Sûrement parce que tu n’arrives pas à mettre au clair ce que tu ressens pour lui. Mélange de sentiments qui te rendent folle, lorsque tu essayes de les démêler. C’est bien pour ça que tu ne tentes pas de le faire, te contentant de vivre au jour le jour avec lui. Un rire t’échappe, alors que tu hoches la tête. C’est donc pour ça que tu ne te souviens pas du métier qu’elle faisait. Mais ça ne te dérange pas. Chacun fait ce qu’il veut ! Lui proposant donc d’aller manger un morceau, car tes placards sont vides, tu files rapidement à la douche.
Une fois prête, tu lui demandes de choisir où vous allez manger. C’est toi qui invites, mais t’as aucune idée de quel endroit aller. Janet peut donc choisir ce qui lui plaît le plus, histoire de pouvoir sustenter vos estomacs. « Pizza ? C’est parfait pour moi, allons-y ! » Tu n’as pas encore mangé dans cet établissement, donc ça te va bien. La marche est silencieuse, mais ça ne te dérange pas. L’air frais te fait même du bien, alors que tes tempes sont légèrement douloureuses. Est-ce que Nolan sait que tu es sortie ? Peu importe ! Tu en as ras le bol, ce n’est pas comme si tu avais besoin d’une baby-sitter. Arrivant, tu viens à prendre place en face de Janet. L’endroit est plutôt agréable et tu as bien hâte de goûter alors que ton estomac est douloureux. Attrapant la carte, tu regardes rapidement, avant de relever le regard vers la jeune-femme. « Sûrement ! je sais même pas mais ravie que tu sois venue. Je crois pas. Tout semblait être à sa place ce matin … Puis au pire, c’est pas grave ! » Tu reposes la carte devant toi, avant de croiser les mains sur la table. « Qu’est-ce que tu bois ? Tu sais déjà ce que tu veux prendre ? »
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Adresse : Emplacement #0104, trailer park, dans une caravane décrépite qu'elle partage avec sa grand-mère (décrépite elle aussi.)
Labeur : Même pas chômeuse, car elle a toujours évité le travail comme on évite un nid de poule sur la route. Elle survit grâce aux aides sociales dont sa grand-mère bénéficie. Quand elle a un peu d'énergie et la tête à autre chose qu'à la fête, elle mendie dans les rues avec sa guitare mal accordée.
Coeur : Fermé pour travaux pour une durée indéterminée. Lasse des relations pleines d'espoir, aime la vie, sa mamie, le rock et puis c'est tout.
Berceau : Native de Las Vegas, terre pourrie de l'illusion. Fruit d'un accident, se raccroche aux branches craquelées de ses ancêtres qu'elle vénère plus que tout. Le désert chaud du Texas et la Russie lointaine fonctionnent comme les deux extrémités d'un aimant.
Préférences rp : Je privilégie les RP relativement courts (autour des 500 mots). J'écris à la troisième personne, je suis carrément OK pour écrire les dialogues en anglais si accord avec le partenaire. Je ne souhaite pas écrire de scènes de s*xe.
Malheureusement, à cause de quelques expériences négatives, Janet a pris l’habitude de refuser certaines invitations. Cependant, elle ne peut que constater qu’elle a bien fait de faire le déplacement cette fois : non seulement, elle a passé une très bonne soirée, mais en plus, elle a l’occasion de se régaler d’une pizza sans avoir à la payer. Ça, c’est le genre de bonnes rencontres dont on se souvient longtemps, peu importe la suite des événements. Peut-être qu’elle ne reverra jamais Lou, peut-être qu’elles finiront par s’oublier. Pour le moment, elles sont bien là, toutes les deux, à profiter du moment, une continuation de la veille, une soirée folle. Et un lendemain plus tranquille.
Pour une fois, Janet s’est à peu près bien comportée malgré la quantité d’alcool bu. Rien de cassé, pas de blessé, rien à déplorer. Avec un peu de chance, elle se fera réinviter pour une prochaine fois. « Eh ben ça, c’est une bonne nouvelle ! » commente la brune en hochant la tête.
La bière au petit-déj' a fait son effet et contre toute attente, Janet accompagnera sa pizza avec autre chose que de l’alcool. C’est ça, la modération. « Ouais, on va partir sur un coca... Et en pizza, je fais classique, pepperoni. » déclare-t-elle en reposant la carte sur la table.
Elle s’étire brièvement, le serveur vient prendre leurs commandes et tout se passe pour le mieux du monde. « OK, je suis curieuse... C’est quoi l’histoire avec le gorille qui contrôlait tout le monde qui v'nait à la soirée ? T’es une sorte de célébrité ou quoi ? » demande-t-elle avec un sourire en coin. Si c’est le cas, c’est trop la classe et elle pourra s’en vanter auprès de sa bande.
I don't ever wanna feel like I did that day. Take me to the place I love, take me all the way. Yeah, yeah, yeah. It's hard to believe that there's nobody out there. It's hard to believe that I'm all alone.
Mar 22 Oct 2024 - 15:13
Luisa Roy
p e a c eo fm i n d
le clair
Surnom : Nombreux sont ceux qui l'interpellent en l'appelant Lou. Mais bien souvent elle entend un gamine de la part de son père qui lui hérisse le poil ou un fille de Moz .
Age : La trentaine qui vient tout juste de commencer.
Labeur : La passion pour métier. Photographe tenant sa propre boutique.
Coeur : Son coeur est libre comme l'air et pourtant, une personne ne cesse de hanter ses pensées même si elle se refuse de l'avouer.
Berceau : Elle est née à Clifton et n'a jamais quitté la ville, même pour un week-end.
Pseudo : Koko.
Pronom : Elle.
Fc : Elizabeth Olsen.
Crédits : Nano (avatar).
Multicompte : Aucun pour l'instant.
Préférences rp : - Entre 300 et 1000 mots.
- Rp à la seconde personne (ou troisième suivant le perso).
- Dialogue et écriture en français. Si c'est en anglais, il faut me mettre la traduction.
Un rire t’échappe, alors que tu hoches la tête. Au pire, même s’il manque quelque chose, tu pourras toujours racheter. Et au pire … c’est sans réelle importance. La seule chose qui est important pour toi, c’est certainement ton appareil photo et ton studio. Chose que tu n’avais donc pas chez toi lors de la fête. Un petit rire t’échappe, alors que tu hoches la tête. Oui c’est une bonne nouvelle. Mais il faudra certainement que tu fasses le tour de ton appartement tout à l’heure, quand tes idées seront un peu plus au claires.
Croisant les mains sur la table, tu lui demandes si elle sait déjà ce qu’elle va prendre. En réalité, c’est juste pour parler, et non pas pour juger. Peu importe le prix, tu l’invites, tu ne regardes donc pas ce qu’elle prend. « De très bon choix. » Simple et classique, une valeur sûre. Le serveur arrive pour prendre leur commande, et tu viens à demander un thé glacé avec une pizza quatre fromages, ainsi qu’une carafe d’eau. Une valeur sûre aussi pour toi. Tu attends qu’il soit parti, avant de reporter ton attention sur Janet. Un rire t’échappe, alors que bien évidemment, elle se souvient de ce détail. Elle ne pouvait donc pas l’oublier ? Inspirant, tu secoues négativement la tête avant de croiser les bras sur ta poitrine en t’appuyant contre le dossier de ta chaise. « Non je ne suis pas une célébrité. Mais mon père est assez connu … Un avocat et, comme tu t’en doutes, il s’est fait des ennemis. » Plus certainement qu’il ne veut te le dire. Inspirant doucement, tu soupires avant de lever les yeux au ciel. « Et donc, il m’a filé Nolan dans les pattes. Un garde du corps pour me protéger soit disant. Mais … autant te dire que cette petite soirée n’a pas dû lui plaire beaucoup. » Trop de monde, il ne pouvait pas agir comme il le voulait. Sans parler que tu ne lui as pas dit qu’il y aurait autant de monde. Un nouveau rire avant de hausser les épaules. « Il t’a emmerdé ? » Si c’est le cas, cela te donnera une bonne raison de lui hurler encore dessus pour faire passer ta colère. Tu n’oublies pas qu’il t’a abandonné dans ton appartement, alors qu’il t’avait promis de rester.
Age : Assume ses 36 ans, adulescente irresponsable et insaisissable qui ne sera sans doute pas surprise de passer l'arme à gauche bien plus tôt que prévu. Quand on aime, on compte pas les années.
Adresse : Emplacement #0104, trailer park, dans une caravane décrépite qu'elle partage avec sa grand-mère (décrépite elle aussi.)
Labeur : Même pas chômeuse, car elle a toujours évité le travail comme on évite un nid de poule sur la route. Elle survit grâce aux aides sociales dont sa grand-mère bénéficie. Quand elle a un peu d'énergie et la tête à autre chose qu'à la fête, elle mendie dans les rues avec sa guitare mal accordée.
Coeur : Fermé pour travaux pour une durée indéterminée. Lasse des relations pleines d'espoir, aime la vie, sa mamie, le rock et puis c'est tout.
Berceau : Native de Las Vegas, terre pourrie de l'illusion. Fruit d'un accident, se raccroche aux branches craquelées de ses ancêtres qu'elle vénère plus que tout. Le désert chaud du Texas et la Russie lointaine fonctionnent comme les deux extrémités d'un aimant.
Préférences rp : Je privilégie les RP relativement courts (autour des 500 mots). J'écris à la troisième personne, je suis carrément OK pour écrire les dialogues en anglais si accord avec le partenaire. Je ne souhaite pas écrire de scènes de s*xe.
Du peu qu’elle se souvient de sa soirée, le type à l’entrée l’avait marqué. Normalement, on déconne pas avec ce genre de gars, mais Janet s’était amusée à lui poser tout un tas de question, du genre, s’il avait déjà tué quelqu’un. Et puis, au fur et à mesure que la soirée avançait, elle avait fini par complètement l’ignorer. Petite moue de déception lorsqu’elle apprend que Lou n’est pas une célébrité, mais une fille de. C’est quand même quelqu’un de puissant avec de l’argent et Janet ne peut pas rester sourde à ça.
« Ah ouais, carrément, des ennemis ? Il a enfermé des gros méchants ? Moi, j’ai toujours eu de la chance, je suis toujours tombé sur des avocats sympas qui me défendent bien. Et des juges cools aussi qui me mettent seulement en maison d’arrêt. C’est plus tranquille. » raconte la brune en faisant glisser ses dreads derrière ses oreilles. Le gorille s’appelle Nolan et Janet sait déjà qu’elle aura oublié son prénom d’ici quelques heures. Peut-être que ça lui reviendra si elle le recroise un jour... Une nouvelle soirée chez Lou peut-être ? Car elle espère de tout cœur être invitée de nouveau.
« Non. Ça serait même plutôt l’inverse, je l’ai bombardé de questions. Pourquoi, c’est un gêneur ? Il veut compenser un truc ? » demande sournoisement Janet alors que les pizzas arrivent enfin. La brune se jette sur la sienne sans retenue. Celle qui n’est pas toujours certaine de pouvoir manger à sa faim ne prend jamais véritablement le temps de profiter de la nourriture. Et puis elle a trop peur qu’on lui vole sa pizza, réflexe débile qui ne la lâche pas depuis des années.
« T’sais que la première fois que je t’ai vu, jamais je n’aurais imaginé que t’aies une descente pareille ? J’te jure que l’illusion est parfaite. Le prend pas mal, mais jamais je t’aurais adressé la parole en temps normal... Mais là que je sais ce dont t’es capable, ce que t’es véritablement, ben j’aurais pas de réticence à t’intégrer dans mon cercle d’amis ! » dit-elle entre deux bouchées. C'est un compliment. Franc parler, toujours.
I don't ever wanna feel like I did that day. Take me to the place I love, take me all the way. Yeah, yeah, yeah. It's hard to believe that there's nobody out there. It's hard to believe that I'm all alone.
Sam 26 Oct 2024 - 22:44
Luisa Roy
p e a c eo fm i n d
le clair
Surnom : Nombreux sont ceux qui l'interpellent en l'appelant Lou. Mais bien souvent elle entend un gamine de la part de son père qui lui hérisse le poil ou un fille de Moz .
Age : La trentaine qui vient tout juste de commencer.
Labeur : La passion pour métier. Photographe tenant sa propre boutique.
Coeur : Son coeur est libre comme l'air et pourtant, une personne ne cesse de hanter ses pensées même si elle se refuse de l'avouer.
Berceau : Elle est née à Clifton et n'a jamais quitté la ville, même pour un week-end.
Pseudo : Koko.
Pronom : Elle.
Fc : Elizabeth Olsen.
Crédits : Nano (avatar).
Multicompte : Aucun pour l'instant.
Préférences rp : - Entre 300 et 1000 mots.
- Rp à la seconde personne (ou troisième suivant le perso).
- Dialogue et écriture en français. Si c'est en anglais, il faut me mettre la traduction.
Tu n’en sais rien pour être honnête. Ton père n’a pas pour habitude de parler de ses affaires avec toi. Ce n’est clairement pas ce qu’il préfère, aussi, il se montre toujours assez vague sur la question. Et dans le fond, tu n’as jamais cherché à en savoir plus. Même si à tes yeux, tu vois cet instinct de protection comme quelque chose de bien plus gros, que ce qu’il en est réellement. Il a toujours été surprotecteur avec toi, et même si tu es adulte maintenant, il y a apparemment des choses qui ne changent pas. Et tu as beau tout faire pour que Nolan soit viré, tu dois bien avouer que ça t’embêterait de ne plus le voir. Il y a quelque chose qui t’attire irrévocablement vers lui. Même si tu n’iras jamais l’avouer !
Un rire t’échappe alors que tu hoches positivement la tête, te moquant comme de l’an quarante de savoir pourquoi elle s’est fait arrêter et a donc eu besoin d’un avocat. Ou plusieurs appremment. « Peut-être, je sais pas en réalité. Mais si un jour t’as besoin, je t’enverrai mon père. » C’est vrai que tu ne la connais pas, mais tu l’apprécies. Alors ça te suffit à lui proposer ton aide. Mais ce qui t’inquiète surtout, c’est de savoir si Nolan n’a pas eu un comportement adapté. Nul doute, surtout en vue de comment tu es énervée contre lui, que tu lui feras remarquer qu’il n’a pas à se comporter comme un homme des cavernes. Un rire t’échappe, alors que tu hausses les épaules. « Aucune idée s’il a quelque chose à compenser. Faudrait lui demander. » Pas sûre en revanche qu’il apprécie grandement. Même si vu son air détaché sur beaucoup de choses, ça serait difficile de savoir à quoi il pense véritablement.
Les pizzas arrivent enfin et tu dois bien avouer que tu as faim. Janet s’est déjà jetée sur la sienne, ce qui te fait sourire. Tu devrais en commander une troisième pour qu’elle puisse l’emporter avec elle. Tu verras ça à la fin du repas. Prenant une part de la tienne, tu mâches tranquillement, tu souris à sa remarque, nullement vexée. Après tout, tu es la première pour savoir que les apparences sont trompeuses. C’est pour ça que tu adores la photo, car elle ne ment jamais. « Je le prends comme un compliment alors ! Mais il faut bien que je me montre à la hauteur de mes invités. » Même si tu n’en connaissais pas la moitié. Mais ça, ce n’est pas le problème. Continuant de manger tranquillement, tu vides ta bouche avant de reprendre la parole. « D’ailleurs, si tu veux, je te file mon numéro. Prochaine fête comme ça, je t’invite ? Si ça te tente bien sûr ! Puis on sait jamais, si t’as un jour besoin de l’aide de mon père. » Tu ris mais dans le fond, t’es sérieuse. Tu l’apprécies alors tu seras là si elle a besoin.