Surnom : Cha pour les plus proches. Pea pour son amoureux.
Age : Si elle a, assez mal, passé la barre fatidique des 30 ans, elle navigue plus sereinement vers ses 32 ans désormais.
Adresse : Un appartement tout en charme au sein de Holly Hills mais en recherche active de maison à Midtown ou White Oak.
Labeur : Auprès d'elle, les douleurs s'épanchent, les poids se lèvent et l'horizon se dégage. Elle est psychologue, refuge silencieux des âmes meurtries, et bénévole au sein d'une association qui vient en aide aux femmes victimes de violences.
Coeur : Si elle l'a aimé en premier, elle s'est résolue à ouvrir son coeur à des cieux plus favorables. Elle est en couple depuis près de deux ans désormais et s'apprête à passer une nouvelle étape avec le seul homme qu'elle ait connue.
Berceau : Si dans son sang, coule celui du peuple britannique, elle n'a jamais connu que l'amérique où elle a vu le jour. De son Minnesota, elle a sagement suivi une mère fantasque et ne peut désormais plus imaginer vivre ailleurs.
Pseudo : nepenthès
Pronom : elle/elle
Fc : emilia clarke
Crédits : bambi eyes.
Multicompte : eli farris
Préférences rp : rp à la 3e personne.
dialogue en couleur. pensées en italique.
s'adapte au partenaire en termes de mot.
a bien du mal à faire court.
La soirée avait été agréable même si elle s’était un peu éternisée plus tard que ce qu’elle avait convenu avec Samson. Semblable à elle même, elle avait incapable de prendre congé, même lorsque la fatigue de la journée de reprise s’était faite ressentir. Cela lui faisait du bien de retrouver ses collègues de travail et une ambiance plus agitée et joyeuse que les précédentes qu’elle avait vécu au Cameroun. Qu’il était bon de se retrouver, d’évoquer ses souvenirs ou de se mettre au courant des avancées des uns et des autres, des rumeurs qui couraient (et Dieu qu’il en courait toujours à l’hôpital), des couples qui se faisaient et de défaisaient et des chamboulements s’étant déroulés en son absence. Elle s’était laissée emportée par l’énergie du moment, éloignée des premiers instants où elle avait dû narrer en détail et en profondeur ce voyage humanitaire dans un pays étranger si éloigné de ce qu’ils connaissaient. Elle s’était bien vite rafraîchie le gosier autant pour poursuivre son récit que pour rire aux éclats, tout en évitant soigneusement de dépasser sa limite. Sa soirée avec Evie avait laissé trop de traces pour qu’elle ne réitère l’expérience aussi tôt.
Marchant jusque chez elle, elle jeta un coup d’oeil sur le ciel étoilé qui était presque aussi visible que sur le continent africain, même s’il était sensiblement différent. Certes, elle n’avait pas vu d’ovni là-bas. Mais ce n’était pas la seule différence. Son esprit dériva vers ceux qu’elle avait laissé derrière elle là-bas et elle leur envoya milles pensées de force et de courage. Dieu savait combien ils en avaient besoin. Elle rouvrit les yeux en entendant un bruit sourd, comme si quelque chose venait de s’effondrer lourdement dans un vacarme métallique. La jeune trentenaire tourna la tête sur sa droite vers une ruelle où elle avait cru percevoir un mouvement derrière les poubelles. “Il y a quelqu’un ?” Un gémissement fut la réponse inattendue qu’elle reçue, la poussant à se précipiter dans l’obscurité. Décochant son téléphone pour allumer la lampe torche, elle découvrit une femme nue et manifestement encore groggy dans les détritus. “Oh mon Dieu, vous allez bien ?” Question stupide s’il en était.
La femme gémissait, peinant à revenir à la surface de sa conscience et faisant jurer Charlie. Elle retira aussitôt sa veste pour la glisser sur le corps dénudé de l’inconnue et releva la tête au moment où une silhouette entrait dans la pénombre de la ruelle. “Hé vous !” l’alpagua-t-elle, inconsciente de l’éventuel danger que pouvait représenter la silhouette. Il s’agissait peut-être de l’agresseur après tout. “Venez m’aider.” ordonna-t-elle, impérieuse. “Elle ne se sent pas bien.” Captain Obvious pouvait être fier d’elle. “... tsum tsum abadibodo.” Le gémissement de la femme attira de nouveau son attention, poussant la psychologue à l’interroger. “Quoi ? Pardon, je n’ai pas saisi.” La main de la femme se leva, pointant le ciel. The fuck ?
topic libre.
❝ I never want to see you unhappy. ❞ Like an apple on a tree hiding out behind the leaves, I was difficult to reach but you picked me. Like a shell upon a beach, just another pretty piece, I was difficult to see but you picked me.
Ven 20 Sep 2024 - 0:45
Gracie Lange
SPREAD YOURW I N G S
le clair
Age : 29 ans, la sensation d'avoir cependant vécu la vie d'une autre. Les questions se bousculent encore au portillon, mais la vie ne fait plus aussi peur qu'avant.
Adresse : L'oiseau a quitté son nid à la dérobée, s'est volontairement éloigné du trop grand cocon familial. Installée au #2244, cet appartement dans Holly Hills qui ne paie pas de mine est un véritable havre de paix dans lequel elle peut s'entendre penser.
Labeur : Le calque était pourtant tout fait, on la voyait déjà devenir vétérinaire et contribuer à la vie du ranch familial. À la place, elle a fait un nouveau dessin. Bercée par le country, elle décide d'en faire son métier et crée la panique au sein de la famille. Sa carrière ne décolle pas, elle survit en tant qu'employée au wendy's de white oak. Ce n'est pas glorieux, mais c'est son choix.
Coeur : Dans ses quelques excitations, il devient source d'inspiration pour des compositions musicales. Célibataire, de toute façon, ça fait mieux vendre.
Berceau : Clifton , la seule ville qu'elle n'a jamais connue. Elle est comme prisonnière d'un passé trop présent. Elle voit une cage invisible et pense sincèrement qu'elle finira sa vie ici.
Pseudo : AlliG
Pronom : iel, il, elle, comme vous voulez
Fc : daisy ridley
Crédits : AlliG (that's me), eternalroleplay, Leonard Cohen
Préférences rp : Je privilégie les RP relativement courts (autour des 500 mots). J'écris à la troisième personne, je suis carrément OK pour écrire les dialogues en anglais si accord avec le partenaire. Je ne souhaite pas écrire de scènes de s*xe.
Ce soir encore, il y a du monde en ville et ce n’est pas spécialement une bonne chose. Des touristes avinés se donnent en spectacle, évoquent la présence de soucoupes volantes par dizaines. Certains crient et chantent, Gracie à une pensée pour les habitants aux alentours qui subissent ce tapage nocturne incessant depuis quelques jours. La police fait ce qu’elle peut, mais jamais elle n’aurait pu prévoir de tels débordements dans une ville qui n’est pourtant déjà pas exempte : que l’on n’oublie pas l’odieuse présence de gangs qui arpentent les rues de Clifton. Gracie a également de la peine pour les sans-abris dont elle s’occupe depuis des mois et des années pour certains : la plupart d’entre-deux sont chassés de leurs spots par ces touristes hallucinés et ils n’ont évidemment aucun bout de terrain légal à revendiquer. C’est la loi du plus fort qui prime. Retour à l’état sauvage. Une disgrâce. Elle n’abandonne pas et fait ce qu’elle peut : ce soir, elle a veillé tard pour préparer des repas au centre communautaire.
En quittant le centre-ville, elle se met en route pour gagner son foyer et ne s’attend certainement pas à une confrontation avec un de ces passionnés d’aliens qui attisent la foule et bouleversent le quotidien des habitants de Clifton. C’est un appel à l’aide qui attire son attention et fervente chrétienne qu’elle est, ne peut se résoudre à ignorer quelconque cri de détresse. Nullement inquiétée par un éventuel guet-apens, car elle ne se déplace jamais sans son revolver, Gracie s’enfonce valeureusement dans la ruelle inquiétante.
Quelqu’un ne se sent pas bien. Gracie devine que cette femme à genoux est celle qui a appelé à l’aide. Du renfort ne semble pas de trop face à cette découverte incongrue : une pauvre créature à moitié nue s’agite et s’affole, tente de communiquer. « Je ne comprends pas non plus ce qu’elle raconte, mais... Gracie suit la main tendue de la femme, observe le ciel un instant. Mais je suis prête à parier qu’il s’agit d’un de ces hurluberlus qui ont rappliqué en masse depuis la parution de cet article de journal... déplore la brune. Nous devrions appeler une ambulance et... » Elle est interrompue par la femme hallucinée qui semble vivement protester quant à la suggestion de Gracie. Ses propos sont toujours incompréhensibles, mais les grognements qu’elle exprime sont universels.
I've heard there was a secret chord that David played, and it pleased the Lord. But you don't really care for music, do you? The fourth, the fifth, the minor fall, and the major lift, the baffled king composing Hallelujah.
Dim 6 Oct 2024 - 18:41
Charlie Castle
p e a c eo fm i n d
le clair
Surnom : Cha pour les plus proches. Pea pour son amoureux.
Age : Si elle a, assez mal, passé la barre fatidique des 30 ans, elle navigue plus sereinement vers ses 32 ans désormais.
Adresse : Un appartement tout en charme au sein de Holly Hills mais en recherche active de maison à Midtown ou White Oak.
Labeur : Auprès d'elle, les douleurs s'épanchent, les poids se lèvent et l'horizon se dégage. Elle est psychologue, refuge silencieux des âmes meurtries, et bénévole au sein d'une association qui vient en aide aux femmes victimes de violences.
Coeur : Si elle l'a aimé en premier, elle s'est résolue à ouvrir son coeur à des cieux plus favorables. Elle est en couple depuis près de deux ans désormais et s'apprête à passer une nouvelle étape avec le seul homme qu'elle ait connue.
Berceau : Si dans son sang, coule celui du peuple britannique, elle n'a jamais connu que l'amérique où elle a vu le jour. De son Minnesota, elle a sagement suivi une mère fantasque et ne peut désormais plus imaginer vivre ailleurs.
Pseudo : nepenthès
Pronom : elle/elle
Fc : emilia clarke
Crédits : bambi eyes.
Multicompte : eli farris
Préférences rp : rp à la 3e personne.
dialogue en couleur. pensées en italique.
s'adapte au partenaire en termes de mot.
a bien du mal à faire court.
l'obscur
nudité. supposition de viol. enlèvement extra-terrestre.
Ce n’était pas nécessairement de cette manière qu’elle avait prévu de terminer sa soirée. Même pas de cette manière du tout s’il fallait être honnête. Mais Charlie était constituée de telle sorte que l’idée de détourner le regard et de ne pas agir pour porter secours à une jeune femme en détresse était tout simplement inimaginable. Il s’agissait même de son talon d’Achille et la seule personne face à qui elle avait été le plus proche de baisser les bras était sa propre mère. On ne pouvait sauver celle qui ne souhaitait pas être sauvée après tout. La brunette posa un regard reconnaissant sur la nouvelle arrivante qui avait entendu son appel à l’aide et avait répondu présente. Elle ne la connaissait pas, si ce n’est de vue peut-être. Peu importait : l’essentiel était qu’elle était venue lui prêter main forte. “Sans doute oui.” Elle n’avait jamais vu la victime qui ne semblait pas se soucier de son apparence et se préoccupait davantage du ciel dont elle semblait avoir une véritable crainte. Comme la nouvelle arrivante venait de le souligner, il s’agissait sans le moindre doute d’une de ces chasseuses d’extra-terrestre.
“Oui…” commença-t-elle, se morigénant de ne pas y avoir pensé plus tôt. Il fallait l’emmener à l’hôpital le plus rapidement possible. Le fait qu’elle se retrouve en tenue d’Eve n’augurait rien de bon, plus encore dans une ville gangrenée par la violence comme pouvait l’être Clifton. Il était essentiel de vérifier ce qu’elle avait dans le sang, qu’il s’agisse d’une prise volontaire ou non. Et d’effectuer des prélèvements qui le seraient tout autant pour mettre sous les verrous les personnes qui l’avait conduite dans cet état. Mais les protestations virulentes de la victime semblaient s’y opposer, faisant réfléchir Charlie durant quelques instants. “Le centre communal.” proposa-t-elle. “Laissez nous vous conduire là-bas.” Elle se tourna ensuite vers la brunette. “Avez-vous votre téléphone ? Je pense qu’il faudrait prévenir la police pour sécuriser la zone au cas où…” Sa phrase resta en suspend. Il était peu probable que l’agression ait eu lieu dans un endroit aussi proche du centre ville et de son agitation - somme toute relative. Mais il ne fallait négliger aucune possibilité.
“Ce n’est pas très loin à pied, vous voulez bien m’aider à la transporter ?” Elle était à pied, ayant préféré jouer la sécurité pour cette soirée de retrouvailles entre collègues. Si elle avait été en voiture, il aurait été plus facile de la conduire de force à l’hôpital mais la notion de consentement demeurait importante pour Charlie. Si l’inconnue avait peur de s’y rendre, elle ne la forcerait pas. Mais hors de question de la laisser sans soin. Elle entreprit de passer les bras de la victime dans ceux de son manteau, aidant partiellement à dissimuler son intimité, mais un flash lumineux semblable à une lampe torche vint la mettre dans un nouvel état de panique au point de la faire fuir. “C’est pas vrai !” s’exclama Charlie avant de se mettre à sa poursuite. Définitivement pas la soirée qu’elle imaginait.
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Ven 18 Oct 2024 - 15:20
Gracie Lange
SPREAD YOURW I N G S
le clair
Age : 29 ans, la sensation d'avoir cependant vécu la vie d'une autre. Les questions se bousculent encore au portillon, mais la vie ne fait plus aussi peur qu'avant.
Adresse : L'oiseau a quitté son nid à la dérobée, s'est volontairement éloigné du trop grand cocon familial. Installée au #2244, cet appartement dans Holly Hills qui ne paie pas de mine est un véritable havre de paix dans lequel elle peut s'entendre penser.
Labeur : Le calque était pourtant tout fait, on la voyait déjà devenir vétérinaire et contribuer à la vie du ranch familial. À la place, elle a fait un nouveau dessin. Bercée par le country, elle décide d'en faire son métier et crée la panique au sein de la famille. Sa carrière ne décolle pas, elle survit en tant qu'employée au wendy's de white oak. Ce n'est pas glorieux, mais c'est son choix.
Coeur : Dans ses quelques excitations, il devient source d'inspiration pour des compositions musicales. Célibataire, de toute façon, ça fait mieux vendre.
Berceau : Clifton , la seule ville qu'elle n'a jamais connue. Elle est comme prisonnière d'un passé trop présent. Elle voit une cage invisible et pense sincèrement qu'elle finira sa vie ici.
Pseudo : AlliG
Pronom : iel, il, elle, comme vous voulez
Fc : daisy ridley
Crédits : AlliG (that's me), eternalroleplay, Leonard Cohen
Préférences rp : Je privilégie les RP relativement courts (autour des 500 mots). J'écris à la troisième personne, je suis carrément OK pour écrire les dialogues en anglais si accord avec le partenaire. Je ne souhaite pas écrire de scènes de s*xe.
Ce soir encore, un bel exemple de ce que peuvent faire certaines substances sur des âmes fragiles. Car il est évident que cette personne a pris quelque chose : Gracie n’est pas assez savante pour deviner ce dont il peut s’agir. Être une femme et s’affranchir ainsi de ses vêtements en pleine nuit ne semble pas être quelque chose qui viendrait... naturellement. La jeune femme qui lui est venue en aide est inconnue au bataillon, mais la brune peut déjà établir un fait : c’est une bonne personne. Tout du moins, c’est une personne consciencieuse qui n’a pas l’intention de laisser tomber cette pauvre fille et ce malgré les difficultés qu’elle rencontre ne serait-ce que pour se faire comprendre.
Le centre communal, en voilà une bonne idée. Gracie regarde tour à tour la jeune femme et l’illuminée ; la conversation semble aller que dans un seul sens et ce même si l’inconnue s’applique pourtant à faire des phrases courtes afin de favoriser du mieux qu’elle peut la communication. « J’en viens. Je reviens du centre, dit Gracie en sortant son téléphone. Oui, nous ne sommes pas très loin en effet, j’ai un jeu de clés, nous pourrons en effet la mettre à l’abri... » À peine a-t-elle le temps de terminer sa phrase que l’illuminée fait de grands gestes, balaye ses bras devant elle, entre en contact avec la main droite de Gracie, celle qui tient le téléphone... Dans un halètement de surprise, elle ne peut que regarder son appareil s’écraser sur le bitume. « Oh non, oh non, oh non ! » répète-t-elle tandis qu’au même moment, la folle décide de s’enfuir. Quelle soirée.
Sans prendre le temps de regarder l’état de l’écran de son téléphone qu’elle vient de ramasser, Gracie se redresse et court pour rattraper les deux femmes. Elle parvient à se guider dans l’obscurité grâce aux cris étranges que l’excentrique pousse de temps à autre dans la nuit. Lorsqu’elle parvient à rejoindre l’âme charitable, pas de signe de la fugitive nue. « Où... où est-elle passée ? » demande Gracie le souffle haletant. Enfin, elle ose sortir son téléphone, constate de multiples fissures sur la vitre... Le téléphone s’allume, mais impossible de naviguer dans les menus... « Oh... pour l’amour du ciel... Bon, je... je n’ai plus de téléphone, super ! » dit-elle en croisant le regard de celle qui s’était lancée à la poursuite de l’aliénée.
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Sam 26 Oct 2024 - 19:01
Charlie Castle
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le clair
Surnom : Cha pour les plus proches. Pea pour son amoureux.
Age : Si elle a, assez mal, passé la barre fatidique des 30 ans, elle navigue plus sereinement vers ses 32 ans désormais.
Adresse : Un appartement tout en charme au sein de Holly Hills mais en recherche active de maison à Midtown ou White Oak.
Labeur : Auprès d'elle, les douleurs s'épanchent, les poids se lèvent et l'horizon se dégage. Elle est psychologue, refuge silencieux des âmes meurtries, et bénévole au sein d'une association qui vient en aide aux femmes victimes de violences.
Coeur : Si elle l'a aimé en premier, elle s'est résolue à ouvrir son coeur à des cieux plus favorables. Elle est en couple depuis près de deux ans désormais et s'apprête à passer une nouvelle étape avec le seul homme qu'elle ait connue.
Berceau : Si dans son sang, coule celui du peuple britannique, elle n'a jamais connu que l'amérique où elle a vu le jour. De son Minnesota, elle a sagement suivi une mère fantasque et ne peut désormais plus imaginer vivre ailleurs.
Pseudo : nepenthès
Pronom : elle/elle
Fc : emilia clarke
Crédits : bambi eyes.
Multicompte : eli farris
Préférences rp : rp à la 3e personne.
dialogue en couleur. pensées en italique.
s'adapte au partenaire en termes de mot.
a bien du mal à faire court.
l'obscur
nudité. supposition de viol. enlèvement extra-terrestre.
Parfois, elle se demandait pourquoi elle était comme ça ? A toujours vouloir tendre la main à des personnes qui ne voulaient clairement pas la lui prendre, comme ce soir. Non seulement, elle perdait de son temps et de son énergie mais en plus, son manteau également se faisait la malle sur les épaules de l’inconnue. Et elle était gelée ! Rien d’étonnant quand on passe des températures africaines à un climat plus modéré, même au Texas. Sans plus réfléchir pourtant, elle continuait de galoper derrière la pauvre femme, entendant également les pas accélérés de la bonne samaritaine qui s’était portée volontaire derrière elle. Mais au détour d’un croisement, elle perd sa trace. Comme si elle avait disparu en un claquement de seconde. Bien peu sportive, la psychologue ne peut que tenter de reprendre son souffle, courbée en deux, les mains sur ses genoux et crachant ses poumons. “Aucune idée.” halète-t-elle lorsque la brunette arrive. “Elle a disparu tout d’un coup.”
Elle finit par se redresser, jetant un coup d’oeil autour d’elle avant de reporter son attention sur son interlocutrice. “Oh désolée.” culpabilise-t-elle quand elle constate que le téléphone de la jeune femme est ruinée. “Vous n’aviez pas de coque ?” Réflexion ô combien obtus et déconnecté de l’urgence. Elle le réalise un peu tard et grimace devant sa propre réaction. “Deux solutions : on peut retourner chacune chez soi et reprendre sa vie en ayant cette rencontre à conter à nos proches comme une anecdote de plus.” Nouveau coup d’oeil à la ronde pour voir si - appelons la Eve - la tentatrice originelle en habit de chair ne se serait pas dissimulée dans un recoin sombre. “Ou on peut continuer à la chercher pour être sûre qu’elle ne se fasse pas de mal ou que quelqu’un ne lui en fasse pas davantage.” Sa décision était évidemment vite vue. Elle ne pourrait pas se regarder dans un miroir si elle ne mettait pas tout en oeuvre pour la retrouver et veiller sur elle.
“Au juste, Charlie.” finit-elle par se présenter en lui tendant la main. Forcément, sauver ensemble une inconnue, même pleine de mauvaise volonté, ça rapproche. “Votre visage me dit quelque chose. Vous disiez venir du centre communal. Vous y travaillez ?” Tout en conversant avec elle, Charlie observait toujours autour d’elle, restant attentive au moindre mouvement ou indice qui pourrait leur indiquer là où l’inconnue avait disparu.
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